Oeuvres d'histoire naturelle, Volume 3

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traiis , leur caracteres distinctiss. Je ne dis a que ous Ceux 'une remeas pece solent pariuilement emblabies. Je nevois ien 'identique dans lamature δε an recouri a principe des indisce abies, i est trἡ clair , que ou les Germesd'une meme spece 'achevent a de se developper dans lamem matrice, dans te meme tem , dans te mεm lieu, dansle Eme climat, en uia mot , dans es menae circonstances IIJ Volla bie de causes de varietes t en est 'autres plus efficaces encore ce sont les liqueur seminales. LEs apporis que e coni Ois enire organe de a generation, Male Cles differentes parties de so corps , se trans. metient usqu' u certain poliat a Germe par actio de laliqueti seminale Le temperament de amere, se inclin tions , se passion , les alimens doni elle se nourrit , 'edu-Catio qu'elle a reque, o genre de vi , te climat qu'elle habite, euvent ausi modifier plus ou molns Embryon. Et si Pon ad mettoit ave diver Auteurs, que a Femelle fournitiine liqueu prolifique, ceti liqueu produiroit dans e Germedes modifications analogues a celles qu' produit e spernae .d Male Mais ceti liqueu de a Femelle est a molias outeusis. De Femelles , qui conqolvent tres-bie , ne repandent aucune liqueu dans Pacte de la generation. RUIschi 'a trouveque celle u Male dans a matrice dans a rompe. Siles emelles tolent ourvues 'une esse liqueur, elle evroities exciter a amour, comine elleis excite les ales. ou

du froid. est e qu'illa mis dans leplus grand ou relativement aux egres aux euples qui habitent a Zone

glaciale. 'invite me Lecteurca a courir es etails intei essens dans es queis eloquent istorie est entre ac sujet dans te omera de se αμ pleniens Les nourritures genre devie sontχ'autres laurces de varietes, &α

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violence our se sinu metire leur Femelles 3 es corpsoaunes, qui vivant . de uero fournissent a liqueu fecondante de la Femelle, ne soni potnt necessatres a la conception. Μ. de ALLE ne es a potnt tro uves dans de centaines de Femmesis de ille qu'il a uvertes ni ais il le a vus dans cesses qui tolent enceintes o accouchees depuis eu sis

soni don pluto veste questa cause de la se condation I et .

xyBibliotheque rasonnee, . XLVI.

Extrait deam ire Naturesse Generale N articuliere.

attache a se corps Iaune qu' se nio. Iecules Nanique , algre tant 'o jections terrassantes qu'onis accumulees contre son systεme. 1 est reven aux

se opinion aes ovaires ou testicu- les des Femelle sent, dit it, dans, uestravat continuel depulsu puberte ociusqu' rage de sterilite Dan les ΕΩ, peces ou a Femelle 'entre en chaisleu qu'une lais par an il ne croitis ordinat rement qu'un o deu corps glanduleu sur chaque testicules, quelqueBis suris seut iis se trou-vent e pleine maturite dans testems, decla chaleues doni iis paroissent Etrela cause occasionnei lec'est aussi pendant e rem qu iis laissent echapperis la liqueti contenue dans leu cavites, de que e reservol est puis

qui ni fait alor toutes leur fonta. tions commencentis se fletrir. . . . . Les vesicules, continue notreo a turaliste, qui composent resque o oute la substanc de testicules desse emelles , ει u'o croyoit jusqu'ari nos our Etre es euis des viviis pares, ne soni rien auire hos queles reservoircd'une lymphe Spure ,

o qui ait la premiere base decla liqueue, seminale ette lymphe qui emplitis es vesicules , ne contient encore mis cune molecule anime , aucumat meis vivant o se mouvant, mais dea, qu'elle a passe parrae filitera corysis glanduleuxis qu'elle est depolae dans

se a cavite, elle change de natur : car, des lorcelle paroli composee, commeo a queu si minale du male, 'uno nombre infini de particules organu, ques vivantes, Ctoutes semblables a se celles que ron observe dans a Dis queu evacue par emale ou tireeo de ses Escules seminales Gelsit, dono par ne illusion bien grossiere se que les Anatomistes modernet, reis venus dis,steme des oeula, prenotent

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CE seroit dans es ources que e viens undiquer, que epulserois es resfons de la essemblance de Enfans in ere , la istere, de ait de famille, encore de air nationat. I 'Ane cie Cheva different beaucoup. Si la semenc du preces vesicules qui composent a substanceis forment organi sation des testicules , our es ceu des Fe- melle vivipales 'etoi non-seulement par ne fausse analogie qu on avolt transporterae mode de lageneration des ivlpares auxi vipares, mais encore par ne grande se erre urinu'on attribuoit a ceu pres

is ceti liqueu seminale de la Femelle.

orae tem qu'ilis employ a serviceo militatres, luto que 'accuser esse lumieres dans de Aris qui et alento si fortisu. desisus de se occupations. mais es rotis de a verit soni in- v riables , Rotque a laute de celui, qui les viole soli plus ou moin grande Melon 'illa e plus ou molnsta'o si casionsis de facilite pourri instruire. se e sont les Animaux qui engendrentis fori vite S ii de petit intervalles, ' Rebiexion furi Meme de la s/ngratio de M. de Bur Fo , traduites de la teface de M. de HALLER , placeea a tetera seconi Volume decla raductio Allemande de Ouvrage de M. de BuFFo , Is I.

