Études historiques et critiques sur les monts-de-piété en Belgique

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di ument, En 641 . . . . . . . . . . n. 63, 346

Voyons te passis de la mortuaire.

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qu'il a vati fait tant d'avances pour les monis de 16151 1618, u s'est reeiproquement serta si credit des monis, si seeu de Murs Alleetes, et de temps en temps il a kτέ et receu desdicta monto, saris la moindre incommoditέ poureuis, diverses parties de denseo, averi intention de les

indemner.

Ces trois potnis formalent la base de la liquidation. Laquestion sitait de saxoir comment ii fallait calculer l'iniaret de ces sommes dues de part et d'autre. Cette question fit aussi l'o et d'une correspondance entre Ch. Cobergher et te si eur Nyg, et d'un minoire adresssi par Ch. Coherghera monseigneur Calenus, clusique choisi de Ruremonde. Dans tous ces documenis, les hsiritiers soni valoir desconsidgrations lirsies des avantages de tout genre que leur Phre a Procursis au pays, Par la destruction des tables depret usuraires qulas siecies passeet les princes de ces my Bas Ont fouvent estudiε; - te rejet par W. Cobergher des

teum des monis la letire que nous reprodui sons ici.

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compte partieulier a faire entre mis et mes isteres et muro comme coherittera de Istuet nostre pree et mere d'une pari, et i dicis monis d'autre, j'ay promis et promeeta pare te irrevocablement de beneficier i dicis monis et de ceder

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Der. Imbelle, la fille de Philippe II, moui ut si pauvre

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popularitέ sur son administration, soli nέcessita de douner

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pendia, etc. Μ. DE BEirpENBEas, dans ses Nouvelles archises historiques, tom. U.

In publieanum, aeti foeneratorem vulgo a Belgia vocatum O CL astu avuncurum. Bene publicanum Patruum vocant Belgae Ad quem nepotum cursitat frequens turba.

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vsique esit consacrύ 10, 000 florins h l'achat d'uti locat onne Parvini plus h organiser ce notivel silabiissement de prol. I orates les mesu res prises dans te hut de r6tablir quelque

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un total de fl. 1, 208,788 1 rembourser aux monis 3. NOD- seu lement te surintendant-ggnsirat des monis, mais aussiles exscute ars testamentatres de la fgianissimo Infante sirent de temps en temps diverses instances de botiche et parescript vera leg succe Φου ruuerneura de ces provinces a ce