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si,ttae me suis Rr etendi surrae metamorphoses de Insectes dans a Contempla ton de a Niature te renis vole dono te lecteu aux bap. , Iis vivans de a pari. IX de cet
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pent ces nourritures me soni passer dans te corps de plante Oi . Ces organes sont . a plante, e que la bouc est . animal. Les parties de embrion oge dans a graineo dans te bouton on des formes Cun arrangement qui different beaucou de ceu qu'elles auroni prἡs 'eire deum toppees; mais elles 'en renferment a molias de te con mencement, Out e qui est essentietis 'espece. CLXIII. LE Corps organises croissent don par te dέvelop- .pement de leur parties en out sens, o mesure qu'elles se devesoppent, leur formes Heu siluatio primitives subissent de changemens plus ou moin considerabies, plus ou molnsa apides. CV AiT L principale uitanc qui parot opererce developpement dans es animaux est impulsionis coeu Anime dans la conceptio par influenc de la liqueu seminales, it se dilate, Cen se contractant subitement, it cham te fluide dans les aisseaux Ce uide qui sera dans a suit duvεritable sani, nyest encore qu'une liqueu transparente, presque sans couleur. Biento si per si transparence laevient aune, a bout de trois ours, .d'un rouge tres is a). limpulsion duisn contre les membranes, las eten de plus en plus Deicere extensiun resultent te pro gementis elargissemen des principati troncs is te developpement successif- de ovies cies
datis es mailles. de litas augmentent les masses. CRAP. LoLes elemens se approclient, is leur attractio mutuella cro ten aison de leur approximationis du contact. IL Aiae. Dossificatio ne bmmence que brsque les Uisseau devenus plus larges admetient de globules ouges Le attemen comtinue de arteres qui ampent utre es latues osseuse , tend
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endurci ces lames. a terre que les globules ouges h rient avec ux, dontra proportio augmente de our enjour, contribu au a. a duret macia fragilite des parties osseus es i). a pulsation des arteres qui ampent entre es parties molles, peu concouri de meme , augmenter a comsistanc de ces parties. Tous es esset dεpendent in dernier ressor de la orced coeur celIsci ἡpen eli mεme de la chaleur Dans es scelus solbies o ma comes, e san demeure plus long-temsjaurae; ossificatio commenc plus tard, Me developpementes plus lent a .
CLXIV. A membran Ombilices fournit in exemple de volutistayaccroissement, qui eut 'applique a outes les partim diuorps et . d.
Cette membrane 'est 'abor qu'une spece de parenchyme, moiue .une pulpe molle La force u coeuro ait attre par degrε ροψὶς de traces εticulatres Ces traces ne soni a commencementque des potnis. Biento elles deviennent de lignes Ces ignesse colorent em pem, Wce sont enfin des arteres dea veines divisees h de fori petit angies. Ces angies grandissent, des ires lanches se forment entre les aisseau elles se latent insensiblement, a peu rti comme se dilatent les spaces compris entre es nemures 'une plante 3 . mu'on reum, grade, it . de HALLE , dans is consideration des cha - gemens successise de cette me bran Ombilicate, o se con-- aincra essemen qu'elle a oujour exist avec ces aisseaux, u'elle a i replie su elle eme, que impulsionis sangri a prolono es arteres ou evide mulis , D'elle celoigne Ies Esseau les uns des utres, o donn a a membrano
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CLXV. I semble don meram solides de embrion solent
libri Tri: CLXVI mat , si te mechanitae organique se reduisoit a
' θ' - cette inple evolution las Corps organium 'acquerroient pas plus de masse en se dEveloppant. His serost de tous es solides comme des alles ta Papillon. 'augmentation de masse qu'il acquierent en croisiant, leu vient durae re Me est leproduit de association 'un nombre infini de molecules differentes, que a nutritio leur assimile , Nous ignorons, nous ignorerons long aem te secret de cere assimilation. ous Myons e genera qu'elle peu dependre deci'appropriation ducalibre dos missem a la. grosseur, oeutaetre encore a lafigure des molεcules M'ili dolvent admetire mi meter oueune certain ta 3 . I pariat clatrement que lamature ait
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miser is mattere alimematre par ne sui te de missem doni ηδ E. les diametres se degradent de his en plus, qui introduia sent enfin datas te mailles, o te issu cellulaire des solides. I 'incorporation de la arane dans le tissu cellulaire des os i). celles des matteres colorantes dans testissu desistantes γ'on injexste et , donnent ne legere idee. de association des M.tierus alimentatres Les arteres ne se nourrissent pas de cemem sani 'esses distribuent par-tout esse on de petit valLseau qui apportento leur tuniques a nourriture uliis ne separe du ang. 'ai deja oucheo accroissement dans lechap. II. Jui trait dans le Chap. VI, de la nutrition considerest relativemento la generation tes rem e nio lacteuro et deu Chapitres. CLXVII. Taunis quo te foetus se developpe dans oeur. I inspi ii transpire caro coque dureis crustacee ous laquelle ilest enferme , a des ore prepares ou laisse passer a a brion.
