Oeuvres d'histoire naturelle, Volume 3

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dεpen de leur structure La structure des parties ne change que de a don polat our essentie pendant oute la dure de accrois uroisseruenia sement. Cependant elles augmentent de masse is crete ause mentation provient de incorporation des molecules que a nutrition assimila La mechanique de chaque parti est donatelle qu'elle arrange o dispos te molecates alimentatres dans. un appor directis a structure Cette structure est essentieti ment a meme dans e germo que dans animal developpst. Le oulet te dem tre Les molecules alimenta1res ne for ment done ien mais elles ident a developpement de cetqui est reformε' is augmententes masse Le developpement Wyintumusception vivent in la tot de la constitutio pria. mordiale des parties. Cette constitutio derive en dernier re sor de a nature , de Parrangement, Wen generat , de mutes le determination des emens propres a chaque spece 'ora

ganes; χ que edis des organes, e pulsu dire de fibres doni iis soni composes Cesson don tes MEmens des parties digerme

qui determinent, deste commencement punion Parra emendides nouueaux elemens questa nutrition leur affocis Cesson encore,' ces esεmens qui determinent te degrε 'accroissement de confistance ou 'endurcissement que chaque partie eat acquerid Chap. II Au-dela de ces principes generauX, e ne vois que Enebres plus ou moris piasses. Au reste en developpant ailleuro ette spece de theoriei'essayera de montre commentis Tout organis , parvenula pareat accroissement , estis compos de se parties ori. ginelles o elementatres des matteres que a nutritio leur cataclees ensorte que si Pon ouvolt extraire es matteres du Tout o te concentreroit, Our ain dire, non tant on te rameneroit insi a son erat primitis de genaee. est de la meme aniere, mpeu-prhs,mu'en Xuayant lucos la

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nous devinis las connoisi uno es e plus certaines sur a muchautque de rosis,cation I a demontre par ne sui ted experiences rhs-ing Snieuse, que essent composes de devm substances principales , s une patenc materas ounaembraneuse, liautre cretacee. Illa ait uoi que cesse-c penetre dans te mailles de celle-la parcia nutrition quel tissu parenchymateux 'incruste aliasimu-a-pe de fa mattere terreus a la-quella ros doli salaurete. Il est parvenua depouille eniterement te parenesin deci maiiere doniciliato incruste , a converti ainsi es os es plus urcensimples membranes it a plus it encore illa rendu au palenchyme o a' membrane a premiere durete, O pou parte plus exactement, a ramene ason in primitis 'os. O volt combien es curieuses ex-pἡriences s'accordent avec me premieres meditations sur a mechanique secreti de accroisse ment e parenchy- me des os nous represente ce land primordia que e stipposol totiiours dansle Tout organis Lla substanc terreusequi incruste te parenchyme de ros, nous represente les molecules alimem latres qui 'incorporent par a nutritiona Tout organique Volsification est ainsiune representatio grossiere de ce qui se passe dans accroissemen de outestes parties du corps animal, memedes plus delicates Leoissu primordialde outes 'incruste par degres desmatieres trangeres que la nutritionisfait penetrer.

n. HERISSAN a tendu depuis, es experiences a raccroissement de quantite de corps marins, commerae Coraux, les adrepores c. il a reconnuque lamature employe partout la meme mechanique essentielle. 1 en a conclu, que 'avois bie r. ison ne sur a maniere doni 'opere accroissement 'at expose out cela asse ea de tali, en traitant plus a fon de ceti grande m

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siue les observations fur a formation du ouis ache veni vi detruire is sieme de molecules organiques. Erit qui concerno os .gratiae N is holptores, in que las, gremes, es boutures, ou vegetales sol animales, miatiplicatio par denom, cesse par division naturiari. CLXXI. L iens de metue ous es inc de mes Lecteurs 'evolution . bien des ait interessans, qui emblent se eunt pou Dire de ' :'i' β'

supposie manifesternent a preexis ences de germes rim nepeut se developper , qui 'ait te reforme. 'animal vegete comme a plante mais evolutio 4'exclut oin par esse- meme p. teresse. 'animal rore par intacposition d coinc rs de deii semences, stibir, ensuit l, tot du developpementi I fulloit don demontre que animal existe dans poeus inta dependanamen d concours des exes; 'est e que les observation dem de ALLER on mis dans ne pleine

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instrumenS. oppostlon

surci'origine des Etres oraganissis.

