Oeuvres de Molière:

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C'est bien 1 uous de salae niabile hommel

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qui croire des dein et quelle resolutio prendresin des avis si opposis Messieum, te vom conjure de M- termine mon esprit, et de me dire saus passion ce qua uous cmye se plus propre a Mesager missile.

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Et commmces hume Pont εω u ingendiae par uno longue succession de temps, elles, soni remites, et ontacquis ceti malignitε qui firme vera a region ta cerveau.

M. BAEIS.

M. MACROTON.

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Et ous suis infiniment obligi do I peine que vom

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M. FILLE RIN.

N HEet ous potat de honis messisura, de monim viride prudence, po de seris de uoue ase, et de uous Otre querellia comme de eunes dis dis Ne vG-vouspas hien quel tori ces sortes de querelles nous sint parmiis monderet, est-ceias asse que les inuanti olent les contrarietes et les dissensions qui sonuenire nos auteum et nos anciens malum, sanciacounis incor auieuple, par nos Miais et nos querelles, ta sorsanterie de noue ut 'Pour moi, e ne comprenti rien dilout hietis mωhante politique de quel quesinns de nos gens et ii laut consesserque inutes ces contestations nou on dἡcries depuis prud'une ina e maniise et que, si nous ny prenon garde, nous asson nous rutae nous-momes. Je n. parte pasmur mon in t car, Die merci, 'ai ἡμratilli mos pestes assaires. Qual vente, Ut pleuve, M'il esse cem qui soni moris soni moris, et sal de quoi me passer desvivanis Mais ensin inutes ces disputes ne valent rieni ris mεdeuine Puisque te ciet nous Licia grace que, depius

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copes, par leur Usidictions rompeuses, profitent de lavanit et de rambition des critales espriis mis te plus grand Bible des hommes, clest ramo 'u'ilcontio da

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Allons donc, messieurs, melle bas out rancune, et salson ici vove accommodement.

M. FILLE RIN.

Cela est filii.

LIS ET TE.

M. Torias. . .

LIS ET TE.

m insolent qui ceu ressi onteriera entreprendra sur

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Ie uous permet de me tuer loraque burat reco ca