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466 CONs ID RATION su LEsmier pro duit de si grand effet sur e Germe u secon , po urquo celle de Homme 'imprinaeroi elle pasci se Enfans divers traiis de si rest emblances Des difformites purementa ccidentelles ne seront a transmises si es accidens 'on pasporte surcies organes de hi generation du Male, o si cesqui ont ait croire a M. de B UFFom, is que cute les Femelle qui soni pro- res a la generatiota on des corpr aunes,' par consequent des liquems sentinalem des particules organi ques.se Mais i est incontestable que es corps jaunes ne soni pas a cause de la condation , iis en sontra sui tes iis, ne naissent dans la Femme qu'apresia conception, iis ne se conser

TRANDI resque inco an a nonde savant. Mais M. BERTRANDI favori-

soli opinio chgri de notre illustre Epigenesiste, M. de I ALLER la com

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difformitis ne soni pa de natureo influe fur se humeurs. Μais es maladios heredimire se transmetiront, parce qu'elles affectent les una eurs, par elles a liqueu se condante. ne violente commotion de amere ourra porter surcio Foetus; mais Penvie 'un fruit 'ira a peindre surciuicia figure de cestuit parce que e des r 'appartient qu'a Ame is quel Ame .les Sens de 'Embryon ne soni pas Am les Sens de a Mere Les moles soni comme es uees Ono volt eque 'on eui. 'Auteu de a Venus radisque a re bien releur Durni d'avantageuca leur cause. Acie defie Univers4'avoir, u corps M aune dans ne terge. Mais au molnscia liqueu de corps jaunes contiendin- elle de globules mourins o des particules organiques vivantes comme . de Burro iratare par-tout M. SPALLANEANI qui a donne

de si belles preuves de se rares talens dans at si dissicile de bien observer, qui a demontre plus directementqu'aucun aturaliste la non existencedes molecules organiques, ne laisse pas

, semence du aureau Elle toti pletne se acla verite, de corpuscules spheri es, is tant sol peu paques mais es com, puscules tolent oujour immobiles:

seulement la plus petite secousse lesse mettoit e mouvement mais Im- pulsion trangere venant 1 cesse , , , 'esset cestat fur te champ. e mou- vement accidente n'en auroit. ii potntri impos a Naturaliste Fran Ois ' elaisois me observations pendant queles testicules restolen attaches a la, Vache qui venoit 'εtre tuero qui conservolt encore resque out sa

Ain si, i ne reste rien absolumentrie a M. de Burrom, de tous te fiatis

gination 'etoli plueis elever s'ecroule de tous cotes plus de molecules o ganique , pius de moules intεrieurs, plus de liqueurs seminale dana les corps jaunes, plus de globules mouvans danacetis liqueur.

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A eulent, en effet i est dimile que dans in space de

ri mal, ni enui de manger 'aucui fruit et ' Je e repete ouvent; la liqueu seminale ne forme te a

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encore la note additiomesse suraArtia Ue CCCXXXV, ou e parte de la fe- condation artificitille des ceus de Polia solis des rapaud , dans laquelle auculae liqueu seminale de a Femelle

n'intervienti

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CoNs ID RAT 1ON sua EsJ me enfermera don dans cere question; 'il est absurded'imaginer, que les organes de a generation du Me niet ausi construit sur des apporis determines a differens organes de a Femelle Cette nouvelle suppositio ne revol ter pas ceu de me Lecteur qui auroni bien medite suit de me principes qui regarderont avec moi a Lqueu seminale comine n uide nourricier, la generation comme u simple develo ement opere par a nutrition. t combie de ait nous ramenent a cette conclusioni

neration des Neutres che les Abeilles I . Ces euires, comme leur nom Pindique , sint de parsalis visu. On-seulement iis 'engendrent Oint iis soni Eme absolument prives de exe La plus fine dissection, ide des meisseurs microscopes , ne auroitis decouuri te moindre vestige des Organes exterieur interieur de a generation. Ce sonidon des Mulet que a Nature a fatis et de te commen- cement. Elle les avolt destines uniqueinent a travail esse leur a doniae, dans cette ue, des instrumens, des specesd'Outiisse de laboratoires, qu'elle a refuse aux Male auxFemelles Ces instrumens accordes aux eutres, soni relatissaria recolle du telis de la ire, acia preparatio de celle-ci, a son empto , a a constructio des galeaux , a Peducation des etits &c. Si es molecules destinees 1 a production de Embryon se mouiolent dans es parties duinale

de a Femelle , si elles tolent renuoyees ensuit par es parties au organes de la generation, commerae pensem de BuYPON

il seroit impossibie 'explique svivant cene hypothes , a

formation des divers organes proptes aux eutresci car ou prendre les Moules de paretis organes 3 es Individus genera-teur en soni depourvus. Mais si Pon admet , que es o

