Papiers d'état du cardinal de Granvelle : d'après les manuscrits de la bibliothèque de Besançon

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favour et considbration de la signorie de Gennes, et potir persuaderaudici Sy roy trhs-chrestien, et cevix de Son consed, comme ilZsoni compring hs traicieg de Cambray et Madril, et dolvent j ouyr dubhnsifico do la palx d 'entre ledici Sy roy et nous, tant comme dep- pendans du sainci empire que comme allieg, et par totis lusilicis deux moyens comprin S, Selon que plus amplement est contenti si dictes lectres que serviront d 'insormation et instruction a nostro dict

Vous usere Z des lectres de crodence que potirleg, tant audici Si eurrOy, nostre trύs-chthre et meilleur Seur, laroyne de France, et aultros Si eurs dudici conseii, comme ad visereg ensemble ledici ambassa deuret votis, et tant avec icelluy ambasSadeur que particuli sirement, Selonque de luy eniendreg la desposition et meilleur molen au bisen d sela licte seignorie de Gennes, et que treuvereZ par l'advis de nostre- dici ambassad cur et verreg convenir au bhnsisice desilicis de Gennes

retourner, remectant te surptus , nostredici ambasSadeur, conforme

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I 'EMPER EUR

V. tibi ablo chior et shal: Oultro ce que la seignorio de Gennes nousa sales cy-duvant plusiours remonstrances et plainles des tortet et gri esti lu'ont ostsi sal et on France et de ce coiisth-la a ceuix de la licto suigno rio , marchans et aultros, depuis te traicio de Cambray et palx jursio et publibe, leur empuschant te commerce et hanti se dudici France

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ensuyvant i colle, hanter et commercer pia inement et pat sibi emoni enlours marchandi ses et aut tres Dbgociations, tant de mer que de terre.

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dOibuent, votas aureZ rogarit de mechre et entretenir la choso os mell-leurs et plus convenabies termes et en ta plus grando save ur desdicis GoneVois que possibi e sera, nous advertissant ali surptus bien au longile vostre besongnsi quant audici assaire, ensemble de totites conSi-

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gens de guerre Sero it desponce superflue et travailler icello, estantencoires sori ressentie des guerres passsios, et Occasion auxilicis Ita-lyens de penser qui vovisit attemptor et mouvoir choses nouvellos en ladicto Italye, potir la troubter et inquisitor, que nOUS SUPPOSol Sit ne uouldroit satre; que seroti non seullement non ayder ne assislor

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rogarit et parsistereZ austant que convenablement sera possibio, dosa voir quot nombre de gens oti quelle sommo d'argoni ii vould rasurnyr, et comment ii Se s Urnistra, quant et oti, et quelle selioui thi'on y pourra prendre, Sans votas arrester a ghnhralith de sa responceon l'ung ou l 'aultro despo inclχ sus licis. Baillant bien entendro audiet S roy que, puisque la tisi cessito est Si instante, et empourto commodossus h tota 10 la chrestionib, qu'il est de besoing quo notis Salcholis