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eomine unite sumi de rente mille meros sis unite , 'o ilconcluoi que embolteinent tot absurde. M. BouRGuE lui a trεs-bie repondu Wen a personne a tous es adversatres de amboilement. J'insererat ici a reponse, quoique u peu longue., CE Auteur, ditati i , calcule a petitesse tu grain, de semenc , sur te appor de grosseu qu'acquieri , paris exemplo, ne lante dans ne anne ; au te que eis calcul ne doli se prendre , si e ne me rompe , que duis em qu'il aut poli faire parotire e grai de semeiace, depuis sa conception usqu' fa maturite J'appelle conception, si Petat dans teque est ne grain des que a prεcedente estis sorti de a lante seminales parce que experien o apis pris ab que les graines soni deja dans la petite lante, is ou elles croissent dans ne certaine proportio , pendantis que oute les parties de la lante qui te porte, croissentis ussi de leur cote Cette proportio don doli tre priseis duciem qui se passe entre cette spece de conception is, Pentiere perfectio de la semence Ainsi te meme tem quiis est employ a latre cro1tre ne lante o u Arbre, sertis dans des spaces gau a perfectionne une u lusieursis generations de graines. I semble que origine de equivo, que vient de ce quem HARTsoERER paros supposer, queis es Auteur qui viventes system des developpemens, crotentis que oute les parties qui forment te volume 'une lanteis dans a parfait grandeur , existolent uparavant dans la
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, verit , si Pon jugeoit de la petitesse primitive de a semencedes lantes de celle des oeusis, dans hypothese de Μ.
HARTsoEKER lui-mεme, en es comparant ave la ros ur grandeur que es divers Corps organises acquierentis pres uia certain tem plus ou moin considerable Ca cette , comparaison men eroit inflatiliblemento equivoque que ron, doli eviter pulsiqu'il audroit ire, en admetiant te principeis de M. ΙΙARΤsOERER , que les oeula des Animaux 'une mεmeis spece aurolent et infiniment differens e grosseur, Qque is es seinencios 'une meme spece de lante, serotent e , tierement dissemblabies a grande galite que 2'on remar-que dans a gratiae de a lupari des lantes, ε qu'elloe, Commence a paroitre QCelle qu'ont 'abor les oeus detoutes sortes 'Animaux, o leur pretendus Vers seminavi, se ne detrai elle a te fondemen d calcul de M. ARTA OERERI B ne aut pas Eme fonder tellement te calces, doni ii 'agit, surrae tem , que o oublie 'avoir garo, ara differente contexture de Germes, o mille circonia is ances qui rendent te developpement plus prompt o plus. si tardis autrement ii audroit ire, qu'un eant de irente, ans, auroit ecu utant de plus que a mas te excede celled'un Nain de monae age M CEPENDANT, continue M. BoURouET, si 'on examine Iaquestion de ce cote , ii parostra que e calcul ne sera pas , si epouvantabie, Wyon verra que les proportionso rontis ardees, selon es mouvemens plus ou moin prompta deo a progressio que biat es Corps organisses dans leuro croissement L moindre ardita, mes lantes es plusis conamunes, Durnissent lusieuri exemples de ceti variete , de progression , fur quoicies Geometres n'on potia encore se exerce a science u calcul, si e ne me tron ape Mais
quelle M'ait te a proportio de la petitesse de la gratae
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de ceti annεe, ave celle de anne precedente doni elle QRεr- V Lest issu , elle ne eul tre que commerae tem qu'il a fallu ou rendre a derniere parisitemen semesabieci cellequi a precedε Suppofons, par exemple, que a grainedon nous parions , ait te 'abor rense ee dans celledon elle est sorties, dans une aison Eciproque de sonvolum . in minutes o trois cent secondes, elis aura pu augmenter cent mille fot son volum dans ne anneepuisque trois cenis Oixante-cin jours, contiennentum censvine in mille erit minutes It me parot M'i sye sui de-la , que a gratiae qui parulis premiere anne duΜonde , auroit et a cesse qui doli parotire a derniere
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CHA P. VII. Sentiment de M. BouRGUET si tria gene
CCCXLIII M. Βουκsugae fulvoit ne bonne oute Our eclairci ta attere de a Generation. Mais it manquoit 'une multitude de ait interessans, qui 'on et decOuveris que bien des anne es pres a publicatio de son iure en I a 9. Son Genie raiment philosophique , se seroi si ement refuse aux Ouvelles opinion qu'on a tente depuis eu 'introduire dans la hysique de Corm organis es. I admettoit eur reformatio dans es ceu sis, Cil ne regardoiicia generatio que comme uia sinapi developpement , qui 'operoi par influence
de a liqueu seminale , qu'il consideroit ausi e qualite defluid nourricier. I la definimoit ne liqueu Dirime e , qui Uestu uu extruit de parties de anima qui a communique I .
