Essai sur l'électricité des corps

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sequi me donna te de tui exp se avec confiancedes doutes que 'a- vois fur la transmission des odeurs surcies esset des intonacatures, suries purgation electriques; tu les guerison presque subites. Μr Veratii me repondit 1 . qucit, avolt fiat plusieuta epreuves par leresultat de uelles ii tui sembloitis, que rodeur de la terebenthine,celle di njoin, s'etoit transmise dide- dans au dehors d'uniaisseau cylii ab drique de verre sembi ablea celui qu'il me montra, inuite ourda ne nous fit rien sentir, quoique nous le

rotassons sortement avec limain.

Suris que e lui representa que

fortes apparetices reussent porto adi, croire la transmission des deurso par es pares diverre, it avolt ce-

ω pendant suspendulata jugement fur

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a'. rusve par appor aux purg mtions Electriquescit avolt dans sam mali u valetis une servante M qui avolent et purges par Cette M voy que es eu personnes , d molns avolent prouue pres, relectrisatio falle acla maniere de MΜr. Blanchi, e qu'on prouis, quandina pris medecine que cet, effeti'ayant e nusse autre cauis Mapparente que experience quim avolt precede te grandiombre dea fatis de cetieisspece arrive a Turin, Pavolt determine a croire que , ce quietoit arrive a se deu do-m mestiques, eloitine suite naturelle de ceti electrisation qu'a restemii eprouueroi cela de nouisa suriora nombre sufflant de personnes d in au tre etat; 'ue si Cette, D niere de purge ne foutenoitias

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ainsi dire, contre te remede, ne cederque peu-a-peu; da nature ne passe fias comme subitemen d'un etat alautre out-a-fait different par emoyen d'une Electricite a peine se sble Ie dis que ces uerisons ne me fontias tant de peine a croire parCe

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mens eniten ou en mal. Je lai rien appris dans les au tres villes d 'Itali , quiri ait encore bea Cou augmente mes doutes, fur leg

Garo a Turin, ous avre des machia

sint; tousint ectye de purger non

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Ie suis donc comme certain main-tenant de ce que e commenςois acroire orsque e fis imprime mes Recherches surdes msesparticulieres desmon. Eis f. se suis dis,jes, comm ' v. Disi certain querar Pivati a te tro e par quelque circonstance a laquelle it 'aura pacisit attention Ce qui meae it croire plus que amais .e'est qu'dis' avoue ui-nsieme conformement a ceriu'il cecritivi, que cetis transfufion desideurs des rogues a traver des vatshau Electriques neci'est mantis Me a lui quine solao deu immediatenient, e mundiae par ne dimilaution sensibie duvolurrae, dc Parides emanations qu'on e suis bieci et ne qu'un fait alitia

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ti ledit lui meme: a Cest, dis-je, suri fait qui selon moi est des

a Sirensum I materia Aterea a segnori Aridusse non inani tessere quas Ermetica mente serrato, alia sotriglisa 4 unisulcato figlis di caram ct come u capo moram, chae non teneapta Odore me sapore nota verea

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e mouVement ne montre qui est

oni fait tant de bruit da de teste cis

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Inurope Tout cela est parti de deuno trois bouches, que e me garderat biendlaccuser de mensonge: mais

Imisque ces m-es effeta se soni t

siciens dans te meme payidoailleurs; puisque les personiae memes qui Croyent les avoirius, ne lesint pasrevus depuis, is soni potnt enetat decies laire volesau au tres, emeramis bien foruli a dire que cesoni des erreur involontaires, doniles plus honnetes gens' es plus habiles ne sontias exempis. En pron salicainsitu les inton catures, surteum transfusio , xsurnes

purgations lactriques ' e declare encore, comme e rai dejistit enit seurs occasions que e ne desespere potnt de bon esset que pourroitavoir PElectricite pouria uerisonia Ie oulagement des malades exactiusqu'au scrupule, quand 'examine Ia realite des nouueaux fatis, e ne Presume te contre es possibilia

res Cratias que les succes ne solent rares, is se fassent atten-dre long-tems mais ceti crainte,