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Piene Gaver. LIV. IV. 2 fLes reconciliations les plus dissici il geon ilio
gas qui, de concert av*c son Epouse , mit to ut en ceu ure pour la Lire densia ter de ses poursuites, & polar renga ger a se reconcilier avec un Vari qui feroit charme de son retour. La Da me plus obstinee que jaman se mit contre EUX en une estpece de fur eur, & leur fit sentir, qu'elle se telo it plus cho queede leur remon trances , que satisfaite de leurs bons trai temeras : elle en vinime me jusqu'au potnt de ne Voui Oir , ni leur parier, ni manger ave ceu X. Iis
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di a Zame du Venerabis Perδqu'en se reconciliant avec son Mari mais qu'elle ne pouvolt aussi s'acquit-eter de ce qu'elle se devolt a elle-me- me, qu'en prenant te parti de se pen-dre, plutot que de faire une pareille de marche. D. Di egue ne*achant plus Comment sechir cet esprit obstine,
pria te P. Claver de se charger d'une commission si dissicile. Celui-ci paria
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pierre Gaver. LI V. IV. a Iticulier; & au retour, ii prie D. Die-gue de re commander i affaire a Dieu, en tui assurant, que te Lundi sui vant
cetoit te Samedi quil lui parto it
elle seroit eniteremem: accommode e.
to ut te te ins de leur mari age. Il avolt la me me grace potir con- Consolatios
soler les person nes Afflige es. La Da me Leonore d'Ordas alant perdu l'es pC- me afflige rance de revoir son Mari, qui eloit absent depuis long tems , sans qu'Onput apprendre de ses nou velles, tonn-ha dans une telle melanesi olle, quependant plus de quatre Mois On crat
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adoucit totales les amertumes de soneceur, & lalaissa ausi rempli e de consolation, que si la cause de ses pei neseiat totalement cesse. Mais craignantqt elles ne se renouvellassent bientot,
si elle se de salsiffoit de cette Croix salutatre, elle Pemporta chez elle , sens
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core hane bien plus ample mattere a songe te. Depuis te commencement de
Septembre jusqu' a Noel , les Flottes
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u 6 Vie δι Venerable Pered'autres; & bientot las plus heureuxmen ages soni troubles par les commerces les plus scandaleux. Enfin py-vrognerie, les usures, les fraudes, les jure mens, & les blasphemes font decette multitude deborde e un assem blage de Palens. Clast aece torrent d' iniquites que te Saint Apotre de Cartagene entre prid de s' opposier. Pour cedessein , ii preno it avec tui quel ques j eunes, gens bien, instruits & formes ason E cole ; & il alloit avec cuX a lagrande Place , ou abolitissem les qua
tre principales Rues de la Ville. La ilpas soli une grande partie de la j our
nee a instruire, a eXhorter , a inviter
deshaines & des querelles qu'il elouiasa, de S mauutis commerces qu'il fit cesser, des usures, des jure mens, & desa utres deford res qu'il abolit. It trotiva naeme te molen de doter une infinite de pauvi es Filles que Pindigence sor-ςoit a prostituer te ur pudeur ;. soli partes au mones quil ali Oit lui-mem e re
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Pierre Gaver. LIV. IV. 2IT ceu ure les Amandes pecuniat res queles Magistrais impossent en certain S cas X particuli ers. En un mot te fruit deses ravaux eloit si prodigieux, que vers la fin de rata nee les Consession-naUX Cloient ausi frequentes, qu is lessent commune ment dans la Semaine Satnte ; & que meme pluseurs se de-gouiolent eniterement du Siecte, po urent rer en Religion. Ιl n' est pas possibi e que tant de suo Dieii l. ias eussent si pleinement repondu au X Vori sis
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Guerisons mervellicus essu'il opere.
ce, celui aufervice duques it a perdiu lasante Daura bien Ia lui rendre; ct ilna permis que te peril fuis grand,
que Ilour mieux faire Eclater Ia gran deuis desa misericorde. It ordonna ensuite, qu'on exprimat dans la bouchedu mala de reati d'une certaine es peced 'eponge, remede qui passe pou rastes violent dans te Bais: mais in Negre
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apo La me du Venerable Perenation a conseiller un remede, qui dans ces circonstances est fouvent plus