Oeuvres de Molière:

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Monsis , comme te motae est pisin de medimnis, i mi au-devant dea choses et e leur disοis que, si Me, Flan leve venon dire desinainvous, inos se gardassenthien de te croire, et ne manquamentias de lui dire qualen auron menti.

s AN ARELLE.

Ce sint des impertinendi. '

s CENE VIII.

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Comment'LA RAMAE.

UNE assalae pressante Eoblige de partis d'ici mala evous prie de uous remouvenu decla pares que e Mus aidonnie, et de mire que ous aure de me nouvelles avant qu'si soli demain au sola.

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Mons vite, Hest tro Jhonneuesque e mus sala et bienheureis est te valet qui peut avolada gloire do mo

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ser, me soni Venus demander mon avis fur dimentes malassies.

D. III AN.

rint remercier.

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est une des grandes erre sinu solent parta las

s GANARELLE.

L osset est admirabie l

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viis laisson lacla decine odio me σον potat, et parton des autres chosesica cet habit me donne doresprit, et e me sens en hume de disputer contremo . Vous fave bien que uous me permette les disputes, et que ous ne me dήsende que les remontra es.

s GANA BELLE.

sGANARELLE, en se reculant.

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FRANCISQUE.

Ie te suis bien obligi, mon ami, et je te renia grace detout mon coeur de ton bon avis.

Aut monsisuri quel bruit quel liquetis l

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D. CARLO S.

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On a cet mantage, quondat couris te momo risque et passer aus mal le temps h ceu qui prennent sanislsis de nous venis salae une offense de alte de coe . ais ne seroit -ce potat une indisciation que de uous demander quelle peutque uoue assalae'

La chos en est auctermes de nen plus salae de secret; et, oraque rinjure a unestis claia, noue honne te Vapointa Mesola cacher noue honte, maisa sine Mater noue Vengeance, et , publier momede desset que nous