de germe dans es oeus infe onds, ni pris une ide lavoritepou la regi des hostes It voDient de animalcules dans lasemenc de males Wil en conciuolent que es animale les tolent destines , sintνoduire dans les euis, deveniri principe de la4εneration. CEui qui on reieti ies e sis reten les animesculeson vovi qu'ilo ut dans la matrice uncite assigne ii iis se fixolentis se developpotenti L'ExkΜEN 'un oeu de povi a iussi ou renverser es hypotheses famevses, o utenues ave tant de chaleur parra'h biles gens. XXIv. Es anciens pensolent uerae laetus resultot dumesange des eu semences is cene dε vient si natureulement , esprit, que ce 'εtoit pascia peine de leur en faireun Erite. 'Auleut de la Vmus phusque, qui 'emptu rechauffer cette opinion, love ourtanto e sujet les anciens. is ors, dit I), que nou croyons que es anciens ne sont, demeures dans telle ou telle opinion, que parce qu'iis,' si volent pas et ausi tot que nous, nous evrions peu&εtre, pluto pense que 'est parce qu'sis avolent et plus loin is, que des aperiences que nous 'avons as encore ites, si leur avolent ait sentis insufflance de systemes doni nous

nous contentons

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I'AD'ETTRA si Pon eui, que les Aiaciens ni v tout e Πηδ' qu'ils ouvolent Oir: a ature leur avolt ait 'aussi ons yeu qu' notis, naais elle ne les avolt pas armes 'uia verre. lis appercevolent te potu fautillant iis ne ouvolent en demEler te phases Il ont oulti faire a force de geniece que les modernes on execute a force de methodeis 'in Luumens Les Aiaciens ni et loti iis aurolent et plus sinencore si, an auoi nos instrumens, iis avolent eu seu lenient nos methodes, ce soni ces methodes qui distinguent leplus notre ecte Les erreur de antiquite 'on pas equoi nous surprendre elles tolent appanage de a primogeniture. 3Iais e qui doli nous tonner, 'est de voi des hysiciens qui, dans u sicci ausi eclaire que te noti e se resalsissent de ces erreur deploient oute a force de leur gentepou nous persuade qu'un animal se forme Comme ut crystal, Qqu'un amas de farine se convertit en sivuilles On arappelle les qualites occultes que a bonne hilosophie volthannies de a hysique On a e recour a des in silidis , ades forces de anor , a des inuites comique a), a des molecules 1 Panique qui ne sontis vegetat ni animal, qui forment par leur reunion e vegetalis animal 3 .

Remarques

protendron que des onge qui ne soni a menae philoso donne duphiques, ne meritotent a M'on ' arretat e ne herchera a Jὸό hi poliat a me justifier de ce reprocli mais 'avovera que 'at vos, i sue

particuliere dec Tom. II.

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toute a clari doni iis tolent susceptibi es, cie 'en a pasistitis examen ei forme. e me suis orneo indique quel ques ait qui ni'on par evideminent contraires a phypothesede pillustre Auleur. Te est elui que nous offre e mulet che les Abeilles. Si te foetus resulte du concohars de mo-L cules organique que en ferment te deii semen ces; si cesnahlecules son moulees dans es diiferentes parties qui composent e corps u maleis elui de a femelle is enfin elles acquierent parda a capacite de represente en petit te foetus,pourquoi Abeille ouuriere a-t-elle des organea qu'on ne trouveni a la Pine abeiIe , ni aux Bourdones 3 o quoi ncore las ei ne ab dilid, es Bourdon ont-iis des organes qu'on netro uve potiato Abdille ouuriere i)3 'Auleur de a Venust sique ait ne reflexion judicieuse, qui recoit ici ne application tres-naturelle , Je demande pardon , it-il a , aux,, hysiciens modernes , si e ne uis ad metire es systemes, qu'il ont si ingenteusemen imagines. Car e ne suis pasde ceu qui croient qu'on vance la Physque enci'attachantis a via syste me, algre quelque phenomen qui tui est evi, deminent incompati ble Ut, yant remarque uelqu'en- droit 'o sui necessatrement a ruine de Pedifice, chevent, cependant de te batir, Phabitent ave aut in de secutite, , que 'it tot te plus inlide V. Je demande pardon a monto ur , aux partis ans des in lintiis, des molisules organi j ves

i ''Si te experiences qui on eti

Dites quelque annees , fur es Abe les par in amateu de Lusace sontvrates , ii ' a che ces Inlucte que detix sortes 'individusa de males de feme es Lesol et o les Neut esssoni liginairemes: de veritabies fe- melles , donicie de veloppement a te modi fi par de circonstances trangeres mais qui entroieut dans te plande a Nature. 'ai rendu compte eudetui des experiences de Lus ac dans deu Memoires u on trouvera dans le

