Pauline Foucault

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livenient durae j et par Adhle Cette

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dans levemerdes rutis defendus et ponsaliriu' Paris, les lammescies plus hon- netes, meme san y morere, ne haissent pas de voi de pras, de ioueherrae fruit

ceu ci, une curiosite et une elude.

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rerat de s presene te rout intime de madam de Sainbovide, o se preoccupade la tollelie de notre heroine. Pourde coup, a petit iupe notro et son inevitabie corsage de drapis'eiatent plus de mise I saltat improviser quelque chose Adele se devova ave bonne grace a celte aeuure delicate. Oh essayade vingi coissures; amais Paulinei'eiait reste si longiemps devant une glace. Toui en Oulant de peries, en chillon .nanides dentelles, en attachant des neum, On elait quelque pelites remarques, des interrogations subtiles, qui trahissalenties preoccupations secrhies des deux

Adele se salsai raconter te salo domadame de Villemoran ei se moquat unpeid'Hector Pauline affectati de plaindre Adhle, et de lui demander si cella viod'adiivite sterile ne la brisai pas.

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Madam de alni-0vide pariit 'unviolent eclai de rire. Comment dis- tu cela rignore siles auteur qui decoupent en dialogues des platitudes quanti cerae sontias des obscenites qu'o ne ourrat pa tiro pretendent a ne mission Mais e ras-ssrme ma chere, que les interpretes 'ysongentias durioui. Si dimoins, dans e mondei'eleganee ou tu vis, tu essayais de te donnerune valeur, une gloire intelleciuelle l

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leur argent uuant a rimportance sociale, j'en ai une : sals-tu e que me disait hierumplaifani de mes amis qui s'est donne I mani des specialites et qui, presavoir erit de drames et de romans,irouve plus lacile mainienant de gagnerso argent en salsant ceriu'il appelle de reconomie politique: Dans nos societes modernes, me disait ei homme charmant en salsani une igareite conomique les lammes d'un ceriai monde continueni te ravai de la Bevolution; elles emiellent les ortunes et les democratisent, en tes pariageani Elles achh- veni raristocrati et temperent la bourgeoisitasNous sommes doncine fore sociale, presque ne necessite nous Sommes unquatrihme elat qui prend an apres tes

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iout vollamoire devise , Sieyes aiu-bli de l'inventer. Gestria, a chere, leresume de ce que me disai ce eminent publiciste Nous cherchoninoire ira- beau mais lautes les lais, betas linu'uned'enire nou prend la plume, et critpou elabit nos droiis, ta matheureusese laisse ebloui parua yertu elle trahit, et passe ave armes et agages dans lecam des lammes legitimes. Sals-iu bie que tu es sorie en histoire repliqua Pauline avec ironte; maispuisque nous parton poli lique, aisse- moi te dire quo uous eles remeute, ouSaulres, et que ce sonides lammes commemoi, les ambitieuses de rhonneyr, quisoni la vrai Bevolution Vous emtellegles fortune en tes sterilisant nous es partageonte les secondant; ous enm-naillecla nobiesse et Uus corrompecta

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T. II. lo

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I'ai endum ouies le angoisse de res- clavage our meriter de iure de la Hede a liberi et de amour. 'a sat unprojet heroique donicie ou De mais donicie suis si flare, que 'est comm si