L'École des maris, Volume 2

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P. S. Queique puissentque Ies

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sint qui est la victime innocente D

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pas lexόcuter, dans la cratote quellene se rendit coupable aux eu deson pere rac'u'elle ne perdit oute son affection. Cette eule pens oeffraye Dashmood, ciba asse deddlicatesselour alme Geu atten-dre des circonstances plus favorabies, quera expost son epous, uix mal- heur presque certain , si elle Divoleson penctant. Cependant, apprε- hende quem e*drance ne solitrompEm, a te vis ressentiment de Sit Rober paroit augmenter totistes ours. Je ne puis approuuer cette infidxibilit enuem nisi , iri an enement tenuria conduite la plus digne Gloges, non-s lement de

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Iuste ciet , ma chere C&iles mastauri fondante en armes, est venuem trouver, Iour me dire que monpere, layan surpris dans un m ment οὐ elle εcrivoita Dashood, ravolt naenatae decla chasse declamat es, si elle continuolt a luidonneris 1 rece tot de se nou- velles in elles Lassurde enishme-temsinii esse rauroit volontier prisau moti si es prieres de sota mari,io intes au horribles sermens deSi Robert, ne tui avolent fala re-garde commeune chose inressalae de rester Mec hous in Sy attendreave patience des our plus heu

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des gutae in rEduite ad plus grande solbiesse , esse Uavolt plus que que

ques instans a vivae Cependant ello me tendit uno mala , mais sanxparier, mylores me salua , em me remerciant , dune voletable , de ce qui appelloit ma complai ance Illatoit assis surciae lit de socidpouse, tenant ne de se mainx dans es siennes , la portant seuventa se lenes in paroissant Eue danala plus grande agitation. ou ia. pauVre Constance, apths avia si alternativement ses xegaias langui

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ave eues our votre ConstancelApse ces mois, esse rendit te dedi fiter oupit. Je ne pilis mus exprimer , mactere Cdcile, e qui se passa dansmon ame. Ne pouvant ni parier , ni