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g 1. Lorsqu'en 1845, nous avons ait paralire notro premisire livmison de a Paleontologie universelle de coquilles et des motiusques,in auteur allemand fouvent notre critique dit: si uu'il sitat impossibi qu'une personne seule put en treprendreune publication aussi importanie s Alors, commerioujours, nous ne oulumes rie repondre a savant 'Heidelberg, aissant autempsis Iair justice de et sprit systematique 'aliaque, quitient autant, nous te croons h Pelat maladis deri' Scrivain qu , des rivalites nationales, qui ne deuratent amat exister dans ledomatne de la science. Sicles circonstances politi ques, en arretantia publication de ce ouvrage, soni venues en esset justisier momentanement la critique nous ienotis Ddsimonire que e re tardilaittout liciat indεpendant de notre volonisi, et que nous Somine enmesure de publier, non-seulement une Paleoniologie univer selle des animatiae moliusques, mais encoremne Paleontologis uriver- felle aes animauae rayonnes En vorant te prodrome de ces deuxou rages siunis, qui contient la discussion silaille de dis-htiit mille esplices, classsies fulvani leur ordre chronologique 'apparitio dans les couches successive du globe, et dans leur sεrie χoologique speciale, peuNAtre sera-tis con inci que nos re-cherches etaient asse avanesies en 184b, p0ur que nous pussions, aveo out certitude, annoncer la premisire mollisi, relative aux
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INTRODUCTION. 2. La Paleontologio universelle des moliusques commencsie aceite sipoque, n'etait ou nous qu'un oyen d arriver auissisultat auquel tendatentrious nos sporis, celui de siuni une ssiri defatis asse nombreux pou pou voi en deduire des consequences generales, propres h dsimon trer importanc de la Paleoniologie dans l'histoire chronologique dii globe terrestre et dans rapplicatio constante qu'on Ourrait en Iaire licia connaissance de ruerelatis des terrains Notre Paleoniologie fransalae, pou les terrain dH e mure de publieation nous avait bienχεmontrsi celle importance, mai asin de reveni robjectio que es resultats, reconnus en France, pouvalent ne pas tresvrais our te reste duglobe, leagisinit, dans nolre travail, d embrasse lalaleoniologied monde eniter. Nos trauaux sur Amsirique siridionale, suria Colombie, surda Russi septentrionale et surda Crimsie, ainsique les collections que nous posssidion des autres parties dumonde nou avalent con vincu, parda comparaison ave nos immenses collections reeueillies surde sol de la France, que t0us tessalis siologique sitaient sinsimux et avalent arqu partout les msimes limites d'ἡpoque Νεmmoins, notre convictio ne sussisait s. I fallai convaincredes plus incredules par des considεrations barae surru nombre asse consid6rable de salts our leve toustes dotales. Notre Pelsiontologie universelle en init te moen, lemura de Paleomtologieignerale et antiquήe, annoncyli cellemsime sipoque, en lait te sisultat. Nous nous occupion active ment de run et de Pauire Ouvrage, ne devant forme qu'un out, lorsque M. Pictet nous devanua et si paralire te premi e volumede so Traite ἐιήmentatre de Paleoniologie Comme te Coiars de Paleoniologi que nous avions annonesi, et don plusleurs lauilles silaien dej imprimees devat avol laissime extension que rou-vrage de M. Pictet, te libraire juge que commercialement par-lant, nous devions cesse te notre o en change te format et rextension Nousavions reconnu que malgrsi importanee reelle derouvrage du avant de Geneve, ei uvragela'silai qu'une nomenclatur de goologio fossile, et qu'il ne remplissat pacle butque nou nous proposionsi'atteindre. Nous 6solumes alor de publierine edition restreinte, fous leuitre de Coura elementatreae Prieoniologi et a Geologie stratigraphiques, qui potissi
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D momen o nous restreignion considω lement notrectare, oui en silani indispensabies comme minis 'appui des comsiderations paritelles, lectistes discuisies des fossiles caracinrisiique de inaque inge occupatent encore, dans e cadre, une place beaucou tro consid6rable muriensembis, et auraieni paruiro longues au personae qui cherebant seulement des sinε-rallisis, n'avalentias besoin des satis su lesqueis elles 'appulent. Mus avons dono penssi , publiera part ces documenis importanis; mais, 'sitant plus sin par rextension nos lisies primitives ne nous parurent plus sumsanies, et nous avom consuri pro et 'rsaire entre tous es documenis bie constate, existant dans lodomatne de la science Nous avons oulu, en ummoi, latre de cetravalli Prodrome de Piaeoniologi stratigraphique tintinem selle des animau molitisque et rayonnes carries animaux mol-lusques Mutine nous summient plus il nous saltatio siuni unautre embranchement qui nous permit de proceder, commersisutials fur ne plus large base, fur plus des trois quaris desespeces d'animaux ossiles connus jusqu', ceciour. I. Telles soni es circonstances qui nou on dεtermin hnous occuper aeu travail sinsiret surries animaux moliusques et myonnsis lassiles 1 nous reste maintenant hisquissercle