Oeuvres d'histoire naturelle, Volume 3

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Ce que a liqueur Eminale est a Poeus, ludo fiere desistamines Pest a la graine Je uis dono rassonne sur celle-ci , comme

Mais, rene gardse a voire tour, que cie n'ai amat tali forme la moindrechos par accident. 4'a admisis fou-ten constammen la preformation de , tout ce qui est,raiment Dryanique. N. de Aia ΑΗ me falsoitu mεme remam is que que ous, Mi eutria meme re, ponse Ses objections contre te fixiemese dolgi, ne portent que surda gresse de

is gresse; 'ai deniande stulement, si des cause accidentelles ne ouvolent passe parveni a diviser u o pluseursis Oigis, tandis qu'il ne sent encore, que getlatineuco presque si uides. nummot xpuis-je tro te repeterquen'a jamat admis que de pures modi-- cations de parties preformeses,docans se certains cas, des fres ou des separa- tions accidentelles. 'ai indique desse Semples rappans de tout cela. 'aiis dit He redit, que la liqueu seminale, ne forme rien o parte rigoureu&is ment si nous4'avions amata, V que des ouleis fatis comme celui, qui est deiune si en petit dans roeus, , ourrions-nous jugerpos feries cha is gemens tonnans quIl subit' ceraxi , me olgi datoi seu eire de pluseurg

nean moin au caulas accidentelles, ungran nombre de monstruosiaes il leuerapportoit e particulier, plupari de Monstres par aut m peut juge doce qu'1 accordoitis es cause par es passages fulvans, queri'extrais de n Art. Aiax de lamature, dans r En clopessio

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' Π 'ai aison ne sur celleaa 1 . Si te possiet existe dans 'oeus avant la secondation, la plantula re existe paretilement dans la

ri eur structui originaireri dans Em- , , tyon et lesi e tolent formees que pars, ne membrane asse fine our avolt, et disput e par 'habiles Gens Auli et de la boite osseu se descranes, de

se en veloppe musculaire desbas ventre 'un thoracen partie osseu Men Parti carti hagineuc, de Foetus parvenus a leu plei accroisse ment, 'onte poli cachercle coeur, es intestins te cerveau qu'une membrane Alorsces visceres tro grand wtro presses le hin parrae a uires, ni forceleur solbie en veloppe On a vile coeurto ut nud se presenter evant la pot-tiine commmune medailles le Die les intestin solii avecae nombrii, n'etie contenus que a les tegumens, te Crane anque de out se partiesuperieure comme a consistancedi cervea est presque uide dans e Foetus, ona vesse perdies disparot - re, te laisser a fallacique uel ques, tubercules medullaires. 'ai u plu- , , eurs de ces Foetus , donesta dure meres continuoit a ta ea , ciuxqueis, te os parietaux, ne grande partie, de os coronau de occipital , manquo ient eniterement. Ces cetuson conserve la vie, algr renorme

par venus a leu parisit accroissement. , On a trouve dans le tro di crane, tes, neris qui commen colent par euX-me- nies iis avolent et conserves paris a structure de ces trous, cilcetoient devenus isoles, parce que te cerveausi tot detruit. Mais aucun de ces En-fansi' prolonge a vie apres la nais.

di vers tems une belle uitela'experiencessu la generatis de Plantes Je,'a putire sola ouvrage, parceriu'il est en Alle. mand mai voici e que 'en crivoli' de HALLE R. aes experiences suro es plantes de M. KoLREUTER , Iou- , Vent clatrement, que e Gerni est dans la grain que te perme duri Male donne aria fante des accroisse

sa grande physiologie, Tom. VIII Sei II, Art. XXXVII, pag. 17s,

, , es histo ires, dit-il, que nous avonsis de Muleis chea es Animau sontis obscures , ais e que nous connoiΩ, sons a cet gar de plantes, est se plus certain L structure decla plant se mere est plus sensibi dans la planteis reproduiti carua plante batarde con- serve la secondite de samere elle, ne a lient a meme de la plante. male , Cles plantes bisardes repren- nent spontane ment par a suit lase nature de la plante femelle , ii potntis qu'elles tui essemblent resque paris nitententia leur structure. Et il est uvent arrivi que a semence duis male 'a resque te change a lalabrique maternelle

graine,

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tau ca): e devrois maintenant traiter de variates qu'on observe dans leur secondationis dans leur εneration , passerensuite in mons ostes de tout genre Nil nous offrent, prouuer in par de nouvelles recherches universalite de lato de evolution. Ce sera eu&Etre e vj et 'une troisieme

differentes manteres doni te Animauxis las egetavae par.

Germe dans a graine Mais e dois averti te public qu'i verra lento denouvelles recherches suris sejet, qui Iut apprendron des ait singulier qui avolent pas et Hevus, ct qui sem

blent contredire 'avires ait fur lacertitude de vel on 'avolt eu jucqu'ici aucun doute C est ara sagacite de mon celebre mi, Abbe SPALLANEANI, que ς Naturalistes serontredevabies de ces de uvertes. 'en aideis ditis mot dans la seconde nota

note queri'ai Moute a cet Article, ouci'indique les preuves te plus dire te de la preexistence u Germe dans la graine I dois renuoyer encore mori Leeteur u asse grand Memoire furia secondatis de Planter , que 'al

miere partici

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braire, lataerniere parti de me notes additionnelles , orsque a requis M. BOURGELAT , ne Letire en date dua d'Aout i qui contient quelques paragraphes qui meritent que e les trans

