Études historiques et critiques sur les monts-de-piété en Belgique

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Momo, s'il cinit prouusi qu'un des employsis esit connii tesmal versations commises par uti autre et qu'il ne l'esit pasd6noncέ, ii devenait lui-msime responsabie des dommages et Perim. A cette belle organisation politique et administrative ne se horna pas te mύrite de Wencestas Cobergher. Il avait aussi, Par δεδ inventions et estudes ensemble I ver nostiria es Italis, appliquέ un Douveau systhme de comptabi- Iitsi et aedoritures, estant la forme Gadita comptes, commsatissi/ les Durnaux ou registre8 a ce servanti et urito ea diis monis, en tigrement disserenis de tous ceui observeet goit par lea marchanda ou autres comptoira de negociation, et

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Les monuine-pisitέ sont, ea Belgique, comme iis te furent en Italie, l'oeuise de la religion. It y avait auinessus des portes d'entree de ces monis, en Belgique, ainst que fur te sceau ggnsires y employsi, une Croix aveo les instrumenta de la Passion et inui autouri s mois : Beatus qui intelligit super egenum et pavors

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intentions Ont dia les plus pures. Il rdpugne de croire hune si longue hypocrisie de leur pari, et 1 la coupabie complicitύ de iniit ce que la hidrarchie ecclesiastique avait de plus clevsi, de tout ce que Ia science avait de plus

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venue metire uu terme h Ieurs exactions iaculatres.

Les intentions Iouatiles que les Archiduos et l'έpiscopatbelge avalent manifestsies de baisser, aussitot que les cir-

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ADMINISTRATION

Ce premier succta des monta Hexplique : s is avesent de violents adversatres, par cela meme iis avalent des d6fenseumd'autant plus jaloux de les voir reussir. Au commen mentsurinui, it y avait dans lous ceux qui nimient partie deI'administration de ces stabiissementa un ethle, tine acti ita extraordinat res. Εnsui te on avait facillisi te rem boursement

Par Petites parties β.

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lis ADR1NISTRATION

. . . n. 566,5 4

les, sur certaines lapisseries qui aValent apparienU au ma

quis Spinoia 3. Celui de 120 000 florins fiat nil au mont

y Spinois a est ruin/ p r Durnis avr beroina de Pamde, tet est te glorieux temoignage que l'histoire rend du disinthressement de ce grandeapilain . Au diro de Scain Nos IMιautio poluteo chrisιiana, lib. I, ch 42ὶ, les Archiducs avalent lait antiri eurement des em prunis avx nhg tantad'Anvers, qui ne vovi urent accepter d'aut re garantie que la parole deleurs fouveratns. a Principes Albertus et Isabella ornamentum omne suum in pignus faeneralitiae pecuniae , quo militari subvenirent inopiae lubentes obtulerunt. Certavit hic principum in suos amor, populi in principes veneratio. Quam enim illi volentes ultroque domesticas opes omnes Antverpiam transmiserant, tam faciles mercatores et pecuniam numerarunt, et gemmas pignora non admiserunt, eum nullum certius sibi pignus principum suorum voluntate esse dicerent. π

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le 50 juillet 1627, te roi Philippe jugea tisic inire de r

la Flandre orientale.

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I20 ADMINISTRATION

Cepondant les ditarenta emprunis satis aux monis Pari'Intante, et qui avalent embarrassέ Ia marche de leur administration , durent hie tot leur creer de plus fgriouses dissicultas. Le rem ursement cen fit d'une manthre lente et incompthie.

rentes que nous avons eues enire les mains.