Oeuvres de Molière:

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PHIL IN TE.

ALCESTE.

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PHILINT E.

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REFLEXIONS

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brusque, in priueo colere, et Mussant la franchise usqu)auu exces contraire avx bienseances de la sociέth, lam a lemven de stapper en meme temps tous lectravers de Ia cour. Lecvaines d6monstrations d'amitte et de divouement Ies petites pretentions cachέes ave ari, la saluith, laraalterie, qui dans unisulre sui et nyauroientiat ossertes qu'ave seoideur, devinrent pleines de comique torsqu'elles servirpnt de mattere auxieintures nergiques dumisANTHROPE. ivit u homineloyal, mais fouvent insupportabie, yant tous lus de lauis d'uncarac thre ardent et passionng, san aucun des vices, aussidangereux'u'aimabies, qui reussissent dans Iesmonde on vitcet homme luiter seu contre oute la cour, enuelopper dans son indignation et les ruses coupabies dea'intrigue et les petites dissimulations questa politesse proscrit fronde indissη- remment touites usages, et ζέleve contreetoufine qui est resudans une civilisation persectionnge. Jamai spectacle ne ut

plus grand plus morat et plus comique. Un trait de gnie gal a Pinvention de ce personnage ut de

disances de cetio eune semme devolent servi a completer Ietahlea dimondesque ollere uouloit peindre .in verra paria fuit avec quel discernement pro sondu'auteur a su distinguerdes o et qui donnent lieu aux emportomenis dIlceste, et ceu qui Aurnissent des transiiquantiada coquette Piron. dans Iairgsace de L ΜkTROMAH1κ a exprimi d'une manthre originale et nergique son admiration pou cetis belle conception Un chasse , dit-il, qui se trouve en automne auWlever drina belle aurore, dans une Iain ou dans une foret

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Le caraethre d)Alcesto et celia de Philint, qui tui est op- poia, ont donnylleiades disputas qui soni auioued'hui . peupias ubsiἡes me philosophie pluitis de chartata sine et

se conforme auc age du monde, san manque a aucun

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nagement et son ton et se manieres dans I monde tolere plein de sagesse et de rέserve; et cyest dans te caractis es

pluto chercher sa doctrine et ses principes. Co personnage de Philint est furtout celui qui a excita leplus de murmures Depulsa. I. Rousseau qui, dans sciam sua LE SPEcTACLEL, Ita pessent comme uniagoiste dέcidi, iuriu'. Fabrela' tantino, qui Pa osser surda scene fouites traiis desperso age te plus vii, ous te partisans de eette 4cole se sontiatudih a uouve des vices dans ce caractere. Et sur quoi se sondoit ceste critique violent, Suesce que Phia linte risond ades mances peu sinceres, sans fallacher beam cou aeimportance in ceriaei montre de Pindulgenceiovi Ies vers dyun homme doni il4'est potnt rami, qui necle consulte quelourque Iouέ, et auquel, our eos deo mollis, ilne doli pacta viriti Volla les grand gries contre te carae-ihre de hilinte. Si Pon sit examin son role avec plus demin on auroit,uriu'i garde torio cuiae mesure pariaue, qu'il ne syaveugi potnt sur Ies vices de homines, qu)il lesbuine auiant qu/lceste messinaei trouve plus age decies supporter que de declame vainement contre eo. eue

u quian sapientis affectum pendere ex aliena nequitiarvilii tibi oecurrentu vino dediti, multi libidinosi, inulti ingrati, multi avari, multi lariisae ambitiorus agitat omnis ista: tam propitius avicies, quam aegros suos aenisdietis. . DE LA ConstaE liv. 4.

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Supporter dans uia druit liniustice d.umia. Ne semi illas absurde dei siser a ce caractere sage et modie colui d/leeste , ouio strat a se livrer a se passiona et a ne arder aucune mesure 7

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D REFLEXION S

sensibilit de Olimente, que son caracthre fier reprendisnfinto dessus, et qu'il mepris celle qu'il adoroitin moment au-

parmant.

nous occuper.

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que cetis scene de desiere, blamhedlabord parda plus grande

prime insi, apres avoi sat lo plus grand logo de bons

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ct Eonipas entenda monaonnet, oia te, arma suae bienuire. Permet tex . moi de is Mettis iane seeonde 'is, et aisne pester una grande a attention us emis en verit que Mon sonne is mέ ite. Quoique sua de locis,los de los e nullaros que sea de decis sino que sonis idioto nis arrosa a det nvindo canadio maci que es Ver a Dpoeta destos de lairimere impresion quando quiere dein, soneto ouos que is rodean, Ias salva que lea hace, disendo sumas mercedet euoheu uiso tillo que o nocte Deserta oraston hice, que a mi par eraunque no valo nada uene uino aeriue de bonito Y en est tuere los labim, Pone en areo lacerias, se rasea la sudetquora, laesentisistros milparis Mugrientoso medio rotos, donde queda ouo milia de sonetos,saea et que quiere relatu, sal ficto die eon tono melissu falseri do si eas las que is me han, de s arrones o de ignorantes no sede alaban, di o uesas meroedes no hau entandido, et soneto, Myo no te he