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Haud deerunt qui primo intuitu illud meum assertum,gre serant, imo forte nec ullatenus serendum pronuntient. Quos lamen non dubito Sententiam mulaturos, si allento ac solam veritatem exquirenti animo subjecta documenia et ratiocinia recenseant ac perpendant.
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g 1. - Serim documentorum circa conventum cleri gallioni anni 1682.
DocUMENTGu I. - secerpta e diario I 'Ami de la religion. u Les divisioris enire Louis XII et Innocent XI commencerent par la regule. La I sigale et ait, comme on sati, un droit par tequel nos rois j ouissa leni dii revenit des ovoches pendant la vacance des si eges et conseruient les hensifices deleur collation. Ce droit ne s'elenduit pollit fur lous les dio-
ious, et ii ddclara la regale imprescripti ble et in alienable. Tou Sles L eques exempis jusque-la se so umirent a l' exception deceux d 'Αleth et de Pamiers. Le roi a Sant nomine aux benefices vacanis de leur collation, parce qu iis n' a valent pas salteri registrer leur secinent de fidelite, ce qui elait censsi clore
ta in S, les ordonia ances des deux gueques. Innocent XI prit leparti de ces derniers, et adressa au roi, le 12 mars 1678, te 21 septembre sui vant, et te 27 decembre 1679, des bresspour Ι'engager a se desister de l'extension qu 'it vo ut ait don-ner a la rhgale. Louis xl V ne se rendit poliat, et des mesu res de riguo ur sureni prises dans les dioceses d 'sileth et do pa-mierS, Surto ut apriis la mori dos detix prelais. M. Paxillon, evoque ii 'Aleth, moui ut te 8 decembre l677: et M. Caulul, sive que de Pa iniers, id T au ut l680. Ce duritier diocese sui en prole a de grauiis troia hies. Plus leurs eqclesias liques furent
exiles, d 'aut res mis ora prison, et uia grand-,icairo nomme - par te cha pilre, te P. Certe, sui condamnsi u inori par te Par-lement de Toulou se et exsicut fi ori effigie. Ces violences Sontraconlues dans plus leui s stcriis, et entre aut res dans une
1 l id est consenserunt aperto suris bonorum ecclesiasticorum Cumque Episcopus nec licile nec valido possit Ecclesiae suae bona alien ire, suit haec praesulum Galliae agendi ratio scandalusa a que ac gravissima priuvaricatio.
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ligie uses tracta merent leur droit d'election et recour urent auPape, qui leur ordonna, par uti bres du T aout l680, dysilire une nouvelle supprieure. Los religi euses le sirent. Mais te Partem ent de Paris appeta comme d'alius du bres, et main lintla premisi re sui'siri eure. Achille de Hariar, procureur gsineralet parent de I 'Areliquoque, pro non ζa en celle occasion, te 24 septembre 1680, uti requisito ire ou il donnait au Papedes avis enirem olds de menaces, qui ne durent pas pia ire ala cour de Rome. It 3 eul en corc fur celle assa ire de Charon neun bres d'Innocent xl, dii 15 Octobre 1680, et ian arret duParte ment dii 4 dhcembre, potir appeter de ce hres. η L'Ami
v l 'assem bide du clerg si qui se tint ii Sa int-Germa in enJaye, en 1080, arant etsi instruite des bress sur la regale, ecrivilau roi, lo 10 juillet, avant de se separer, uno tolli e dans la-quelle elle istino igna it son elonne ment de ces bress, et semon trait disposde a prendi e des me Sures et a prole Ster contre . . . Une asSemblee extraordina ire dii clergh sul convoqusiuen 1681. Il n 'x eui potnt ii 'silections dans les provinces, maison reunti Seulement les prsilais qui se tro uvalent a Paris, et
ill Debuisset dominus t 'leot inpriniis citare opus cardinatis Flandrati, cui titulus Ga lia pindicula. ubi collecta suere documenta authentica. quce inauditasi citiusmodi violentias testantur citando unicum mauld irum lun-eritSino adindictum, suspecta potius reddit sacta ista. Nec una vice, sed pluries hac arte usus est dictus i icol