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dres 'Etres organisse , qui 'appartiennent proprement ni ala classe des vegetaux, ni a celle des animati X qui formentpourtant e vegetau les animati : ces globules, dis-je doni 'ai recherche a nature dans e Chapitre VIII , uia grandobservateu te a tu dies depuis avec Oute attention qu'iis exigeolentici a reconia ce qui en avolt impos a AIM. kEDΗΑΜ- de Buppo N. It 'est as ure que e fontis veritabies auinnali , qui on des ordres de generation seina ubles iι se succedent ure es tres au que es onerations solent animaux de plus molas petiti, omne toni vance es Auteu, sdu nonveni salienae que out a te a totainaire, que es petits devientient graniis a Pili tour. Oest e qu'on a pu voi dans la note que 'at misi a la fi de Partici CXXXV. 'autori te de M. de εχυ Μυ est ici 'un tro grand o id potirqu'on uisse rinfirmer Les petit animauceto lent son domuine, personiae 'a possede a uia plus haut degre que et illustre Academicien , Par de se conduire dans la recherche des verites

Pegar de a maniere doni ces animalcules soni produlis dans es infusion , n hilosophe ourroit ilis Moudre ad metire qu'il proviennent de la transformatio de la atterenae me de infusion e animalcules 3 ne telle hysique cho-

que 'ai joute a celle deTart. 3 P, a precis des observations de M. SPALLANEANI fur es Vers permaii. ques, que 'ai donne dans la grande note, placeea la in du Chap. VIII.

origineis lanosse te des opinion s

contraires.

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paradox , qui uisse porter a debiter serieus ement de telles 1abies, Gai regre que a posterite ait acie reprocher a motresiecte. 'est-il pas plus aisonia able te pense que les oeus deces animalcules , ou es animalcules euX-memes , existolent

dans a mallere de infusion qu'il ont passe de Pat dans cette mallere 3 out e que nous Connoistans de plus certainstar la generation de Insectes, nous sollicite a embrasse cesentiment δε pour ' refuser i ne fati troit pas moin M'une demonstration rigoureus de a verite du sentiment comtraire I .

iliae de M. Me qu il est demontre que e Potitet existe dans Poetis avantdς s. ζψη secondation, FΑ1T. il est qu'il ne ire Oint son origine des mole cules organique que enferme a semetice duCoq. I ne auro it non plus a tire des mole cules organiques de la oules cur dans e system de notre Auleues, commentp2urroit-cile lui ourni te parties propres a male Au reste, tota ce que 'ai di des noliculas orkanique nem' poliat et inspire par te desi de critique Μ. de UFFON. Les critiques 'Ont amat et de mon out Je respecte cegrand crixain mais e respecte en cor phas la verite.

i ita grande note qui est a lata du Chapoli , protive que avo s

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propres termes et semenc ne contient Oint , Vant u germe

, dans ne liqueu limpide c.

M. EEDHA admet , comme 'on volt, qu'il 'y a potne de germe dans a graine qui ' pas et secondee. I veut quoce sol la ous iere des etamines qui 'introduis dans a gratiae. Cette hypotheseis' rien 'absurde, elle revient recis ementa cesse qu'ANDR1- lautres Auteur on adopte pou explique la generatio par les animalcules. II iis su quo repose Passertio de M. NEEDΗΑΜ Τ Uniquement fur e qu'ave lex mellisura microscopes, o ne decolevre rien dans a grais dine

plante ciuis ira ce que e sommet des amines se sient G chaetes de eur povipere. Qui ne volt que ceti maniere de

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observe entre es plantes Cles antimau qui se manifeste chaque ou par de nouueaux traiis , ne laisse pascite de douterqu'ilis en soli ci de a gratiae comme de Poeus , mi dolinous ire permis de te penser usque a ce qu'on nous pro- duis des reuves directe du contraire La petitesse Cla transupareiace des parties v germe euvent les metire hors de laporte des plus excellens verres. 'actio de la oussiere les developpe, diminue leur transpareiice. lles commencent aliasia deveni visibies is dea , cette petite ache veritatre qui

ne forment ensembi qu'un meme Tout organique Les viii cau qui se rami fient dans interieu de a graine, parten d germe ui apportent la pre

tement a graine avant a secondation combie est i donc aison nabled'inferer de la presence de a graine celle de embrion ita renuoi te lecteur a memoire que 'ai publie furia secondatio de Plantes , Durn de Phyf. Octobre 1 74. Μais nous ne sommes plus reduatsic a de sinapies inductious mr SPALLAΝΣΑΝ vient 'institue des experiences qui prouueiat de a maniere aplus directe que e germe preexistedans a grain a a secondation. Des graines , sur te uelles a poussiere fe- condante 'avolt u agi , 'on pasthisse de produire La oulsere secondante n'avolt dono a porterae germedans es grai nec Le germe murni par a oussiere ne 'Etoit don pasgresse ave la gratiae Durni par aptante

'Ioigne ceti observatior importantea cestes qui demontrent a preextu te iace u germe dans es euis dedi ver Amphi bies, oy la note qui est a la finis Chap. IX. reflechil

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