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O M M E l 'excellente des Aris doti estre consider Ue, ou par titilite que nous en re- ceuons, ou par la reputation & rindustrie des oviariers qui en sent profession, ou paria richesse de la mallere fur laquelle iis tramaillent, ou par la dignite de la finqu'iis se propossent: Aussi dans la pens de qui m'est venue de donner au public quel-ques pleces de Musiique de ma faῆon, j'ay creu fans doute qu'il estoit bien juste qu'o utre te trauail det 'o rier doni je laisse te jugement libre a to ut te mon de elles , fiassent accompagia Ees des aurres choses qui peuuent rendre considerabies des ou- ages de Cette nature. Pour cela in lieu de matteres profanes j 'en ar choisii de Sa intes : ec de fati peuton Pimaginer Vne plus grande utilitό, que celle qui contribuo a no stre salui, me cliose plus I iche queae Smatieres sacrees une fila plus nobi e que la 'oire de Dieu λ Ioint qu ayant res tu de dedier mes ouura Cesa une grande Princesse qui de la Piete a fati te thresor de ion coeur , certes je nepouuois pas chois irdes su eis plus propres dc plus convenablius au dessein que j'auois sorme dans mon es prit dc que 3 ay ae-
CEt ΙIlus re Euesque, plus illustre eiacore par a Vertu, par fa Doctrine dc par son eloquence que parsa dignite, dia quel j'ay fait enirer dans mes compositions , une partie des Oe res Poetiques touteSC' restiennes qu'il a Dites, j'usti fiant dans lamerueille e Pre face de son Liure cette sorte d ouurages , a ius is ὀ en me sine temps ce que je falsa ourd'huy : Et comme it a rendu a la Poesie fa premiere purere en ta rei ermant dans Ies rei gles de la pudeur, pour d 'une prostitude quielle inbit en Dire une Ves tale de viae Religi eu se , pleust a Dieu qu 'a l 'imitation daevn si grand exemple je pusse demesime purifier la Musique M la renare toxite chaste. Ces deux Aris soni austi anciens I'vn que t 'autre dc comme alli eZ : Iespremi ers Poetes ont ei te en in me temps les premi ers Musiciens , iis soni appelleZ d vn mestne nomdans la langue satiate, dc auant me sine qu'iis iussint esciesreg des Lumieres de la Foy, iis n Oni potne Chante daeautres choses au commencement, que les lovanges des Dieux ou des homines qui i 'eltoyent acquis par leurs belles actions I'immortalite. La Republique de Sparte ivtuant les Loix de son premier
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Legislateur, ne permettoit poliat de Mus que a ses Citoyens que celle qui leur inspiroit du Courage dans
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Is 2 L EC TI V R. Votre tres humble Seruit cur L DE SEN LEC V EXTRA IT
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MIS ES EN MUSI E A CIN PARTIES,
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bis. Sancta Dei ge- nitrix, ora pro no-bis. Sancta Virgo Vir ginum, O- ra pro no-
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mbis. Ma - ter Admira - bilis Admira - bilis, o - rapro nobis. Mater Cre-a - toris, Mater Saluatoris, Ora pro nobis. Virgo pruden- tisD sima Prudelissi-
ra pro nobis. Virgo Clemens, ora pro no - bis. Virgo fi- delis, O- ra prono
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ra pro no - bis. Causa nostrae Iaeti - tira pro nobis. Vas spiri - tua - le, ora pro nobis. Vas honora- bi- te, Ora Ora pro nobismus Do
pro nobis Pro nobis. Foe- deris ar-ca, Ora pro nobis. Ora pro nobis Pro
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nobis, o - ra Ο - ra pro nobis. Stella Maia-tina Matuti
rum, a pro nobis. Regina Regi- na virgi
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ra pro nobis. Regina sancto rum om- nium, CP - ra Pro nobis.
Agnus Dei qui tollis peccata mun - di pec-