Versailles immortalisé par les merveilles parlantes des bâtimens, jardins, bosquets, parcs, statues, groupes, termes, & vases de marbre, de pierre, & de métaux, pièces d'eaux, tableaux & peintures qui sont dans les châteaux de Versailles, de Tri

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DE VERSA ILLE S.

Que leurs Centurions soni tueZ de leurs mainS, Et leurs Tribuns chasi Z du camp avec injure, Et les Ambasi adeurs Romains Jetter dans des prisons Obscures 3 Les fleuves de te camp de leurs fortatis remplis,

Chers amis, mais crueis, doni te trop ardent Zele,

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Qti'un reconnoissant fouvenirDe vos adtions immortelles,

Et que par cette contenance Je puisse avoir dans ce moment La douce dc visibie assurance De votre ancien devotr dc d 'un urat changement.

Me priant, de concert, en termes si pressans, De chalier les plus coupabies, Mais d'Epargner tes innocens

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DEVERSA ILLE S. 36IQui n'oni potnt eu de part dans des crimes semblabies ,

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Il en parui des plus surpris,

Ahio menterent si fori contre moi les accEs

De sa jalouse frenesie,

Soudain a Rome it me rappelle ue

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Craignoti que , ma grandeur croissint de plus en plus, Ma flamme n'empqrtat sar elle te destus -

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DEVERSA ILLE S.

Des cranes de gens moris, leurs OS & leurs carcasses Fra chement deterreZ en differens endrotis ;On limit contre les parois Des imprEcations, des charmes, des menaces ,

Enfin Agrippine dc mes gens

Tant fous les liis que fous les sieges, D'autres semblabies sorti leges

Z et iij

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Et qui font tant d'ombrage 1 leurs propres: parens Pison impatient dans son ame insolente , Dii succds de son action , Et trouvant a son grd que l'operation Eloit trop tardive, & trop lente , Se hate, a prendre les devans.

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A la fleur de mon fige , enleve de ces lieux , Et prive par ce rapi, de rendre a ma parrie Des services de prix, lans aucun interet, Ausqueis, sans fard ni salterie, Mon coeur se sent toujours tout pret :Si du ferme des in l'irrevocabie Arrdi Ne m'avolt pas foumis fi cete barbarie , Qui de mon sori cruei triomphe dc se repa i t Mais pulsiqu'il faut enfin que mon cours se termine , Par te crime asseeux de Plancine, Et par la trahison de son cruel Epoux ;Tout ce que je puis faire en ce lieu , devant VOus, C'est d 'accuser ici leur commune malice , Doni tout mon sang demande , dc vangeance, dc justice Et de metire en depol les pla intes que j'en istis, Au geld Quuenir de mes amis discreis :Faites donc ce rapori 1 l'Empereur mon pere , Comine i Drusus son fils , mon fiere,

Que je peris pax trahison, Doni Plancine est complice, dc l'organe est Pison Et que je fais, helas i l'Echange pilorabie,

Contre une matheureust mori.

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Dont m a vie est te sacrifice , Votis aurea juste lieu de faire un tel Eclat, Et de crier en plein SEnat, Et vengeance dc prompte justice. Ce n'est pas d'un ami te devoir principat, De donner par sies pleurs des marques de tristesse, D'utre prEs d'un tombeau s'y lamentant sans cessis,

Et de plaindre du mort te destin trop fatal , Un autre soin plus capital Et plus necesIaire te pressis ,

La petite sile d'Auguste ;