De la philosophie de la nature: ou, Traité de morale pour l'espece humaine ...

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de rinde qui polle te nionde solaire su sonέeaille . lo ceu Mis qui a te firmament

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Τ -empreis surrae pol qui e couvre, Q. P.Rτι in harineto phosphorique des Cassi es. Quaeque demi sceptique Molt a milieude es euples a demi civilisti: il leue filii

Ne fixon e ce Pomen nos regarct quesut te Die populatre; il est vident quo ridέe de falae, hommeta soleti conveniat parisitement a rintelligence de la multitude evi selei paroitait u char de seu roulans

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dante des utrages du temps volu Apollon, te die de la terre, qui seus desnom divirent , ceu te plus Sencens,

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entier pou questa multitude se persuadat quo 'arine supreme ne devolt pasistre consondriave te folia argile queri main organiis; pendant que les philosophes reprέsentotentretre par excellence vivifiant les mondes , lepeuple alloit e foui admiret dans la Cretele tombeau de Iupiter.

rapres a Biblesse par. tout les minurs destiations designent les minum defratres devant qui elles prostement une cha1ne sensibie unit histoire u telo celle de a terre , la thόogonis ave les annales dura ra

De temps immMorial les Orienta Ione accoutumό aratre 'uvemA par de des. potes invisibies qui, durion de leur serrail,

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conserve la bonne sor. Le vulgaire a cru pendant long-temps les

a philosophe. εsar qui se connoabit te

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Il est peu de perfections que leseuple ait seus contest alεtre supreme, que runites a re endant les polytiaitas sonides plus incon- sinuenta des honunes. De atres ne saurolent

exister ave les privilἡges de la divinita syun des deis est,ians pulsiant, ii K en