L'École des maris, Volume 2

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riage sans a permission de mon*oux, quoique ien ye des preuves incontestabies , si je, eusse apprisqu4 vous adrindit se Meux En le

gina dabor que quelque personne

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la plus vile imposture. ais e vous iure par tout ceriu'iij a de plus sa

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histoire, uous pensere peudetreque te ne indrite que votre compassion B.

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sing cesse a mon imagination lorsque enctois pas avecelle, '

tes moye'. imaginabies pqurna seire constTrir, me desiis. Je lui ostiis de lui donne annuellement ne sim me dargent asse consid&abie, je lui promis de laugmenter torsque e serois mattre Sune plus ample fortune Enfin e noubliai rieniour

parveniri mon but. ais elle refusat te mes ostrea avec ne fermetό qui me se spera V a passion4'accru encore par cette resistance, istis

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convainc que la prudenc ne mopermetroitias de lavoue tant quevivroit mon pere, e sus agit'par esplus grandes inquiesudes. J corm

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de dire la udritable mison de soni . sus , elle consentit a partir, quoi- . quave la plus grande Epugnance. Jene fusias longiem fans recevoirune nouvelle qui me causa dabord a plus vis inagrim, a ce parent mdcrivit uimois enutron aprὶ sondepare, que anc avolt pes dans la traver e Toute is e me com

sible Peu de temps ames la mori demon pere, sentrepris de faire te tourde 1'Europe Ie restat en France, en Italie plus long tem que e ne radiuuis projettes ais , solidans es pays

etranser i Di dans te seri de ina

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'glle me die Velle a de fortes rabsensiour croire que te, at plus pomelle que de la haine, du--riss

sisu pax sim parent , qui voviqit