Lex Frisionum

발행: 1866년

분량: 451페이지

출처: archive.org

분류: 역사 & 지리

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pour des sentimens et Ia grande experiences de Milord, d Comi et des utres Generam: Maisque do devoir de ma chame obligeant de dire

librement et selon ma conscience Sur,ne comon ture aussi critique et ussi delicate, sue celle ovi se immoti ramde, Mon avis, ces Messiems

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quelque Vantage Sur notre arriere garde que de plus o devolt considerer, qu'etant comme nous serions ferros entre les grandes villes Cambra et Valenciennes, et ramo ennetae a Poride, noustromerions mille dissicultos ou la subsistanc det Cavallerie que es dissiculi. de run cot of los grandes suifesta ne Maille gagno de aure me

determinoit, ne Maille, que non seulement nousn'avions amis evit avec ne inferioritd, ais recherch e tout occasion que Milor lui memeavolt et encor e mali de ce sentiment, et que

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CAMPAGNE DE IIII.

tentes, os remit Milor nous oui ut prendreave tui our iner, lais Mois e coeur tropgros contre a damnable Politique, qui en evitantia bataillo ne tondoit Ua prolonge la guerre, il enuisageoit dem tres grands Vantages, Ia continuation d Commandement de ram se et la mined nouvea Ministere, qui ne se ouuoi pasmaintem en eas de continuation de a guerre, rargent contant etant entre Iesbaina de Nigs, qui en serrant Ies bourses uinerotent lo credit dunouvom Ministere. Volla los tristes esset d'un Commandement et ran-ger Co ne ut pas a te seul rencontre, o ilm' par visiblement, quo Milordis a Jamais cher-ch do sorti de a guerre de me miS, tantainu dans mon quartier, 'abor a retro a monam et a Pension re out eo quo te chagri et

rindignation in inspirotent Ia lottre meme que Suria Hero de a Deputationis j'ecrivis au Mai tres,

m qabo passer laeseret aveo a mno mais apoinora toto de lignos avolt elle passo, quevoilara bruit, que rennemi rati uolt On 'a

tonberct a la tete do I ligne et te priois de faire Pag. I si T.

araeter a ligno, et de chasser a bon colaps dipeocetis anaille, qui par ne terre sanique, et suns te moindre tandement donnoit Eette alume: il lo fit o fout fiat hionio tranquille on se remit done n marches, mais par u tem si uoir, et dans uno si furieuSosive, utar ne voJoit pasquatre a devant Sol. Nous ournames alas Mutela rauit an avoir vanc uti quar de lieue. 1'ar-

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t ille io, qvi marchoit a pari, 'mara si bim, D'ollos tro a qua Si Sur la Contrescarpe de Bouehain. Chagrii comm yetois e ne pus 'empe elier de diro a Doph et a IIompescit, qu'iis nous f soloni

partio de ramee, qui par loriems, Ut falsoit, no gemit pas neor passise quo de plus oboserois pas su his do volara tendentia II domitus eampsi entro Escarpe et la Senserie, ii tro agago perdu et Ia communication avo Douai

et 'urna covdes que par eonSequent nou nous en retomerions a Mons aveo a murto hontessiavola si mal profit de la plus bello marche, qui omit jamvis fasto.

plique r. Oph de plus ne qui so justifer du

po do sol qu'il avolt pris do viro reconnostrolo torret avant quo do falae pa3ser ramdo. Il est fur, quo a confusion do noli marcheotoi si grande, quo maltar bo gro on ut obligo do latro arretor lae ligno, et Oattendre our: il paret clara a nouo grande Joyo, mais nous fit votis uno et range desolation tout eloit old, Cavalle io, Infanterio, agager enfin tot tot ledefotare, que si diis mille hommos ire en or tros lassent resonias, iis solent en elatra dolatrora dor mais M. de Villars qui vare enitation ue quo de Otiuem Cambycti, orni de totu, et u se remoti uno Artille te surieuso, qui doson cot fori mal proster do ravantage, qu'il avolto main il ne tonoit qu' lui de rastor tout l' Here arde et une partio desoLmdo Ce ut liuit heuros et plus, avant que Tarriere ardo se put

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mit, et doma meme en a pro Sene Ios ortae a

ronno de France.

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lo poni en erit; tre passd jectis menae te Pr niter, qui te passa a Cheval deu tauriora avectio lettres potu in vo me vivirent: mais pei ne eus o ait inquante pas, que otia monchevat, qui Censone dans u endroit bourbe , doni j v bie do labet ne a me tirer: Iesbouririer po tant passerenti Fant m e poni enetat et donn des orbes our atro de fascines et des elates pom repare te hemin, qui menoita travors desinondation, e taen allois trouver Armstrong quartier matre dos Antiois, ravo homo, vigilant, et tres entendu dans Son me

tion aveo ouai l Isto et Toureai, d o nous de vions Ire notre ain, et artilletile. Milor surcerio nouvelle fit passer ave toti te a diligenee

