Lex Frisionum

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io Cham de Maille a la tete de la ligno Le

mis it 'emit servi de obscurit de labuit our se retirer Nous allames don rejoindre les Prim

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violae des armes, que te Duc de Vendosme avola flecti par la suraris de Gand, de Princes disje, aerent me eme inpardonnable de 'avola passiari rennem ave tout ramde consterade et ab

lue par la perte de plus de - ο es antriues,

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pou stire u grand cou qui finit la morae, ili alloit marcher incessana mens te endemat o desa

par des com delaclid fout lo Ion du cana donrugo demoro e gran retranehement entro Jos de 'illos. Par a nou los enserations de eo Coidia jusqu' laber par Ostendo et o seri do Gla scindaset Par doctior iis Ptoloni sereis et ense tapar notre Flandre et lamen Nous convinmos donedo voto dans le Conseat de uerre consormomenti Co fiat veri te heures, quo hous notis rondimos a Chatem o logomon dumouverae

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rhardi se que je prenias de momola des scrup te contre te sentiment M'aurei granda Princes et Generam, da Auelle ouriant a qualit de D put de laetat in mon sement excusolent de direque je ne pomois pas me ange de leur coto, et apro e leur sentiment: de Meduisis, un euplus a large, des r Sons suscites, en F moutantque sans aucun danger rennem pommit gardereon poste, dant ulli nous verroit si eloimd dolui sans canon, sans artilleri et an magasius de mures h quitant Malare de Escaut et de la Lysi nous en e echoit e Transpori que partacontui donnoi te tem de se reconnostre L et de re pirer de ma perte: Narem attendant i Joindrost a

Braband que latamite aison et celle de la guerre

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Tui fuit uilleura

a caraetere de epetithouime,dotittout te merite

consiste dans une tres grande rUU- lino sans alaeuue elevation 'esprit, de gernosu

des sentiments.

exige ontra'alter a capital, quo leur salut o leur porto consistoit dans leur arando a Gand quo

Los deum opusds vivant se angissent de opinion de s Princes Geldemial se aput mon e mi imens, is os urat naias solblement et en Eo tisan, commorat avolt id do pro SSion: utre que deson natur et ii est e ferme et tro politi quin Cadoga et Oph recor vivirent Ies Princos, lepromior a cause qu'il voit aveo eu lo memo intero dans la prolongation do I guerre rautro est naturollement oibloseu resolu, et de meme Cou tisan, n osan de plus e charge de Hen, et a cliunt ordinat rement a talons Le rine Eugene

pourfans si aut tui endro ette justice apros

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ire te lege de l'Iste et de transporter pour celamine l'artilleri par terre enfrepris de plus har- dies, qui jamais 'est alte v Ia quantit immensedes charioth et Moe chevam pom tirer et voltureri Canon et 'artillerte avectae munition et iures

I aurei di inutile de remerare mon pro et surie lapis te parti de Princes emis pris, et ilis

auroit e de la temerito de les en presse de nouueau. I f. don resolutae donner our celales ortae necessalae tant a Consed 'Ein do Bruxelles, qu'a nos propres gens It tis en memetem arret qaeon marchemitrae tendemia vers Helchin, et te jour 1apres 'aprochemit de Istepour investir et empecher Uilta Ventrat a desecourse ni de munition de guerre ni de bouche.

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Cette importante ille se trouvolt degami de foutrit 'mavolt que deu bari et de Salade, quel Pag. 6. que t invalides, pola de Canon surrae rempari,point de munitions, ni de magasin des ivres. Lo i Gon : par re en meme tem destin pomprendro te devant de ramde aveo, gros de-tachomens 'Infanterie et de Cavalerie our ses si des venues Tout cela regi on ulla dinem a filiillour fuit de rius bien re pris rures dinde, dorsque par,

olle retoit our ne Hen dire de plus fori. IV

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On passa a Lys, et campara Ion de effeririere ne des plus belles et plus potSSonneuSes, D'onbuisse vola nocte gauche aprocha ametones a dela et Ia hoste 'appva contre Menin. On resta plus de quinse Jour dans e cam, et

liboria de latro entre dans IIste troves, mimiations de uerre et de bouche enta mustae quietoli necessat re ara defense de ceti importante place degariae comme elle refoti, nous aurions pris en est jours sans perte, a lieuriu'elle nommuta apes de sommes immenses, des millier denos plus braves gens, et it meme tout ramde dou dolos de a perte. Dioc ait Ies motis estin paressi conduli dos Princes de rastribu au essentiment encor mutuis; Due, qu'i nourrit dans son sein contre la

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mmcement siue de troupes a Comi de Tilly, qui devolt en avol le commandement, qu'il aurait coum risque de se vola attre parra duc do

tendant notre canon tranquiles a nocte cam ahoire et a manger. 'ennem cependant ne 'em

brutant, saccageant et metiant ous contributiontovis ces eam pias Cela donna alam cham

vit alor les uites funestos de nocte conduite Ma