L'École des maris, Volume 2

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circonstances que te ais vinis a

conter.

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ne suis don pasci h de Iarsiolution quelle paroli avia priso

de ne nou voi que ei rarement,

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extas, mes eu se fixerent sit ce

a pein respirer, de eur de tro hierson repos. Dans cet instant, ne epe entra parda senetre in alliat se reposer surde visage charmant quei contemplois ave tant de plaisic Μon premier mouvement ut Mechercher al&arte .craignant quellene lui portat quelquaueinte funeste :mai , soli par mal- adresse , o quunmie taloux de monaonheut ait oul en abrege la duree, lae main avectavelle e messorcola de

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eliasset rinsecte dangere , touchaia belle dormeus qui se rέveilla aus

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fibles, en lembrassant aussito quae nou fumes remones dans notre volture. Μ Constance est,raiment

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teste , qui an cesse 9udie mes

elle me laisse sans parolire facitae, si que uesias impatienco de

ment, se regard attacluis su mov

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et oi est galeo elle uelle

Non te suis Iun- Iautre. Ques paradox Cependant, tant que Μis Grasto ne se mariera pas, e supportera mon tat plus patiem mere. Que dis-je Tarce que e neriis pasta possesse , dois-jeQuhaitet esse passe se eunesse la salson de ramour, sans outer se plaisirst II est absurde de formeri te des esse sit, mala te ne puris rara

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I. sui, enite malli reuae mini mi , parce que e ne pura te arpretam in sitiet de mon inex enim