Poikilē stoa: ethnikē eikonographēnenē epetēris ... Etos 1-16, 1881-1914

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naissa it uti nou vel Alcibiade illumine des rayon nouueauX, et portant dans a tot na agni sique la caden ce des vers iavait rendi Apolim irresisti ble. Mais illae reste pas danssa patri bruineti se La n ouclie 'or vole a soleti LiordisFron se sui annoncer u la P. Q. Jainais plus de gente, liis de an laiste, plus de conuus tem' illuminerent un

I salsait proinenerri 'anauit dans les ceu ra qui soni sesbercuata x, et rore ille experte a recevoir se considences ravait mi u nisi nae de notis te transnae eis naille dula d 'artifice qui petilla it an cesse de On coeur a ariete. L. uionide tali su ris 'appron ire par tui contine onainauit et imine cliaissait On se roulai ave tui dans

sion solui l avalent ait nomiater divine Lui nisime elait incomparabie et ne p0uvan, Inalgi esto ut so esprit, inventer

Ies inspirations de la Gloire, qui tu on stat intrepremire

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466 ΠΟΙΚΙΛΗla plus poetique des guerres et la plus digne d' illustrer a

dans 1' execution de oeuvre comine te pelican , 's'est declaire te flanc Our serviride nourriture amne nationssiit, deforinais devait vivre de Son 'entliousiasine. O lao uncasque illor, surria tete, 0ndu ire a la victoire e Grecsgalvanifes qui senil latent sortis du artare suris laisse passer de Clastron armes de nouueau ou defendre

rites qui polirruit alter iremper a plum dans les coupes de iniel ave laquesse ii crivat te nona 'amcur I glas lun erivat ordinatre ne eutriu'enregistrer te non des grand laoninae qui passent surria terres Mais depeindreleur traiis divin est tro dissicile pou eux Iis sontionante ne terre palpitante v les belles nil res des angea qui passent laissent une traco momentanes qu'elle ne eul

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Πολλάκις ἱστάμεθα ἐπὶ της παραλίας τ' va σου του τίου Πέ