Oeuvres de Molière:

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Qάuta talestes uvia ar te leuessemum, Et que ce our sera te demier de mes ouis. Ce que versa de triste, in potui de ma natasanest, Decastres enne sua maligne estumce, Et tout ceriue mon artis' piadie de mallieurs, Eice songe sui pein de si vives mulatim, Qua mesaeux Eveilhεs sans cesse ii represente Letouvola de Aletisse et rheur de Braffamante. I avois prev ces maux; mali les Ammiant plessim Qui semhlotent en cecsseu piavoni nos destre, Nos superbe palais, nos tardins, nos campugnes, Lagre te entretien de nos Ahres compagnes, Nos eu et nos chamons, las concerta decolaeaux, L parsum des xephyre, te murmure des eaux, De nos tendres amours hs douces aventures, M volant, o lier ces siluestes augures, Quandae songe eruel ont e me sensam IsrΑ-estant de siuetur Ies vini renouVeleri Chaque instant, , crois vola mes soroes tetrass&s, Mes ardes'gorges, et me prison. mees; Ie erois vola mille amanis, par mon artaransformει, D'une qale fure 4 in P te animes, Quittet en mhine temps leum tronos et leuti se lages, Dans te iuste desseta de venser leura outrages; Vt te emis vola enfin mon aimahi Bogeruo se fers mepesse pro a se. degi scrita arainte en votre esprit4'est acquis tro Tempire: ousi ex seule ici, Mur uous seule o Mupire; Rien,'interro cle mur de vos contentemenis, Que les accent pia tisi de vos tristes amant :Logistille et se gens, chasses de nos camPagnes, Tremblent eneor peur, caehes dans leura montagnos; Et Ieio de Melisse, enim seux ineonnu, Par vos rigines setas juriu'. nous est venu.

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M LES FETES DE VERSA ILLE S.

m rein paruit, doniae seco is propiae Nous saura arantis des etaris de vilisse. Pinout de cetis r-mon ante laionidi Et ron dit que soniceur, de qui la semeia Decssotades plus mutin meprisa insolance, Contre te meides siens est iovio M sans d Me.

n est visi, e la vias. En ce pressant tanger, nous donne semum incholis de re agmDison lui'u'en tous seu la vota publique vile es charmantes Nautia de son ame royale; Disons que s vertu, plus haut que son ang. Mit releveragelat de so auguste sare, Et que de noue sexe elle a porta la ooire Si lian, que avenis aura Mines le croire; Que duio eur public son grand coeur amoureux Fictorioura des Perilarin mepris geniseux Que de se propres maux son ame a petae atteiste, urdes maux delitas arta inuis sa cratate. Disons que se biensilis, verati . pleines mains, i agnent te respectis ramour de humaius, Et qu-'aux moindres tangere doni ella est me ede, Touisa terre en deuit se monue interessee. Disons qu'in plus haut piant dei solutoumir, Sans fasis et sans orgueu sa grandeur Hest ait vola; Pu'aux emps les plus iacteuissa asesse constante .ana criante a foutenulautoriti Penchante, Et dana te catae heurcu par se trauaum acquis, os regre la remii dans les maius da son sis.

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Disons par P eis res eis, par quella complaisanee, De ee fila glorieux ramo a rem ense. Vanto des longa ardvaux, anton tes justes lois De cessiti reconnulo de plus grand des mis,

Et comment crete min, hcureusement seconde, Ne donnant que deo fili, a donnέ tant autonde Enfiti falson parte nos foupire et nos Pleura, uesta rendre sensibi a nos vives douleurs; Et nous Murrons trouver aurior de noue pelue

Et ne nous rendon Pas au motas sana resistance.

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I sembloit que te ciel, Ia terre et rea sussent out en seu et quod destructio du superbe palais d'ΑIoine, comme In liberti des o vallers D'ella fretenoit en prison ne se piat accomplie

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que par des prodiges et des miraeses Lacianteue et Ierio in das susees volantes, eeues qui ouloiant fur is rivage, et cenes quiesssoriolent de ea apem bratre. ensoncees, stasolent, spe inole si grand et si magnaeque, que Hen ne pouisit Meux terminertes enetantemenis qu'un si beau seu δ'artifioe teque vant misin

NIAas , quoique Ies sites compriae dans te suiet desilaistra de

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sant placea in autre, elui qui en se eourses, en a emporte Iopius gagneae Prix. Toute Ia eouris'etant Iache su une balustrade de se dore, qui regnoit autour de I'agreable maison de Versatiles, et qui re-garde surcle fosse, dans teque on avolt deessε Iaclice aveo desbarrieres, Ieboi ' rendit, fulvi des εmes hevatior qui avolent coum I bague; Ies duos de Saintoignanet de Noailles 1 continuolent eum premieres sonetioris, Pu de marecha de eamp et Pautre de juge des eourses II, en fit plusteum, seri belles et heu uses mais adresse ducio tui fit emporter hautement,ensuite duixi de I course des dames, encore celes que donnoit Ia reineci 'eloit une rose de diamant de grandirix, que te ro , aprὲ ravoir gagnee, redonna liberalementa eourre avx autres eheuallers, et que I marquis de Coastin disputa contre Iesma quis de Soyecouri, et agna.

L dimanche, a leve du roi, quasi out Ia conversationtourna surdes belles courses duriour precedent, et donna lie ku grandrae enixe Ie duo de Satnt-Aignan, qui 'avolt pasencore coum, et te marquis de Soyecouri, qui sit remis auden-demain, Furi que te marechal duc de Grammoni, qui parioit pour e marivis, tot oblige de parti poti Paris, Fouci nodevolt reveniesque Ie oux' 'apres.

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s,4 LES FETES DE VERSA ILLE S.

Letoi mena tonte Iccoue cetis apias-Mnee Usa menagerie. doneson admira les beautes particuliἡxes, et te nombre presque inervabura'oiseau de toutes sortes, parmi lesquet ilo en aheaucou de sortisares. II seroit inutile de parIer decla collationqui suiuit e divertissemerit puisque, huit our durant, chaque repasiouvolt passeriour unaestin des plus grand D'on puisse

Le solis, s majeste fit representer, Mau de se theatresdoubles de so salon, que son sprit universe a lui- meme inventes la comedie des licheux, ait par te si eur Moliere, male d'entiae de ballat, et sori ingεnieuso.

Lobruit dis desi, qui se devolt eourie te tundi, ouetieme, fit satis une infindi de gageures dasse grande valeur, quoique

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tirer une Ioterie asin que rien ne man aes la galanterie de cessiates C etoient des pierreries, des ameubtemenis de I argenterie, si autres choses semblabies; et, quoique Iessor ait accoutume do decide de ees presenis, it caecorda sans doute avee te desi das majeste, quanda sit tomber te ros Iocentre te main de laretne chacu fortant de cessie la sori contentioux alter volestes

Ensin Guidon et Iivier partirent surdes rangs, . cintheures ducioir fori proprement Vὁtus et bien montes. Le mi, aveo out Ia cour, te honora de s presence et a maieste lut meme Ies articles des courses, asin qu 'it 'fetit aucune eontestation entre eux Le succes en sui heureuca duc de SatnNAignan, qui agna te defi.

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s, LES FETES DE VERSA ILLES, etc.

tous es divertissemenis, malgre se importantes assaires ou le