Manifeste ov declaration en forme de lettre, addressée aux electeurs, ecclesiastiques, & Duc de Bauiere par le Roy de Dannemarc. Contenant les cavses & iustes raisons qui ont meu sa Maiesté à prendre les armes pour la defense de la liberté de l'empir

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stian de Brunsvic,& du Comte de Mans- feld, pour conduire a i Empire, donile Generat Tilly les aduertit incontinent, Madmonesta de penser a leursaifaires, & leuordes gens pour prouenir Ce dangera; ce qui me resolu par te conseil de plusieurs de ce

bien quo les Constitutions Imperialis le

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pereurpariettres deViene da 2I. Ivina esserit quil estote tres content que nous pristions garde a nostre seurete contre tous dessetns & hostilites e toxit selon Sc confor mement aux Constitutions det Empire. Orparce que iusques icy il ust nous peut estre reproche , &ncle sera iam is, que nous yayonS en rien controuenu, it sensuit , dcsa Maieste Imperi ite en sera Iuge , que

auparauant sori necessaim, bc commenous

auons die, in cust admoneste te Cercle M

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nes aurole se cotturir d'aluctane raison legitimo qui puisse rendi e nostro preparatis suspect sinon tu'il est trop granii. Et jacoitque nous ayons derecthes expose nos rat- sonsa rEmpei cur & au Generat Tilly, ait quel toutes is nous ne sommes tenus de xendre compte de nos actions: mais asin detesimoigner ata monde nostre inclination ala palx &concorde Publique,que nOS ai meSn auolent este pristes que pour nostre stuledefense; ce que nous auons asseZ fait paroistre , n'ayant iusques icy offence personiae auec nostro armec, ains layant tousiours tenue dans le Cercle vers te fleuite V ve ferpotir laseu rete de nos Prouinces. Cependat

te Comte de Tilly au mespris de ces chosesa jette hostilenient ses trouppes des ic mois de luillet dans co Cei cle, qu il arauage en

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sterite. '

m0rteis de quelque qualite & conditi 5 quil

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nostre possibic a ce que les Princes Sc Estata de rviae & l'autre R eligion iouyssent unani mement dirae patx tranquille & asseure comme il est bie seant a totis fideles Chrestiens,& que par viae pleias e volonte iis tras, ametient la liberte de la Religion &del E-

stat,que nos Peres nous Ont laissee, a ceuX qui viendrone apres nous, auec a Utant d

solia qu'il importe a totito la Chrestienteque i Estat de I Empire soli conserue en sa

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I puisse apporter aucun mauuais foubcon dela part du Comte de Maskid veli qu laeest