abimude la science palsiontologique et des difficulisis que nous avons euk aincre mur rameneris leur juste valeu les documenis pars dans les anteum. Nil ne s'etait agi, en esset, que de siuni des mat6riau disssimines, de les grouper et 'en lirer es cons/quenem ce Ventiniuriu'une aeuure de patience, une simple eompilation mais, comme nou Pavons 4 dit,illeum, ii risnodans es publications fur es fossiles, un chaos inextrie te. D'abord, biemque les animaux lassiles dεpendent dela goologie, ilest is remarque queram goologistes et les siologues en ontore que torioure sat rolae de deux sciences distinctes resisiesiourainst dire isolsies. De nombre autevrsse sont livres, surdes genres et fur es esphces vivantes. des trauaux rhs-multiplisis, san einquisiter des descriptions simultanges des siologues ou des palsioniologistes relativement auxisplices fossiles. De leur coisi, les pession-lologistes sicrivalent, te plus ouvent, des genres et des replices
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INTRODUCTI0Ν. plusteum noms distincis, ou que laissime d6nomination spsicilique sitsi appliqvsie a plusleurfratres bien disyrenis ieiunides autres, eomme nous hercherons tale prouue plus iar par quelques exemples Les uvrages speciau de pession tologi ne sontias plus compleis Dis es premthres comparaisons, Pon 'apermitque eite multitude de rengeignement disssiminsis dans unnombre consid6rable 'ouvrages, de simoires, et de notices,sicriis dans iovies le langues ni sit satis sans unit de plan, ni de principes qu'ils rensermentis grandiombre fferreum Zoologiques et siologiques Les erreurs deisiterminations geologi ques, en esset, devienuenti'aulant plus faciles h commetire que les es-phces fossiles sontisicrites queiquescis par deletoologisteste aucourant de la siologie D'un auire colsi tes erreum derasiterminations Oologique compliquent Cautant plus la question, que les genres et les esplice prsisentent des caracthres dissiciles h salsir, et que rapplication des genres ou la crsiation des speces prο-viennent ouvent 'unasiologue qui ' pas ait de a goologie Pollae de sesitudes spsiciales. 4. Napr de tableau que nous venons de tracer, que dot Non demander Munisu rage enithrement destin si h ramene les satis lileur juste valeur; his r6sum critique de tous es trauaux'une discussion serieuse, non-seulement de ces satis partieis, mais encore des hautes question scientisque qui 'frattachent Nous acceptons cette lache difficile, et nous auronile ourage de Pac- complir, algryles inconvsinientsinu'elle peut en tralner Loin denous, cependant, rideed aucune altaque personnelle La patienceave laquelle nou nous ommes laiss critique par quelques autevrs, a montr&que nou n'aimions pascia polsimique scientifi-que partielle Ce que nous cherchons, Hest Pintsirsit g6nsiral, c estia siritsi et si nous citon quelque noms, e sera pluto potirappuyer nos principes landamentati de a science palsioniologi que que pou repondre aux critique qu)on a pilaire de nos ou-
5. Sur e mode de publication en generat. - Ι 'idsie quel mode de publication est indillarent Dravan ement des Sciences,
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es la ourcera'une grave erreur, et les considΦrations dans es-quelles nous alloncentre te prouueront surabondammeni Chaque solsinii'on se propose 'atteindre n ut ii aut se tracerranemarche speciale qui tui soli approprisie solas ei ne de voir, aulieu de sysiclaircir, te questions couvertes 'un Oile oujοur de plus en plus pals s embro uille de plus en plus de sorte qu on sinit par ne polivoi plus reconnailre a sirilsi Force est bienators, de recouri aux grand moyensiour ramene les satis primili vement mi h leurvaleur rfelle Telle est, en esset, la marche que nous avon fulvi pou nou servi des materiau publisis suria palsion tologie stratigraphique Dans Psitat actuet des choses, cene sontiacies satis qui manquent; mais la manthre don o les groupe, en amhne fouveni une interprsi latio nate o lautive. 6. Des catalogues generauae. - Si sans discuter scrupuleu- sement les satis avant de 'en servir, oiles rΦunit dans uri catalogue genera par ord re alphabsitique,4 quel εsultat arrivera-t-on 'rales evident qu'on amoncellera, an distinction, des ait bienobservsis, produit 'une longue situde, ave les erreur de tout genre distribuees dans d autres autevrs, et qu'on e formera uniout silerogline Les questions dologi ques, palsion tologique et mologiques, vi endron se conlandre, s'embrouille dans ce grandlout ei disparaitroni enithrement, parce'u'il audrai de nouvinudiscuter totis les documenis les uncaprhiles auires, pour ramenertes salts h leur juste valeur et our 'en servi ave ce titude.*7. - Derious les lavrages de ce genre te plus complet et leplus imporiani est sans contredit, PIndeae palaeoniologicus, doni
pert, eman de Meyer et Bronn. Comme nous ne traiions ici que des animaux moliusque et rayonnsis, nous laisserons de eot les pariles avammen saties par les deux premier auteum, et nous discuterons seulementes parti redigε par M. Bronn, suries sεries animales qui nous occupent dans cet ouvrage.
