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msime cas. Il est certain quo citis agimai de les rectister il lau-drait plus de place mur la eritique que Uen occupent les ouvrages eu msimes It 6sulie fouvent de cette indisyrene ave laquelluces saltisoni indiquεs, que les lassilesinaeo donne Drappui des resultat gωlogique y soni a contraire, en contradictio de lamanthrecia plus compilite et ourraten faire croires desaerreumgsiologique qui ne sontiues ae de lavsses dεterminations defossiles.
18. Des ouprages publies suinant rorare zoologique - Cemodo de publication, adopi par u grandisombre 'auteurs aplus contribu&que tout te reste , paralyser les recherches, et Lem- Meherda science paleoniologique et geologique de marcher carcilestivident, que contrairementa ceriu'on devmit Iaire, on saltia serua ressemblance desitres avant leur age respectis 3 10 1s . uesu goolagiste vive cette marche, cela est naturet, uis tu' illati dela goologie lassile et non decla paleoniologie speciale mais, en adoptant e mode de publication, ii geologue o u pa- leoniologiste esiloignent sivideminent duraui qu'il se prop0sentd'atteindre La division goologique en esset, roupedestires sui-vant leurs amnitsis de formes, en consondant dans ce cadre, totistes Otres, quel que solent leurs ages siologi ques It en rεsulte queles o tres de lairemthre animalisation du globeleuvent sitre places
gsiologues adopter ce mode de publication de prsirarences Portire de superposition des couches, brordre chronologique' apparitiondes si tres, qui devraient Atre poli euxta premi lire bas de leur tra-vail. Gest encore histoire dans laquelle onsait passer laressem blance despersonnagesa'ant hi date ou iis oni,sicu 3 13.
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INTR0DUCTION. 19. - renon pou exemple et discutonile travati sun a teli que resprit de systhme a te plus siloignsi de son ut Nous uoulon parte de M. uenstedi. Commenconstar nous demander si 'est de la goologi ou de la paleoniologie qu'il a vovi faire. La marche qu'il a adopisie nous porteraii Dcroire que 'est de lagoologie, car cela'es assursimeni pa decla palsioniologie Voyonsatorii partie Zoologique. Uune des grandes amsiliorations apporisies dans les sciences na- iurelles celle qui a te plus contribusi, peui-εtre, k leur avancinment, est sans contredicta grande siforme sitabile relativement ala nomenclatur par Linn et Adanso dans a premilire mollied si hele dernier Mant e resormaleurs, es sphees talent dans les genres, sisignees par une phras qu'il remplachrent paruialecti unique, nom de convention applique a la forme spε- eisique Cette amsilioratio simplisia, persectionna a nomencla- ture et en permetiant cla msimoire de retent te no substitusi, une phrase, amena et immense si veloppemen des sciences naturelles qui sans elle, seruient euι-εtre resisies stationnaires. M. Quenstedi semblela'avotria connu, oin'avotrias apprεcisi Pimmense importanc de ce changement cassans cela, illa aurait pas crucinno'er, et ne nous aurai pa Iait retrograderi'un silicleen nous ramenant aux nom composes de plusleur alectissis l), comme on es trouve dans tous te anciens auteum qui ontprsicsid Linnsi. Si ron vivati e systhme retrogrado dans les sciences naturelles, o en arroterati positivement a marche progressive aussi ne saurions-nou iro nous eleve conire celte exhumation parsaltemen inutile et des plus daugereuses.
1 Petretaeranciunde euischlands les genres Ammonites, elemnitos.
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savait exister, puisqu'il te cite en synonymie 2 mais illa, te plus wuveni, substitusi hin adjecti simple sa formule favorite des no complexes, qui exisinient a commiscemen d sthcle dernier, avant la regεneration des sciences naturellas operae par Linnsi
24.-Puisque nous avo pariside justice, 'εquiisi, par apportaux questions sinεrales de goologie nous ne ouvon nous dispense de Iaire remarque comment M. uenfled comprendiser inines manthres de les enuisager, qui oni sal pourtant la rapui tio de ceu qui cen soni Occupsis Nous oulon parte declare tauration des tres perdus Que est, dans situde des animaux lassiles, te ut goologique te plus important Cest assursimentd'arriver Draide d'une connaissance approlandie de carecthres inlimes desintres actueis, par la comparaison qaeon elisit avecclesetres ensouis dans les couches terrestres h reconstruire es dediniere, mur montrer les rapporis Oiles dissemblances qui existentenire les saunes des diffsirent ages du monde, approchere de latiun actuelle Des recherches de celte nature ont placεCuvierauranides plus illustres elles n'ontiasseu contribusi h la reputationdon jouit, , juste iitre, dans te monde inuant, M. Richard Men. vaeavons-nous Iait en assemblant quel quelais de nombreux ma-ιεriaux, en rapproeliant les diverses parties d'un Atreiour te restaurer, non seulement iei que nouile comprenions mais commeles aius tes plus positio novile dήmoraraient Nous avons suivi, mur les animaux moliusques, e que Cuvier et M. Richardo venavalent saltiouestes mammithres, pou les reptiles, etc. Nousio vion d'autant plus croire qu'en agissant ainsi nous avions renduquelques services aux sciences paleontologique comparsies que,