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Collvs ORO AN I sis. 4 Iganes de a generation des ales on et construit de ma cri Aeniere, qu'ils lirent, preparent les molecules relatives a de-veloppement de trois sortes 'Badividus , la dissiculte disparo

tra, Con concevra comment 'opere evolution des euires.

Les trois sortes 'Individus ni et deiunes originairement en petit data les ovaires decla Rein abeilles la secondation e r cur pas au Germes de Neutres de nouueau organes , essen' aneanti pas ceu de a generation qu'ils 'ont amais

ticle, ignorois la deetouverte si singuliere de M. Sim I MDC, . 'en aidonne ne de dans la note surci'Art. CCXCVIII I resulte de ei te decou- verte, qu'il ' a proprement che les Abeilles que deu sortes 'individus, des malesis desae velles Les reten. dus Neutres appartiennent originairement a sex feminin , uisque des Vers qui aurolent donn de Abeilles communes o des eutres , donnent de Reines quan iis sent places dans une certain cellule, Malimentes d'une maniere appropriee. Cette de uvertes imprevue, doni ii Stoit 'abordires permis de douter a te confirmee

depuis, par divers observateurs, en particulier par et Observateu Anglois, doni e partois dans la note sur Art. CCXCVII. N. EA N DEERA , c est te nom de et ingenteu Observateur, is a partage u grandisa-tea e differens moroeau , donichacu contenoi des oeus , desse Verso des Nymphe commvns Ille a places seu quatre differens

se hie , es A ille on repris euris tranquillite, se soni misit 1 ro

is verti e Reine Lorsque a cellule, royale a te achevee la liberte doniis es Abeilles avolent .t privees ius

, qu'alors leucayant te rendue, elles , 'ont montre aucune dispositionis

vateur a deconvert quatre eunesse Reines armi es Abeilles nouvelimis ment ecloses. Ista e te meme successe dans plusleurs autres expetiences qu'ilis a temees ensuiteo ne eui dono plus do uter de larealite de la deuouve ire de M. SCH

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d'une aniere satisfallante, cette modificatio si remarquable

que a liqueu seminale de Ane produit dans organe de lavore u hexat, ors'u'elle e convertit, ou ainsi dire, en Mulet, expliqueroi par te meme moyen ou les phenomenes de la genεration. Je dis is dans Artici CXXXVI, que si Ponpoussol le recherches sur temulat usqu' is interieur, es difficultε se multipheroient , proportio que examen seroit

plus approfondi. a decouverte de M. ARRIMANT en est ne belle reuue elle appren au Anatomistes combien iis peuvent se prometire de ce genre de echerches. Aprε avoircompose Article precedent, 'ai v lii relire te emoire ii teressant de ce avant Academicie fur es organes de a vois

des ouadrupedes, de cesse des osseau ci), cie ais metires ou les eu du Lecteur e passage qui concerne te Muleb.

essaye de montre dans te premier deces emotres , comment a decouverte doni Ps'agit, se concilie ave me principes surcia generat On.

Dans a note sur Art. CCXLVII, i'ai aconte observation du meme M. DERRA surcia fecondation des euride a Reine abellie, qu'il a u 'operercemme celle des oeus de poitans de Orenouilles, c. par te perme que

repandent dans es cellules certainsFaux. bourdon , beati eou pius petitsque les uires de demandois a cette occasion, quel ou volt ire rufuge des grand Faux bourdon seroit -on poliat tente de stupconne que e sonteu qui fecondent insi las oeuis de lposes dans es cellules appropriees auxVers males 3 don te dimensions sontconsiderablement plus grandes que celles de cellules comnivnes 1 est potiriant bien singulier quem de EauΜuR moi, qui avons observe es Abeilles

pendant si long-tem dans desis ches vitrees de a construction a pluativorabie , nous 'ayon jamais surpriade aux-bourdon occupes a seconderies ceu se de ne dis mini ceci oue infirmercia decou verte de Observate Angloisci e suis tro combie i est B. cis que ertain fates chappent auxyeu te plus exerces a voir. J'admireles voles que Au TEu de Abeilles achoilies poti propager eur spece, te metire a porte de subveni aux a cidens qui ou volent interesse te lusia conservation de leu petite Republique. i Meni de Pacad. An ι7s , pagoa79, in- to.

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