L'École des maris, Volume 2

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.lement. Je ne pus nempecher de

urire a ceton d'as urance'u'il pro n'itiaVant de Iavpicentendie. Quoi qui en soli et chantardelliement fortaien .elle auroitu plaire avx juges te plus dissiciles, si sonam neu pas Al si affectde Clia bur rencourage , α elle paruigouter la plus grande satisfaction. Pour moi, e uous avouerat que enetois pas si contente , parce que ju

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eommensois a croire uelle mole dessein, ainsi que se compagne Ἀεdine avec nous diu faire donesen sorte quelles ne restassent pasci te proposai de retourne a la malis, tant 1 cause dun mal de Medoni jeme plaignm, Me pou ne nous pasexposer ad chaleii qui commen ita deveniri sidctabis; ε .sore hei,

reusement ausit oesque nous limes

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Aumbi qu esses furent pareses, te

lance encore a me montre a Vos

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hien je me reproche mon antipathie

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aut causein salsissemen surieste par

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que e ne pulsia ni imagine quorie stat capille de tui faire manquerde fidelite . Lucie tu de diminuet

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jamai contente, si celat que te ciet me destine est molns tendre, moi affectionnε Il est certain cependantque Charbuty sans ay0ir Cette te dresse, se conduit dune mantem

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de coeur, qui me fui impossibie de