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le plus fouvent, des dεmuveries postsirie ures soni venues pletne meni eonfirmer, par de sichantillon complet 3ὶ, nos restaurations premthres Men croire . uuensiedi, nous nous serions en-rere stompsi, nous aurion commis une grande laute, et ilis' aurai pas dans la langue allemande de mot tro foris mur nou les adresser. En esset, oraque cet auteuri'aias troux dans lemur- lember te genre o Pesphe que nous dεcrivons, orsqu'il ne tes pas compris, ou les a mεconnus, i ne mini pa de dire . que nouites avons inventes, labriquεs que les appendices thεori ques de nos figures empsicheni de te distinguer que nouscis'avon pas observ tout e que nous avon reproduit dans le dessin qu'ave nolre uvrage, o n'est jamais assursi que les figures reposent fur des satis que e soni des figures idεales, des crsiations imaginatres, qui ne 'accordentias avecua na- ture a Si siellement ii restat aulant de doutes h H. Quens- tedi, aprhs es tudes si approlandies surde Wurtemberg, ii aurai dei, avanti adopteri ion uistyle aussi e consormes auxminum de notre simque, prendre la diligene de Paris; et, en quelques oure, it auraiti juge par lui-msime, fur notre collection, de la veracit de nos approchements decla valeur de nos restaurations de a sirit de nos dessin , 'epamnant insi, une eritique hors de salson et touthsait inutile ear nous tui aurion montrε gire siel aussi complet que nous Pavon figursi. ous ommes enlrsi dans ces de talis pluto potirlasimontreri haut portsi des connaimances et logique generales de M. Quensiedt, que our sipondres ceti eritique incessante mo-iivsse, nous ne favons sur quoi, que nous connaission depuis lon lemps, malique nous nous refusions oujouri, regarde eomme
πι Petretaeten-kunde, p. 8l, 286, 443 244, 286, et: ete.
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28. Si la multipliciisi, si la violene des critiques lanesiessa Petret , p. 286, 272, 275, 279, 282, 287 eis. ete Ilo piae ausia des
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base la ressemblancedes sitres, et non pasleu age respectis Unarmvai de celen re ne saurai sitre utile licia siologie, qu'aulant qu'ilaura ou sil6menis des indications certaines relatives a gisemente a Page, et qu'on aura ait passer, dans la comparaiso des es-phces la date vant lolite chme. Or, si nous trou oris des tr vaux consciencieu qui sipondent Diuules es conditions i), ile est quelques au tres qui luissent beau ou hrasistrer. 330.-Parmi es derniers, se prsisente ne publicatio doninous ne ou on n0us dispense de parier, ea elle renserine une nomenclatur partieulthre, une manthre Oule nouvelle d'envisager resphee. Dans lem/mo re sum les Pleurotomatres, Calvados,
ti Les monographie de Produetus, et de Chonetes, de . de Kon
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INTRODUCTION. tuerune que nous allons Iaire connalire M. Deslongchampin'ad me pas resplice commeriout te monde resplice, fulvani tui, co respond40ur ainsi ire avx Moupes des auteuri 3 25ὶ, uisqu'il reunit outes les larmes qui tui paruissent se rapprocher, solas unseul nom specisique generat puis dans cetie sphee ilissipare des varisites auxquelles ii donne encore uisecone adjectis. Il est ielles de secesphces, qui rensermen ainsi neus nomide varisitsis n 55,PL mutabilis . En svivant les errements actueis de la science, quetout te monde admet, si cesson des varietsis accidentelles bien re connues, it lautisicessatrementies rsi uniraresphce, fous ieissime nom, sans leur donne de secon adjectis, a ce proesid nousamhnerati aucdsinominations complexes 3 19).in compliquemittellement les ouages de la science, enues admetiani, qu'elle om-berat dans le ehaos. En esset, aux deuicent mille nomispecif-que admis, it laudrait joindre leἰno de varisitsi, ce qui en dou-blerat a motus te nombre Nous cmyons doncinaeon doit biense arderi adopter ceti innovatio sacheuse, qui murrat avoirles plus graves inconvsinient dans es sciences naturelles, et se trouVerati, sans aucun prosi, en opposition avecdes rhgles admises. 31. D'unautre coisi, si ces soldisant varisiisis soni constantes; si elles on des limites bien arrεisies, si non mot elles peUVentsitre toriours circonscrites et distingvsies, caene seroni plus des varisitsis, mais bien de siritabies esplices. 32. - Nous mons di que les esplices de M. Deslongchamps ne sontias des esplices comm ou es considhre en Ioologie; eso, des esplices fulvani une nouvelle m6ihode, qui consistes ren- ferme iovies les formes volsines, qu'elles constituent soli des esplices volsines d'sormes, sol de simples varisites. D'un auire coisi, les varisiisis de M. Deslongchamps ne soni quearsi rarement des varim cordinatres, comprises dans les limites de resphcepce soni, aucontraire, resque toriours de esphces des plus distinctes, commensus avon pu nous en assure parcia comparaison des oluet en nature Ainsi, dans soni 55, Pleurotomaria mutabilis oliri metneus vari/tes, nous reconnaissons sis e.ἐces bien distinctes l),les autres tant des varisiisis dans son ' 40, P. Deshayessi, ouΗ. Deslongchamps place fix varietta, nous 'oon sciesplices; dans sonis 20 P. faveolata, aurate de si varisiisis, nous trouvons