on appris te accelerant ou en retardant a transpiration . diis, dinsensibies Pon abrege o Pon prolonge resque , volonte la nimai dure de la vi des apillon de lusie s uires specesdqnsectes. O volt asse que e eu parte des experiences doni . de REAuΜu a donne te delati dans te premier Memoire u secon Volum de a belle Histolae de Insectes. Ρour devenir apillon , quelques specta de Chrysalides dotivent perdre par a transpiratio insensibi , environ a dix-huutiem parti de leurooici Cette quantite varie en differens: sujets. a mallere de la transpiratio est ne liquem tres-lin pide. endant que cette mattere demeure renferme dans Pi
1 Memoire fur a formation desos, par M. de ALLE , pag. as .
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de quelques euples u or , a probablement our cause principale a diminutio de la transpiration insensibi , to jour excessive dans te habitans de climata hauds. A1Ns la vie dans aes machines animales in'est proprementque a suile des mouvemen d coeuris des aisseaux Leprincipe vita paroit ire dans irritabili e , ceti propriet dela bre musculaire doni nous devons encore la connoisiance au profondes recterches dem de ALLE Cio Le coetur est te musicle qui possede ceti propriete dans te dem te plus εminenti est par u esset de a nature irritable qu'si se comtracte a seu attouchementis sani, sol qu'il ienne encore Panimal, sol qu'it 'en uouve separε. En se contrarunt , ilexprime te anchors de si cavite is te cham dans es aisseau encore repties sur ux Emes. 'impulsionis liquideles deploi , Cla dure de cette volution est la dure de raccroishment B diminue a proportio queri restistanc ause
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accroissement, cautant Ecu que trinsecte de Eme spece , quin' atteint ce terme qu'au bout de plusieurs mois o de plusieursannees a) Qvetque composees que solent les mactanes Gganiques, leur developpemen est susceptibie 'une certaine latitude, doni te circonstances o Pari euvent esserrer uetendre te limites Les oues qui messirent a vie organique precipitent ou retardent leur revolutions mal la somme desestet demeure oujour la Eme. CLXVIII. Nous ne voyon rie dans le vegetaux, qui leur
quabies de leur tiges, de leurs euilles, de leur fleurs , deleur graines, de eur trachees 3 paroissent dependre detoute uire cause que de irritabilite is e caractere plus approfondi serviroit euNEue a distinguer animal du vegε-
ta Cependant la seve, qui est te an de plantes , 'y
veloppiment dans le vegetat. Experieuce
de Auleursu te ino prsncipe vital. est lar tout dans es parties sexvellas u i a cru reconnoitredes signes non equivoque d'irritabilite. sis uries tamines de uelques spe-em herbacees, se contracteris se relacher alternativement lor'u'on es Gritot dans u lisu haud I parieratailleur plus a long de oes observations fur irritabilite de plantes: mais
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prou' que les euille sonides principaucorganes de la trania piration. I les a regarde es comme es uissances qui eleventia scue Mais la force prodigi eus de pleur de la igne nous appreta que les euilles ne soni a les seules uissances quela ature me ici en euvre a). Les injections 'ont co firme a meme verit mattere colorante 'est leve asteghaut dans de branches depourvues de Duilles, dans ne falson asse froide Mais in utre cote, e ne a potnt tis eleve dans de plantes deflechees Q large pores. a sevene 'introduit don pas dans es plantes , comme ea dans une eponge Mon OuVcti s: depend 'une mechanique qui nous est encore inconnue , que de nouvelles experiencespourron nous de covvrir Le reisor de trache es qu'excite elui
