Extrait du processionnal romain a l'usage du diocèse de Québec [microforme]

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trouveant, au

que te

communentet, uiger, ce

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DE L APPLICATION U SUBSTITUTION DE LALETTRE A LA NOTE.

Pour, parvenir il aut 'abor s exercer surquetque piece de chant ou ili' ait qu ne note Par syllabe et mhme prendro a precautio de soliter ou chanter a note de chaque mot avant de tui substituera letire.

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unte moin simple par exemple suriantienne fulvante:

tio hi agonia Troreilla quandis chante les

' nubo ceu la plupari des cacophontes qui a rivent dans te choeurs, iennent de cem ungrand nombre ne rendent des son qu au ha- arditate pros, fulvant que e chant eu pariat monter o descendre.

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I. vice do beaucou de chantres est, enis

Pour parvenir, ii aut avoir que Ion distingue liuit tons dans leniatn-chant reguli era deces huic tons, te impalrs, Cesti-dire, lepremier, te troisthine, te inquihme et e septieme,s othvent heaucous au-dessus de la inales et par consequent, te piece qui appartiennent a queI-ciu un debes quatre toris, demandent astre en- tonnees has, asin que leur retendue ascendanten excede oincla porte de la voix Au sontraire, aes ieces qui appartiennent aux tons

Mais comment fauoi de uel ton est uneoloce de chanti Par la connaissance de Ianote finale et dela dominante Lorsqu une piecede chan finit par re, elle appartient ou au premieri a secon ton elle finit parram, et e est du troisi me o du quatrihme; Si paria elle est durein quihme u in siXihmen ensi si ellefinit par sol, elle est du septihme o duliuitihme. La table sui vante rounissant dans ummis potnt de vueles finales et les dominantes de Ious testons, donnera plus de clari a la chose.

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Mire enisaeis trop

est ne

Dominantes.

s. lat ossa,

Finales. reo

ut la

Suppofons que re soli la note finale, unopi hce uel conque, ii aut que ceti pie ce Solio durarem ter oui secon ton Esse sera dupremier, si la est a dominante, et M se con sic est a qui domine. est v graduel, unrepons u in t oit, da dominante se reconnaltra aishment dans le verset, parce u elleri est lapius fouvent ophte e. Mais elle n est passi se ea reconnaitre dans les pilices sans verseis tellesque sont les antiennes, les Communions, essim fertoires On,' alor pour re Ssource ques examine si te chantis etentae haut ou en bas mila eten e haut la thce est vi ton 'm patroomine nous avon dit ci-dessus, E est-a-dire dupremi e ton dans exemple que nous ItonS. Si a contraire labiecera sola olendues descendant, elle est durion Iair, C est-a-diremus econd. ia meme m&hode peut ire employe dans totis es cas emblatiles. I faut ean molns avo uer qu'll, a des antiennes, telles que Salae, regina, Sacerdo et Pontimear, doniri est tres- dissicile de decouvricleton, parce u elles montent au-dessus de latinale, autant qu'elles baissent au-dessous. Me

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minante. Dc L UNISGON.

I consistet rameneri u mome potnt outestes dominantes de diffsirentes parties des ollice quo Ion chante. Par exemple aux secondes repres do Noel, si ossiciant fen sur u ton convenable te Deus, in altitorium, donis dominante est tit, te moyen de conserJer I uni Son, sera quo a domitiante la de Pantienne Tectim Principium, soli pris su te meme ton que i ut de Deus, in adiutorium, et que de cette dominate la, o descende aesa, qui est la premere note de ceti antienne; et que quand cette au-tienne aura th rophthe Aprh Iesuauine onmette surae ton de la dominani esti de ceti pre- mih re antienne la dominante re desa seconde, et que de ce resin descende auso qui est a note par oti commene ea seconderantienne sedemtionem, et ainsi des auires; commes exemple svivant te fera mieux Comprendre. - --- -- E i

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Tecumque rvite domi- premi Ere

ut est lu

MANIERE DE CHANTEM LET DIFFERENTEM PARTIEM DE 'OFFICE DIVIN.

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i m e

mi aeet

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Meuiseide de Plata ham.

in dist

qui in