Historia de utero duplici, alterutro quatro graviditatis mense rupto, in Hungaria, anno MDCCLXXXI. in cadavere ab auctore invento. Cura C. E. M.

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poumons et les autres visceres de ces

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ment inferer de ce que nous VenonS

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D 1 s g E R TATIONrement locat. Volci cependant d'au tres observations qui semblent la remet tre dans la classe des Maladies hu-

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sUR LA MORVE. TChevaux : elle n etOit pas egalementa secteedans tous : dans les uris, ii n yavolt quune partie de cette membrane qui portat te carac tere de la Maladie ;dans dautres, elle elo it totalement vi cie e et ulceree t te voile du palais e tostle plus fouV ent affecte, et ii paroissoit meme , dans Un grand nombre, quec'ecto it de cette partie que de coulostprincipalement la Morve. Dans presque tous , Ies p OUmonsciolent ma ades, et plus ou molns re piis de tubercules et de petits abces remiplis de la mallere de la Morum fouvent te sole avolt de grandes ta ches blanches , sur-tout a sa partie

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les intestins et la rate participotent ala maladie. Plus la Maladie et oit ancienne , plus il yavolt de ces parties altaque es : dans ceuκ qui n' et olent malades que depulspeu de tems,onne trouVoit que la mem brane pituita ire viciee; mais dans ceuX qui l elotent depuis long-tems, On trOU- volt toujours dautant plus de Visce res altaque s , quily avolt plus de tem s

M. Malo uin engagea M. Servier , Mare chal de la petite e curie , a demander qu'ii tui sui permis de traiter desChevaux altaques de la Morve , et les eaperiences , doni nous allons donner Ie precis, ont ete Lites fous les yeux

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meme altaque e et Chancre US e.

On donnaac et animal, une is partour, de Poethiops antimonial invente par M. Malo uin ), et une lais de la pervenche hac hee et melee aVeC du son; on te mit a l'us age dune eau blanchesaite avec de la pate leve e ; on sit troistrous de trepan pour penetrer dans tes, sinus , et pOur injecter par ce moyenta membrane pituitaire , d 'abord avecta decoction d'aristoloche, ensuite meci'evi vulneraire , et fur la sin du traiiement avec res prit de vitriol; on te pum

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observa de te bouchonner tres S OUVentiors quil eloit a recurie. Aubo ut d'environ quatre mois de cetrai te ment, te Cheval n' avolt plus au cun signe de Morve , et on cessa delui continuer les remedes, quoique M. Malouin fut d 'avis de n'elo igner tes Purgatiise que peU-a-peu, pOur metiret 'Animal a couveri de toute recidiVe;

et te Chevat ayant ete juge treS-Sain, et ab ant me me repris de l'embonpoint,on te remit au travail, qui I so utini tres-bien pendant trois mois, et quil auro it probablement so ut enu plus long tems, si te bien dia service n 'avolt e

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rexception de la membrane pituitai redii cote droit, duquel le Chevat avolt jette, qui parui encore hin peu enflee et imbue d'une humeur de morVe, Cequi marque que Ce Cheval n 'etoit pasa COUVert de recidive, et qu'il auroiteu reellement beso in de la continuation

roethiops antimonial et la pervenchel; mais on ne tui fit aucun troii de trepare

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seulement d ab ord de huit en huit jours, puis de quin re en quin re, et enfin Oneto igna les purgations insensi blement. Ce traiiement a sum po ur que te che-val ait cesse de jetter et de battre duflanc; la respiration est devenue libre, et ii n 'a plus tousse; en Un mot, oni'a juge gueri de laΡousse et de la Morve,

partie, et C'est actuellement celui detous qui fatigue te plus, e tant chargedii Ρostilion; la seule precaution qu'Onait prise, est de te purger de tems entems, et M. Malouin a obtenu qu'onia continuat, et que ce Chevat ne fiat jamais reforme, pour voir ce qu'il en