Morceaux choisis Aristophane

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οὐκ, ῶ 'γαθοὶ, ταυτ' ἐστί πω ταύτη, μὰ του Ποσειδῶ.

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Yὶστ', εἰ συ βρινυησαιο, και βλέψειας ὀστρακί, δα ,

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της.

ΑΛΑΝΤΟΠΩΛΗΣ.

ἄριστο νεὐvoύστατω τε τη πόλει, καὶ τοῖσι δακτύλοισι, .

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ΚΛΕΩΝ.

. ΚΛΕΩΝ.

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, ΚΛΕΩΝ.

ΚΛΕΩΝ.

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. . LA FABLE DES TRIREMEs.

Ces PielPies vers laut parite du claceur ou le Poete se divertit a lx clopeus de ses adversatres. De ce nombre hinit Hypectolus, Pii avest dematuli une nolle de cent gathres P ur Ia conduire contre C alcidoine , une des villes tesplus importantes de lἈsie Μineure, situsie a Pentree duBosphore de Thrace, presque en saee de ByZance. Le poetesiippose De les Dirhnies, rhunies en conseit, se rivoItent contre tau tel dessein, et jurent de ne pas syenroler Eous unsi ess nisi co*sin. Ce passage, si l res Pa'il soli, Insirited'ἔtre clie a cause de sa forine vive et ingenie e.

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λετα ν

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te coinsidie est dirigle contre les Inoetars et furtout contre Ies idees nouvelles, qu Aristophane person nise dans la secte socratique; c'est uti pia id Gyer en saveur de Phdu

Diuitiroci Corale