Historia de utero duplici, alterutro quatro graviditatis mense rupto, in Hungaria, anno MDCCLXXXI. in cadavere ab auctore invento. Cura C. E. M.

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D'ACCO UCHEMENT. 23 R. I accouchement contre nature

oest celui dans tequel l'ensant se pre- sente de maniere qu'il ne pe ut venir,l ans que l'on change sa position dansi a matrice.

Due signes de Ilacco uchement, O des

R. Non ; it faut encore , lor uellest appete e , quelle puisse dire si la

emine qui solii re accouchera biento t

u non.

D. Queis sont les signes d'un accou- hement prochain ΘR. Les principaux soni les douleurs, i dilatation de rorifice de la matrice in rotad , la formation des eaux a l'ori-

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a C o U R sfice de la matrice, δί un e coulementglai relax par te vagin. D. Les do ut eurs sonNelles tota j oursuia signe certain pN. Non ; les dou leurs ne so ut unsigne certa in que tors'u' elles soni fortes , frequentes , qt felles partent des re ins , & se portent vers l'os pubis δίl 'os sacrum, de que d'aille uis elles sontac compagne es de la dilatation de l'orifice de la matrice. D. Comment connoit - on que lamatrice se dilate ΘR. On n'a d 'autre moyen de te recon nolere , que de to ucher la femine. D. Qu' ell-ce que toucher une fem- me λβ. C' Est introduire te do igi index de la main droite dans te vagiri , te porter jus ti a l'orifice de la matrice : alorson recon noti ais emerat s 1l se dilate oti

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precautions a tem S.

D. Queis soni ces trois degres de dilatation ΘΓ. Le premier est large a peu presco mine uiae pie ce de doune sols; lese cond est enuiron te double ; & letroisieme beauco up plus large que les

de ux autres, presente usa bourretet versi e pubis, forme par les membranes δίles eaux qui S'avancent. D. Q uelles sent les precautions necessatres lorsque la matrice commen cea se dilator λR. Les moindres precautions soni ici de grande conseque iace ; oia doli donc, austi tot que rorifice commence a se dilater , preparer da b eurre frais ou dol'huile d'olive , detix ou trois fils d'unquari de long a peu pres , fatis chacunde quatre ou cinq brins rotiles ensemq

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D. A quoi servent ces precautions pN. Le beurre frais ou l'huile serventa graister les dolgis de la sage-fem mele vagin , meme l'orifice de la matrice pendant te travail. Les si is serventa lier te cordon Ombilicat, les cise auxservent a couper te cordon lor'u'il estite. Αvec te vin δί te sucre on ranime

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D. Queis soni donc les signes qui

annoncent que l'ensent est vivant λR. Lorsque t 'accouchement est naturet, on sent te battement de la fontanelle , vulgat rement appete la fon

taine.

D. Mais si l'ensent presente to uteautre partie que la tete , comment re conno tra-t-on qu'il est vivant λR. Si l'ensent presente te ventre, dc quil soli vivant, on tro uve te cordon

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D. Queis sont les signes qui annon-cent la mort de l'ensent λR. Les signes de la mort de pensant soni te de faut de bat rement de la fontanelle , des arte res Ombilicales , du

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me nous l'avons deja dit, celui dans te, quel l' fant se presente par la tete , la

nient sera nataret, lors Icen to uchantia fem me , on troiive a l'orifice de lamatrice , te sommet de la tete , la fon tanelle plus porte e Vers t 'ossacrum que vers te pubis, & que ii 'aille urs on ne

Ten contre auctan Obs facie.

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3o C o U R stion on ne s'y trompe pas la tete estia seu te de to utes les parties qui peu'vent se presenter, qui offre uiae sursace plane & unie , qui remplisse exacte ment l'orifice de la matrice , elle est laseule sur laquelle on troiive la fontanelle. D. Tous ces signes supposent tes

Λ. Lorsque Paccouchement dolteire naturet , les eaux remplissent te cercle

forme par la dilatation de l'orifice dela matrice , la poche qu'elles formentest ronde, dure dc s'avance pendant tesdouleurs , au lieu que dans les au tres accouchemens les eaux soni molles, etendues & moulees fur la partie qui se presente. D. Lor Uon reconno tque paccou-chement approche, que faut ii faire λR. On aoit , autant qu on te se ut,

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saire uriner la femine dc la faire alter ala selle , en sui te on la coiiciae sur te litque i 'on a prepare, oia lui eleve la pol trine δί la tete par des ore illers, on lute leve aussi te basilia , en metiant unore iller seus ses retris , on tui fait se- chir les jam bes, ecarier les cuisses, asinpuyer les pie ds contre quelque chos ede solide , dc on conste te reste de l'ou-vrage a la nature qui presque toujoursse sussit a elle - me me pOur termine rheureusement raccouchenaent naturet.

chemens laborieux ou contre nature.

Il est imprudent, meme tres langere ux de toricher solivent la femine, onco urt les risque s d'occasionner des gon- flemens, des inflammations au vaginou a l orifice de la matrice , dc de rem

dre laborieux dc dissicile uia accouche

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que la tete commence a s 'engager dansle passage ; alors on perce les eaux , si elles ne te soni pas, on aide la dilatation du vagin, si elle ne se fati pas asse Zai sement, δί on favori se la sortie de la

te te.

uns apres les autres, & en tes y tenantecartes; on observe de les e carier de

plus en plus, a mesere que te vagin se