Pauline Foucault

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I ne parte pasi'aimer, Despreis, repartit Pauline ave lenteur, en obse vant son amie. Si reprouuais fautre amour, repliqua Marte que es conssdences enirai-naient, e te cacherat si bien, e te puri-sserais dans deissammes si ardentes, quo personnei'aurait ledroit de me te repro-cher, et que, brutant a son de molpou me consoler et me conseilier, il entrainerat au devotr allieu deis'en detourner. Madam Despreis, en partant insi,

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etait sublime de beaute et 'enthou siasme Pauline, qui la regardati ave unsoupeton, ut eblouie. Itqui semblariu'sile assistat amne transfiguration mais, en meme emps, elle se sentit atteinis et Ioudroyee Ilo avait tro de lumisire dans es Dux de s cousine pοur qu'lim'yeu pas de ramou au fon de son ame. Cette martyre laissati voi te seu de son

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Le reste est mon secret uous ne merave pas demande Mais, 'it ous e

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184 PAULINE FOUCAULT

j'aioris queique precautionsiourAESSurer Oire tranquillite, et, si run de nos deux maris peu donne de 'inquietude s lamme ceχ'estias te votre. Hector elati pres de uous hieri Ingrates dit Marte aveo te plus na-vrani et e plus charmant fourire qui ait jamais sal brille la pitie et te devove-men suries leures de lamme. Dui j suis ingrate, e suis folle, j suis matheureuse reprit Pauline ensondant en tarmes; tout m'accabie Vollaque jen'aipas memele merite de m'eloigne par respectiou voire bonheur Jecroyais fui voire mari, 'est ous qui

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nos insideles qui 'approclieni essuyegoes vitaines armes de colere M. Des-preis 'imaginerati que uous pleure dele quilier. Marte fouriali en partantisinsi, et paSSait, commmune caresse, Ses dolos charmanis surdes paupieres de s cousine. Comme ous aurie rendu heu-reux dit Pauline a vota basse en retenanta passage a main de Marte, qu'ello appuya Sur Ses leures. Mari ne repliqua te a coraernier motaeie dans u soupir, et pressant lepas, elle rejoignit Hector et M. Despreis. Les adleux sureni embarrasses et contrainis Marte garda sevi une presenee

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satre a son mari, et elle donna a Paulinete murage de domine son emotion.

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jela dans les bras de s cousine et l'en- irainant unie a recari: Je ne eu pas rester, et 'aiieurde,'en alter, Iu diNelle en a serrant contre saloi trine inuelque chos me dit

de mes paroles de iout a rheure, et jureZmoi de veni si je uous appelle. Je me sera appeter repondit Marte

- Je suis solle adleu, dit madam de Villemoran e montant dans la voiiure. Hector et Marte serioueherent la main.

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M. Despret assuram de illemora desa parsali amitte, et salua a confine ave respeci; puis a voltureis'ebranta

franchii a rille et parii a grand

Marte les fulvai du regam avec tris-iesse. Εlle tenati son plus eune ensant surdes bras. Au bout dequelque instants, elleri'apercutinu'elle pleurat et que les joues roses de son nourrisson valent rei: les tarmes Esse te essuya dans unardent baiser. . Despreis tui aussi, regardati su lechemin mais illa'elati pasχ'humeu melancolique, ni dispose a pleurer. M. de Villemora estis charmant homme dil-il a Marte en seriournant aubruit de caresses donnees a rensant. Quani a s lamme, algre son sprit, Oualen a cause de son esprit elle ne me platrati vhre.