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combat, 'vant pas eum tem a falae passerasse des Moves pom nous alae tete Nos gens Pousserent son abiere arde, o te Prince de Hesse 'exposa heaucoup mais infanterie que lemrochia volt da fiat passer, et ulli volt post dans queique lives fur lector de a Sens te tint nos gens en respect et favoris si bienta retrast de la Halleri ennetae, ullis bfirent aucune perte quasi Oxenvoyas cependant Pag. 161. ortae a ovai ou falae vancer es mages et nocte pala leriout arriva ce jour et te tendemainsans la molatae perte Lesbonis erunt a cette heure en on elat et les inondation beaucoupdiminudes par les Mertures qu'on volt attes dans te dimes, qui es arretoient, o fit seire u gran amas de fascines et des lates our repare les hemius, qui menοient a les champsinond& jus h la terre ferme cet uvrage fiumis en erit en molas de . heures. On voltcependant ait camper in Coras de Cavallerio etd'infanterio a delatae a Senserie pom senis notre

etoit couveri par u retranchement du cot desennemis cette precaution tot dhutant plus, cessalae, que te Vendredi, lorsque nous passamesto Mocredi Escaut in de Villars fit re orcerri interio est avolt deja ait passe la Senserie,

et tui fit prendre, cam tres vantageux sur lebor de ce ruissem cune petite domi lieue de Bouchain. Ce cam aboesissoli ave la mite contro Escaut ic, o la Senseri tombe dans cesteriviere, et ait une inondatio jusquci Bouchain, ave laquellera communiquoit ouriant par unchemin a traver de cerae inondation V ce chemin

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emit toti a sat couveri par des roseaux et dessaules do sortes que los soldata alloioni suromontd Cana cla villo, vortoient des oudres, deshales et mutis doni o avolt besolii dans la villo depourveuo a notro arrivd do garnison, et detoutes es eliosos necessat res po G defenso Jodias marque iv, eo que Je ioncssio iter, 'estque o demandois tabuit quo nous passion ire eaut a II do vh et do Hompeschu 'iis eo Pag. I 82. noissolent asse bien Io terrein our etro Sur squo Me de illars nebo roit inoi de eo mnication de so eam ave Boucha in iis dirent, qudis Io erovolent ainsi. 'evenomen po tantnous fit oi te contraire, et pensa atro avorternotres entrepriSe, Comme erae marquerisitan euplus has de retourno de ma digression pou diro,

metire est eam e defense, o tu on laissa lotem Car non ObStant quo e eam sui vis a vis do ramdera Duc, particulierementis opposito di quartio des russiens, d 'ohon Ouvolt deco bir out te manoctuvre de Ennemis, o ne 'on aperqui, du molns ne fit on attention quo Io S modi a solis loraque o vitales retranchemens des

ennemis se levor.

Illor qui se trou it incommode, morat prior de me vovi Crondre te tendemain mati seu elioglia j loris: ita ut par me diro qu'vant vocuave moi pendant toute les Campagnes, quos abis ite aveo tui, dans uno parsa te annonio et amitid ii sentoit u chagri de e quo dans laderniere reneontre Iorsque, de illars presentata halaillo, j'eusserat dun sentiment contraire austen, Nulli ne me vovissit a demisero quo dans

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ectoine ma vi une grando veneration ou los rares talens de ce grata homnae, et me uice tim a molao 'avola part a son Stime et, onamitiis, auSSi ne pusse teni Geontre es nouvelles

protestations j repondis, comm jo devois ot do

bon Ostur, non obstant que son Caraeter insinu

ant ne me ut pas inconnia, et que e S uSSe quebio do seis Io eoour, toti pasta'aecordisve Iabouehe mais eis sontales charines de resprit doce grand Iommo, ulli est tres di cito, si non impossibio 'Cresister de vavois ourtant quo renui de prolonge la guerre volt et Ia seuleo runiquo causo, qu'it 'etoit laiss echapor lapius belle occasion, qui depuis oute a guerre est resonide, de a fini glorieusement aussi ne pusso 'absterii do lui diro dans a conversationtout semiliore, quo j'eus ave tui, pendant quenous eurion du The, ulli se trampoit a monavis dans Ion calculo et suo des inprehensions

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Pag. 16 . mandomen de ramde, que de plus tri se falsoit

illusion, 'il croyoit e Ministerere tumem de continuer a guerre que es gens la en avolent de atro fuit our 'arreter Ia que e conmis pomsur, qu'il hanchirotent lebas, et feroiens 'annde qui vient lavata, ou, 'iis soni obli s de salae encor une campagne, qu'iis tui terolent te commandement de armde de te priois de voviolabie se ouveniris jour de cerae prophetie Iliso me repondit a grand chose, si cera'est, aedserioulut disculper surrae eius de donno bat Iloen visant, qu'il avolt vivirae sentiment de Ia plus grande parti de Generam de tui repondis Iadessus en iant, et tui demandant, Et ne se ou- venoi plus 'un axiome de guerre, ulli voaeuthion me seire rhonneu de Mapprentae la Campagno de Iloi, que je viens de citer, dessus. Itb'eut pas, motis repliquer, et se contenta de dire, que cela 'arriveroi plus moi je repartissu te cham, quem belle occasio de finis vi Heusemen ta guerre ne se presenserois plus, et que e me tro Ois fori, si v jour il ne se repentiroi potnt v matheureux parti ulli volt pris. Nous en deme ames la et i conmen , di comi surrae inconmaoditds Uapporta a simodo Bouchain ta siluatio du Cam quo in de Villars avolt pris fur lector de Ia Sensetis, et aiant fiat entre Cadman, apres de long mison-

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