Bulletin de la Société impériale des naturalistes de Moscou

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deri'autre, conserver, actuellement et en se perpμ

comment les agent extεrieurs uti modifier les organismes comment, par exemple des organismesnέ primitivement dans les aux, se soni constitusispour iure datis, mille agrien eis: non Ot, dans te sciences naturelles, es thsiories euventauoi leur aleur, ais elles ne dolvent servi D'.

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tinx, e qui ne doti a signifer qu'un orme utine conserve devient crevisse, ouriu'une tortu devient i quille. Non il restera seulement prouusque des sigέinu et des animau trὰ divera sortent dela sim matrice, sirivent de insime vέsicules et passent les uns dans les uires h la grit dans desproportions presque oujour microscopiquos, e quine doli pas Lire ne objectio sέrieuse, uisquetous es tres, petit et grauds, commencent par tre

protocellule, peut selon te circotistances, coutinuer vivre mus forme insitate et s'organiser our On- De naissancea dos sormes 46tales supἡrie es plus compliquEes, qui, une sol devenues telles, se perpύ- tuent avec toute les quatitsis acquises potir 'arreter dans leu marche ascendante hin degrέ indἡterminέ. O bien a plante eui se rέsoudre en cellules analogues h celle 'o esse provient Ces nouvelles cellules ourroni suiure te rhythme Φέtal, ais olles s organiseron aussi en uno certaine forme supύrieureque 'on admet dri comine ne forme uimule,l'Euglena viridis o formes volsines, par exemple. Cette nouvelle forme Eoophylaire iura et grandira jusqu' ce que par ne certain silisire, elle se rosolvera son Our en ussicules prolocellulaires anal

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gues h cellos osi elle sirive et qui ourroni de Douvea suture te rhythme ἡgέtal. Mais notre protocellule 'en est pas . la forme QEtaire, as ὁme Lia forme ria animale dea'Εu-glena viridis elle passe par de transformations qui amὐnent de sormes animales consid6rablement plus έlevέes Dan te premier embranchement dono des vi et de s multiplication, o volt Ia prolocellule donne naissance a des plantes qui persistent so leum sormes vέotales acquises, et qui selon tes cim constauces , 'acclimatent a milie atmosphέrique aprἡ auoi pris naissano dans lesiain Dans te se- con embrachementis Panimation atteitit uti degusi supέrieu et o les omines ne soti plus des lGment cellulaires, es tres εriv6s de la prolocellule, ne euvent plus renire dans a forme primitive prolocellulaire, ni donne naissanceis de vinctaux; iis ne euvent que produire 'autres organismes an mala de formes te plus diverses oti e volt doucdsirive des tres qui originis non immemores, se

ganisation semblent oublier eur origine, et qui ne se reproduisent plus par scission inuis au οyend inusi et les oeus chea es animalcules, se prύ-

Sentent eucore comine De parti consid&able dei individ reproducteu . a parisissure est eucor undegr in Pleur de multiplication, qui, si elle tali. laseule origine des tres qui se prsisententra nous, erigerat que es organismes e sent tyla o iis ne

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se trouvalent pas 'abord. 'mus, en urgeant les msime prύmisses, est dέj une gemmation intόrietare, qui ncore norme che les animau in Pleurs, passe parrae circonstances et les conditions volutives commes dans es animau supέrieurs.

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Dales et vaginales, es moebea genoualis, etc, u iu'it 'agisse dii oenia fortant de vesicules nuclύ lέos 'une glande, aveo a lacuit de se reproditire

Ce D'est a seulement dans l'έtude des microw pique que ron est expos h des erreur etra dedo te emplois h prendre our ne nouVelle es-pὁce, individu eune, avantis aprὐ la ponte uen vole de se transformer cla vέritύ, che les o ganismes petit et grands u embryon, ne larve, unci eune individu 'est pasci type de 'est'ὁce dulte et parsaite, qui ne eul commencer par treadeste, ais qui peii cependant a sola premier our se trouver tre adulte, par fuit de m6tamorphoses. Pourrae microscopiques, o est fouvent embarrasside prononcer suo es manes, 'age, 'espἡce les transformations qui tombent ous es eux et les doubles emplois soni plus r6quent que partout au- leurs, algr tous es solus quera'O peut metu afuture les diverse phases duῬέveloppement, qui lotud'siae uniformes et constantes comme illeurs, e vent abouti a ,sime sin ave de caractὐres sortdisiarenis. En renantis hasar te petiis tres quipeupleut es aux, i nyest a toriour facile de Prononcer u leur nature, et de classe de formes qui, Egsitantes pour u certain temps et dans decertaines conditions passent hisne vi plus animale et se transforment a potnt de donne Ies prodesistes plus vari6s. Discuter surcia nature 'δtres donio ne connesi nici origine Dira siti, 'est que 'unmince inisii et our a science Se contenter 'euregi-