I admettoit en cor te concour de deu semeiaces, Qvoici comment i concevoit a generation.
, ait a naenae proportio entre ne si ille adulte menae outes es, Neres futures, ave les Embryons: rien 'empeche que nous ne croylon S, P Embryon plus grandis proportion u'o ne regarde a plere conamese ne simple en veloppe de Foetiis, de laconriu'oia joute ausus ces millions, , aulant de millions 'en veloppes s, que a somnae en devienne cent misse plus grande Il me paroit e vi-- dent, que dans te plantes , la mere-Ρlante contient e Germes de plu- si eur gἡnerations u'il contien- , nent les rimbryons secondsci quedans le Volvo on distingue a poeti, si generations qu enfin es o , lypes contiennent dans u seu Tout, asse de Germes pou plussieur gen
se rations car ii sui de la , que dansis ovairesd'une Ayeule , sentiensermόesse non-saulement lassilies, maista petite. se ille, Parriere petite-Fille in arriere petite Fille de la Filles presentement,s'il est ne lais prouue que ovaire se de Ayeule commune contient plu- leur generations it a potnt, trabsurdite a dire qu'il e contrent, , outes it ne parcit pas dans an ,, logi de dire, qu'un Getme qui est , repandu dans runiversalite des corps , oen ferme eulement in , di , nise lusileur generations L'illustre Auleur en vote sur e suieta ce que ravois dit e faveu de rem-boilement, Corps oryan Art. CCLX lv contemplatio de la Nat pari. VII, Chap. IX.
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, qui enuironne a petite machin organise , y excitent unis mouvement, qui me te petit Animal e etat de se deve- is opper par a nourriture qu'elles lui fournissent enci'insi- nuant dans se organes, qui son alors 'une esse deluis calesse , que out auire nourriture ne auroi tui convenir.
a quintesselices, potir insi ire gran Animal, sertia 'abor de nourritur a fimbryon J'IGNORois te principes de et habile aturaliste Morsque
crivant e passage qu'o vient de ire. I auroit et a destrer, que et estimabie Auleur ut plus approfondi son de sur aliqueu seminale, Qqu'il eut applique plus en delati,
ave plus de neuet aux divers cas Nil 'etoit propos de res udre. Ilis'explique nusse par comment se forme et extrast, ceti quintestenta du gran Animal, Qque mouvement i imprime a Germe. Si Pon se donne a peine de ire a m niere dolat i entrepren de rendre aiso de laaressem blancedes Enfans au ere, a lamere ah, des Muleis, des Ju- maris 3 , c. o trouvera, e 'assure , qu'it 'a a tire u asse gran parti de se principes, qu'il ne te a pas assea analyses, 'o regrettera avec moi , qu'il ait consume refute les Natures plotiques, unoenas recteuc, qu'il auroit Pu naployer plus utilement a crevser avantage sola vj et, a decompose les fuit qu'il avolt e main. I di d'excellentes
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se molecules etheriennes , aeriennes, aqueuses, Oleagineuses, is salines, terrestres , c. accommodees a de systhmes partu, cullers determines de te commencement par a SAGEssEsupRhΜE, unis hacu h ne Aetivite umonade singu- liere, dominantes, a laquesse celles qui enirent dans son system soni subordonnees ΙL 'explique u pe plus clatrement dans te passage vivant, qui forme ave te precedentes concluso de tous se principes. peut continue-Nil 3 , en vivant ceu ide surrae, Misamifme organique, concilier ous es systrines, ' ense Jant aucu qui ne contienne quelque verite Les Moules, se trouvent dans inutes es parties u Corps humainci laia figure deale ou Mille se trouve dans te parties le plus, spiritueus es u spernae des ales Wdes Femelles, parce, qu'elles Mnferment en petit out e qu'ilis a de differens se Ouvemens dans es grand Corps organisses. t 'est lyo-- peratio de ceti liqueur, emblabi a celle des elixirs is des sprit de laria ἰon de Chymistes , qui a donne lie a, tant de pensees bifarres γ'on a debitees fur e sujet bGon preforme se trouve enfin dans 'oeus, a sens duo system des develo emens, qui contient les utres, an enia voir es dissicultes. Ilo a beaucou de conformite entre