4'avois propos a cet habilemomme, quelque questions fur es t maris , en particulier sur cette dumarre disseque a Lyon , donicit 'avolt nvoy lla descriptio anatomique de tui Di is

remarquer, qu i avolt omis diverses particularites concernant l'exterieu de l'Animal, qui ouustent repandre durioursu la formatio de cette sorte de mulet. Volei don ce que M. BOURGELAT 'a reponducia.dessus. pou juge des rapporta que ouvolt, avoi ma dumarre ave te pereis lamere qui ui avolent donne te jour,il audroit est assure de respece de runis de rautre L particulier de qui e la tenois , latoit pas, selontes apparenoes , plus instruit que moto et gar dans et elat deschoses, je ne ais si uous tirere ungrandiarti decrenseignemens fulvans. 'ea reilles de ceti Jumarre 'ἡ-tolent ni plus longum ni plus epaissesque celles du heval la position eneruit a-peu precia meme elles avolent, seulement plus de largeur. Le dos

ited resilambiolent a ceu de las se chelaonciliatoit ne Dan se Letire duci de evrier, done j'a transtri une parti dans a grande te additisnnelle suci Ar CCCXXXII L

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o procurerat. 'en comparerat tres-eX- adtemen toute les parties avec celles, d pereis de lamele c. On volt asse combie ce ait, si important i bien constate .s'accorde avecmes principes Le perme u hevat qui n'est potntin Animal d cornes,la'est

pas apparemment propre a faire deve-lopper de cornes mais e destrerois plus d'observations successujet Iattendsbeaucou de lumieres que les nou velles recherches de M. BouRGELAT nous

'insererat encore ici deux ou trois au- tres otes que e 'aii metire a te place pendant te cours de rinipression. I diseis dans amote additionnelle sur Attici CCCLX, ea partant de laformation des Monstres que les parties monstrueuses que reproduisent quelqu laudes Limations Ies Salamandres, pa-roissent Burni u nouvel argument enfaveur de rhypothese des causes accidentelles. 'ai renuoy la-dessus au N

remne main de Salamandre, a laquelle ravois coupe trois dolgis,3 qui en repro- duilait quatre Oivo ra bien ette lesyeux surcia g. a de mon Memoire. χ'erunt entretenuisu dernier lie paratire, aveo mon celebre amim SPALLANEANI, larua belle question de rori gine des Monstres; qui ayant demande,s'il nequi parot itias commera moi,queles monstruosites que nou avions observem dans Ies reproductions des Limaqon

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ii l. des Salamandres . tolent des exemples favorabies a rhypothese des accidens cilm' repondu equi fuit, en date duciq

fameus question de a formation des monstres, e ous dira neanmolns se que e penche en faveu de causisse accidentems ce soni vos Con Arations fur es Corps styanser quim'ont ait naitre ce enchant. out Leeteur impartia qui examinera ren- emble des ait que Ous apporte , te reflexitans doni iis soni accompagnes , inclinera vers a formation, successive des Monstres Himoin c'esti'impressio qu'a ait fur mon sprit, la lecture de voti e Letire. Seulementi m'est venu quelqueseis e pensee, u'un plus grandiombre de morsimose stes accidentelles, du molns avoueespou telles par es philosophes non

, plus de poid . rhypothes que ous

se Oigis monstrueu que reproduisentis nos Salamandres Ces Oigis ne sent, pas si simples'u'oniourroit te penser. se Iis soni , commeries notres, un assem. si lage de muscies, de neris, d'arteres, , de eines, de tendons, 'osseleis se comme la dissectio que 'en ai filite me se a appris. Tai eu bien des occasion de se voles, que ces monstruosite pouvolentis attre presque a plaisir Ilis' a qu'h, retraacher te bout de la iambe qui sese reproduit actuellement; serutout quando es dolgis commencent . paroiere Deis nouueau doigis ne laisseront a deo ouiser mai tres- uvent iis serontis monstrueuc j veu dixe que leuris nombre surpassera ordinatrement eis naturet Les ted auron ain plus , de in doigis, Cle main en a se ron plus de quaere. Si te deso Dis admire es nomalier. Dirons- Ous done , que es nonstres queri observateur a te ouuoi de seire se attre, tirent leur rigine de Geruis me primitivement monstrueuc cre, dat Iudaeus Appella non NON SPALLANEANI explique ensuite cesreproductions extraordinatres par esprincipes que 'avois ache 'etablirioue de cas analogues 'emi pas, di se ii, infiniment plus nature de penseris que te retranchement de dolgis nai se an est une condition qui donne lieu

, a conjecture , que rabondance des, liqueur animales qui affluento lacoupe de la nou velle ambe , ait dia, velopperis plus grandisombre de germes Eparatear de dolgis Lase grande mollesse du bout cooperae se a jambe qui se reproduit, 'emelle , a propreis faciliter e developpe. ment a multitude de rejetton qui

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dignitae qui paroit se propager a les

que nou puission distingue aveo exactitude les a qui appartiennent immediatementis dire stemen a a fisconda tion, de ceu qui ne tui appartiennent pas, o qui ne tui appartiennent qued'nne maniere mediate o indire fle. Ona oujour craindrerici de choque les reglesta'une sitne Logique cette r flexion s'applique encore a bien 'au-

tres cas relatiis a la question sedebattue de rorigine de Monstres. Fiat iure I

Fiu de aberandae artis.

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ET ARTICLES

580쪽

ration ibid. XXX. De Monstres. . . . . . . . . ibid.

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