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ster systsimatiquement les petit organismes qui tombent ous e microscope, 'est atteindre te ut queron eui initimement se proposer, elui e multipiter es spἡces et de grossi inutilementisos cates gues, de s6pare en utre e qui est uni, sinon parunisi de famille, d molns par ne communauiad'origine B laudi a certes orguavant une certaine έlasticit systέmatique ara'inard 'δtres enuhrementdisssirent par a forme, te moe s la reproduction, et qui reconnaissent cependant uue ὁme origine illa ra ne plus heurte decimn les satis qui eulentque des vέgέtau inserieur ne solent plus siparsisque our simoire de certain animaucleum parenta, et qui nous montrent que les embranchement de laonέratio de certains tres prennent les directionstes plus dissῆrentes, que des organismes πὰ diverspis es formes et les habitudes, que des spὁces eriun mot provenant 'une ἔme matrice, continuent

se reproduire ave leur physionomi acquise, en perpsitum leur race a mOyen 'oeusi, sormant a siun embranchement inui dissgrent dii congέnἡre, quieti est rest a des animalcules plus in&rieur ou quies allo me vέgsite fous de formes de plantes. Le potat de dέpar et comme te ivo de nos d&ouvertes petit se placer dans rLuglena viridis, quia i e registrge et diversemen nommge par esauleur svivant son ve o son degryde division Lataille, a forme, te sitamenis, a vέsiculation interae, te potui ou es potnis ouges, es uom obscura, iaridis rosea deses, acus, etc, etc. 'ontriu'une signification systgmatique e importante dans une espsice

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aussi protἡenne, signification quiri efface 'ailleur lipe prἡs utiὐrement dans 'histoire ionualite deses transformations L sysiamatique ne notas apprendque des uom et rie de l'origine, des in s dela repmductio et de latan de ces petita tres. Les Eugisines se trouvent dans resque oute les localitsi et euvent se multiplier, comme o sali, aupoint de colore les aux Dans uri moment de leur existence, ousci'innuenc de la lumigre elles ἔγ-gent beaucoup 'oxyghiae et produisent 'inondanis prέcipiisis insiraux. Que E leua viridis sol considύrέ comme uri auimal ou comine u V46tal, sesphases et se m6tamorphoses Trent 'histoire peii Etre la plus compisite de phέnomsine les plus simples et les plus clair de a nature animέe. Lesinu siniens et Astasiens des auteur soni des sitres proisiens de grandeur variabie, aux 6tamomphoses te plus simples et les plus diverses, O susceptibies de donne naissance in formes es plus variέes, que o De sera pas eniata de reconnataee, si l'o a laiss sichappe les phases orphogeniques,pas plus que 'o D'aurait amat reconnu ne che-Dille Les Eugignes soni es prolocellules par excellence qui enjambent dans les dein ἡguos, et quipeuvent ire lariouche des conserves, des musses, etc deveuir 'uti utre cot les vo-utriculos des Rotatoire et comme par hors-d'oeuvre prodiare aus- si te formes intermέdiatres ou ascendantes de Insu- mire utriculeuae de Clasteriens, des Diutomiens, des' emiens etc.

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Dans le oui an des simonstrations inserat pro que sicessatre de remuer ne Lyrielle de uoms, rudis indigestaque moles, qu'il est si fastidieii de compulse et dou on accepte e roit 'Mnesse, si elle eui se monti e quelque eu lastique et indu gente On oudra bien Dous pardonner oute is de ne a satre talage de citation et de synonymie pamce que nous 'avon potnt de matἡriau sous Iu mainet que uous eri sommes rέduit ire de mἡmoire,

la quarminine Au reste, nous avons iugsi inutile de reprύsente les formes vulgaires et 'augmenter te planches en saveur 'animalcules connus de tout te monde, et qui ne contribueratent que sidiocrementisci'hisinire des mέtamorphoses. Et si nous ne citon person ne ce 'est pas que nou pension querien n'a totait dans es recherches de nos devm- Ciers, 'est que nou n'avon pas eu a contraire lagrande resso cerae leur trava . trahis i nous arrivera de nous rencoiitrer aveo 'autres, i y aura plusleurs simo nages a seu 'unci et Ia o nous resterous fetas, o uoudi a te se donne la peine de via ce que nous oons ou et si nous avons hieri u Et quelque erreur de simoire u de sitatis

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Notre prolocellule eugignienne est donesta matrice commune de tant de petits sitres qui peuplent les eaux, sol plantes, sol animam, san qu'il soli di que e sol la seule matrice possibi de la4έnέratio spontanέ et ascendante. Il est possibi qu'd y ait parmiles Euglὐnes de formes qui, ne sol acquises, se transmettent ussi h toute ne lignsie, et que ron soli autoris h admetire des sphces, D'i Ludraitd'ailleur dύmontrer. Sira'on eui έvoque en doliteque outes es petites u sines, avorisέes par tescirconstances, atteignent laoaille et a v6siculationdes grandes, i est constant du molns que es grandes euvent donne naissance u petites, e quis'expliquera leu plus bas. Au reste ce 'est pasnotre assaire que de discute les euhces 'Eu sines,mais de su re leur transformations doni lacio est communera tolite les spὐces, quelle que sol leurorigine, et donicies produit si varisis ne varieti ce- pendant que dans de certaines limites. En sensites, es petites sormes d'Eugisines ne euvent s'6leveris proditare es sirivέ des grandes et

quan nous dison petites, nous ommes asse arbitraires le petites sphces Onc, puisqu'il saut tracerdes lignes de simarcation notre sage, ne Ont γῆre a delatae proditire des Rotaintres, donta plu- pari des sphces, except les Roti res, restent si riles Les circonstances sontis reste si multiples et