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., remplo de a grande quantit de mattere qui seri a pac- ΗΑs
croissemen des lantesis de Animaux, ne infinite de se differens materiau que les ommes emploient dans es oris mechaniques. I se ait ici une circulation mervellieuse: que industrie desinommesis e Mechanistae organuque tento a terre Qui est rendu ave te tems 'une a , tre maniere. ous es divers materiau don Iesmommesis se servent , ne changent amat de nature ce 'est que, melanges Warrangemens. De meme lesis olecules qui e trent dans es Corps organisses, euvent en 'unissantis ense separant, forme tous es changemens necessatres , ans, qu'ilis ait de veritable transformation dans interieu des, choses Elles lassisentis to ut, en restant e qu'elles sont, , par emechanistae que Diguis institue εs te commence- ment Les Corps don des lantes de Animaux, sontis ara letire des petit Mondes , de series infinies en leuris genre, qui enferment ne infinite 'autres series dans des
expression moindres a Pinfini Au reste, notre Auteu tiroi de la consideration des Mulati,u argument en faveu de a prἡexistence u Germe dans laFemelle Ii aut encore que e te laisse parier utimem te passage est remarquabie. RIEN ne me paros plus propre , di ii ix a prouuerta realite deri'actio de extrait spiritueu de corps dumale is de la Femelle fur e Foetus, que exemple des etits, qui on et engendres par de Animau de diverse spece. 'on volt en temoni ab des umaris qu'on divise ense deux speces Q premiere qui vient 'une nesse 'un
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erim VII. A aureau est appellee Bis, da secoiade qui vient d'une Jumentisis 'un aurea , est appelle Bais es Animaux qui sontis veritablement des nesis de cimaum, parce que les Petus, appartiennent a tEDece de la emesie i , portent eaninoi des arque du male , 'es,a-dire, qu'il ontra frontisnpe bossu au endroit ou les aureau on des cornes, leur machoire est un e plus courte Pune que auire leu queue tient quelque hos de celle u Boeus. Quant, aux Mutet qui soni commutas en temontis dans tous Ges ays meridionaux de Europe comme An ne differe, pas utant du Cheva que te aureau les speces soni plusis consondues dans es Petit : cependant les arque duiamate 3 soni fori sensibies, Ne que e Mulet oi unis hevat, non unone vicie , commera'On eut 'en con-vaincre en examinant ave attention Cette doubie spece demonstres prouue videmment, que les Corpuscules Gganifes primitis soni dans es oeus des Femelles, & non dans te perme de Males, Qque ceti liqueur Elee avecis celle de a Femelle agit surrae corps preexistant organis ,
is su son developpementis sa premiere nutrition Les fans qui aissent 'un ere lancis 'une Mere noire, uis 'une ere lanche, 'un ere nolr, prouuent ab lumeneis a meme hos par appori auxinommes QUAND ceu qui ont crit fur a Generatio demis'. BOURGUET, 'aurolent ait que remanter se principes, te perfectioniaer, es developper, es appliquero de nouueau caS, iis aurolent, e me emble, travaille ave plus de fruit, quen'ont ait en particulier les Auteur de nouvelles opinions.