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INTRODUCTION. de sui te M. Bron s), pariani, a contraire, de la essemblance plus ou molns siloigne qu'il croyait reconnaltre, juger, dans soncabinei, que nous nous silion trompsi et que celte sphce devait, par se rapporis de sormes, sitre siunt a telle autre, fouvent d'unage disrarent, sans se demander, te molns dimonde, syil ne laisai pas u rapprochement de essemblance identiquein celui qui placerat Napolsion ave les empereur romains Comme On euile reconnalire a genre ammonite de Indeae palaeoniologicus,vona, la base d'ou est parti M. Bron potarissiunt te esplices tesplus distinetes en n6gligeant de 'Oecuper des dates o de psilage ou elles se soni monirsies. O voltilis tors de quelle manthre est iratisiecia siologie dans e catalogue, et fur quo soni bassies esrsiunions monstruelises d'esplices qui son solivent opsirsies. 12. - Consid6rons, dans leurs rapporis intimes avec laisiologie comment, dans teissime catalogue soni traiisis es caracthres
te genre ita sorme sinsirique amensi ii sa juste valeur, est uncaraothre stratigraphique n6gatis o positis d'une grande importans pοur arriver, par comparaison, Dconnalire Age relatis d'unlambeau de terminissiparsi des inges superieur et indirieurs, qui devmient accompagner ou 'une conirsi fur laquelle onis'aa une donnsie siologique . 'ant de placer une splice dans ungenre, ii est donc rhs-imporiant, de s'assure si e genre est biencelui ou esse doli rester. Il est aussi indispensabie de discutersoigneusemen ce genre a Mitra' latre figurerine sphce dansun eatalogue s6rieux Ic nous ommes en ore oblig de te dire, presque iovies le rectifications de ceti nature saltes dans cetouvrage, lysiinient di par 'autres autevrs elles on seulementsita compilεes, wuvent sans critique, carinous y VoFons endore ungrandisombre de genres indiqusis dans de terrainculis-anciens, quandriis ne se trouventisiellementias fossiles, ne te soni que desdemiere inges seulement, o bien soni circonsertis dans decli
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malgrsicles efforis qui nous almons Die croire, ni sit tenisis, lebui est oin 'sitre atteint et les plus graves erreur subsistenteneor dans PInde palae tologicus. 15. Four es splices dans leur rapporis avec lainsiologie, nous avon vi 3 13 Saprhs queis principes elles ontrat solivent munies hcior les unes ave les au ires. Si maintenant nous cher-ehonique is leues etsi assignε, quelle est leur date geologique, nous errons que ouvent et age est lautis, parce que 'aprhstelleio telles prεventions rauleur renait de pressirence ne autori typiuio qu'une autre, dans son indication, olbien en donne plusleursis la sol poli certaines splices le mi euccirconserites dans leurcione, doni elles ne sysicarieni amais Ainsi Pon ne eut semer Drage geologique noncsi toriour sans localitta ce qui
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conserver 'espece en question. 'un auire coisi, dans les nomsidentique donnsis pariles aufeiars, M. Bron ne se prono e queraremen surielui qui doli rester.
15. - Ε nous fisumant fur PMdeae palaeoniolostieus, nous te regardon commem qui ait sal de mieux, de plus completiusqu' prsisent, commemne immense compilation, d'une grande importanc derasitatis, malinous rorons que, dans beaucoia de eas, illae peu mame servi de enseignement precis, qu'en uisaisant prealablement subirine grande reforme fous les rapportageologiques et goologique que nous venons d'indiquer. 16. - mo relativemen au catalogues εοgraphiques mollisi χοologique et mollisi alphabsitiques; sur celui, par exemple, que M. Horris a publi surrae fossiles de Angleierre Nous ledisons avec usirilsi, nous te regardons commmune excellente compilation, mais eniaehε, ainst querious lectravaux de ce genre desinconvsinienis inhsirent lison cadre, et que nous avons signalsis 36). 0 peut cen servi Dii ire de renseignemeni mais non tui donnerun importance siologique positive ii sisum bien ious lectra-vaux surri Angleterre sans discuteres valeur primitive intrinshque des documents rsiunis. Maurai don grandinor de se ster omjour aveuglement aux ages siologique indiquε , chaque es-phee, furtout lorequ'ilis en a plusleurs s), a Mors, ilis a necessatrement les nom et les terrain donnes dans es divers catalogues analyses par M. Morris, et non undati bien constate. Nous avons sim sit oblig de remonte tot cur lasource premthre potar sipare les indications positives, de celles qui proviennent de document peii certaius appliquε postsirieu rement aux-εmes formes Zoologi ques et relevsis par rauleur. 17. - uuant aux istes publisses sans sigures par te gε logues h appui de leur recherches locales, i nous a saltu legregarde comme non avenues dans a science Nous avons r