B est bien facile de se meprendre dansce genre 'expetiences, 'attribuera ne rate irritabilites, e qui depend
art. XC. a Phoiqtae de Arbres , Liv. . art. IV.' est une ignorance bie pro- fonde que celle ou nou somnae , de lanatur intime o de Pesence des diverses force repandues dans univeis , lis en particulter de celles qui constituent a vie dans e vegetat. dans Panimal. ous ne connoissona n eules forces que par eur essetf. Toutes nos observations fur a structure dea corps ne nous en Ecouvrent que rex te-rieur olla premi ere corceri te fond decette strueture nou demeure votie. oua enti evoyon bien ,rangementis es rapporis de parties es plus grossi res mais nous ne aurions penetiet
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CORps o RG A UI cc s. CLXIX. QuκLLE que sol la uistanc qui reside a mou- ement de a seve, i est certain qu'elle existe, u'elle produit dans le vegetat, es mεmes effet essentiet que la forced coeu produit dans animal est cette puistanc qui chasset sev dans es tuyau repties o concentres, qui es deploi eten en out sens es ames infiniment delieesqu'il conat ostent par eur ast emblage. Ces ames soni utant de petit cones inscrit les iis dans es utres is doni lenombre est indefini Les plus exterieur contiennent les rudimens de pecorce les plus interieurs, ceu du bois Tous essent dans e germe qu'une spece de elee 'est relat ous Iequel 'animal se montre les premi ers ours G III Aiae .lis deviennent herbaces par degres cet etat repon . eluique revet te cartilage, quan il esse 'Etre membraneu ou pluto muque ux. iasin, les Ones interleurs 'eiadurcissent peu-a-peu; iis acquierent successivemen ta consistanc de pecorce celle u olsci 'est te cartilage qui acquier enfin a consistanc de os L cone te plus interieurri'eiadurcit te premi er cesse de rostre. 'accroissemen continue dans cella qui renueloppe immediatem ent Les lames qui soni te rudimens de la veritable corce ne se convertissent pas en bois cellii ci a ne organisatio qui tui est propre se tuyau soni plus fias , plus erres, de trachees qui anquent a cellela Mais te lames qui contiennent les elemens v bois passent par petat de substance corticule: de eotiches ligneus es sem- blent se delache de pecorce our 'applique a bois Dorepaississemen des lames resulte accroissement en grosseur, de leur prolongement resulte accroissement en hau leur Ce-
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Ce bouton contient te germe 'une nouvelle tige. Il 'ouvreau rintems La petite tige en or encore herbacee elles'eten en out sensis syendurcit a son Our commeo premiere. Un bouton pariat aussi a son extrεmite, qui donne natia sancera ne uire tigeo 'arbre se forme in annuellementd'une fuit de tiges o de petits areres implante les uns surtes uires Dan tes herbes Anuelles une eule tige se deus toppe , qui prend eu-a-peu accrois tementis a consistance propres a son spece Dan tes herbes vivaces , de boutonssortent de la base o des racines de ancienne tige UAccROIssEMEN des vegetau peut ire accelε retarde comme celui des animaux Le vegetau transpirent, iis 'endurcissent 'autant pluto que leur transpiratio est plus accelerε o plus abondante. arma aison des contraires plus ne plante ire de nourriture, plus son endurcissemen est lent esse croi don plus long-tems A aide decertaines precautions o de certaines circonstances le germe