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ration, dans Encyclopedie de aris, ista ecty de Enε- ,hh''Eho, trer te mystere; mais e ne ais si a solutio parostra lumi clopedisteraeust. Je la transcrtrai eanmoins, parce que e doi faire men el. 'tion des sentimens des hysiciens qui se sontra plus appro-ches de me principes. is irae Foetus, dit et Auteurii), est prόexistant dans Porus de la ere, comment se euNil que Ensant essemble tison erea Cette objectio passe communement our treinsurmontabies mais ne ourroitio pasci faire cesse d'εtre tesse, en rεpondant que la disposition des organes de Embryon avantis aprε la fecondation depen beaucou de
Pactivite plus ou molas grande , ave laquelle 'exerce,s'entretient la vi de amere, & de influence de cette
activite, ou qu'il sol conforme de telle sorte o de tellemanter , analogue a celle doni cette meme actio de lavi Ovis vitaeo dans lamere a conforme se propres O ganes, Wque cette Eme disposition des parties de Embryo ne eul que dependre aussi plus ou molns de laforce ave laquelle esses Ont et mises en e par erit de Pesprit semina du ere , doni elles Ont et impregnees d'o i s'ensuit queri rememblance tient plus ou molas duper o de lamere, selon que 'un ou mire a plus oumoin influε, par cela mεme qu'il fournit dans la generation, la formation rae Eveloppementis Foetus, surcie pri cipe de vieis organisation de Embryon, qui e reqoit proportion ne forme plus ou molas approchante de celle u er o de lamere; e qui eut rendre aison, nonaeulement de emu'on observe par apporta la essem blance quanto la figure , mais encore par appor a cessed caractere a
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CCCXLV. ΑΝ se Corollaires melis surcle oulet, publies a Laus anne en I s 8, M. de HALLE R donne uia lege precis de se ide es fur lamen eration. est ne spe cerae solutionqu'i deduit de se de covvertes sur a formatio tau oulet
diste is volt asse qu'elle est aussi va-gue qu'obscure, u'elle 'expliquerien I 'Auleur auroit, an doutes, e fectionne beaucou ses dees, 'it ut connu les decouvertes importantes quioni repandu tant de our fur revolution des corps organises. L'opinio plus nou velle de M. WoLF, professeu a petersbourg, 'est ni plus lumineus , ni plus Rconde ire celle
l 'tars en oppositionisve les ait tesmieu observes de a montie 'apres N. de ALLE R. Voye la note que
Cet pigenesiste ad me dans la a. tiere ne force secrette, charge de rorgani sero qu'il nomme e sentielle. Cette forces, qui selon tui est te principe de la vegetationis de a gene ration, forme ave ce qu'il appelle lato defcence u lac, la Plante WrAnimal.
La force e sentietis agit par esse-me me o sanci'intervention d'aucun moule Elle est la sente cause efficiente o formatrice La chaleuris Pirritabilite ne sontque de causes auxiliatres. Leoissu cellulaῖre est forme te premier. B est out compos de vesicules o de globules 4eu-pres ronds-, pleius 'une humeu qui ' dispos , doni une partieri'ecoule a dehors en se frayant des outes qui deviennent de vaisseaux C est allisi, par exemple: que se lagonne ei a peu te coeu det Enabryon, qui vivant notre Epig nessistes, 'est 'abor qu'un petito meau 'un uissea de a Mere Lesu qui sor de parties dei formees , qui est assemble par hi force Delmtielle, donne aissance a de nouvelles pasties organiques. Nutes naissent de lasortes, es unes pres le autres , parune veritablem pigenest, Sc. de 'en dira pas avantage fur cetetrange systemes: ceux qui defreront plus de delatis, consulteront Auteu lui-menae, ita Phuso te de . de HALLER, Tom. VIII. Seel. II. Arti v Je ne sera su ce system qu'une stulereflexion, de qui suffroit our en faire senii la nussete, quan M. de A LER ne auroit pas deja demontrwe partes observations te plus directes. Une foro que conque est oujour enso iniate inefeci esse eut galementproduire te o te esset particulier. Itiaut donesquetque chos de remisant, qui determine ceti force a produireu certain esset, pluto qu'un utre qu'elle ourroit galement produire. Mais s'ili' a rien de reforme dans ia