De la philosophie de la nature: ou, Traité de morale pour l'espece humaine ...

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chaque instant de Aorations it ne sevi

seste de rotare temet tabli pates nature. Cest ne finguliἡre Iogique que celle qui conduit 1 suppose que Die est undespote immuabie, mali doni rempite subit les plus έtonnantes rέvolutions : uli rinne par desIoix invariabies, 'u'il iagne dans ranarchie. Les tMologiens qui dans les s/cles Alalias admetient les systemes philosophiques en d clamant contre les philosephes, ni oulii explique , ourquoi dans.ummonde Moernε par unistre qui eut invariablement Iehien, inutis'est pa bienci iis on dit que ectiaene nos crimes qui fossolent Divi a nous puniri maus Mors Diem Uest plus 4mmuale; hanotis M'on ne mette reue supreme danati asse de ces ouverruns pontifes qui violant lent filles, qui emmisonnent les prό- tres, qui dέeronent les ruis, qui sent tot

iout instillities.

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' ΗΟΜΜΕ se sent libre, ii est , ii doti

pendant.

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De DIE V superatnement intelli ut

jouirunt sim cesse iam pertie leurs virginitis.

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ras ea meme re L.

propositio

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iecturerin cesseroit blasphemerua divinitoque

de la metire dania elasse des mέdecinsin des astrologues. S'il est tέmέraire 'assure que Die lit-dans pavenir, ii rest encore plus de piέtendrequ'inpeu te changer mais e potnt ne sera discut que dans particle des miraclesu voyezci-apres te livre qui a pou titre : De la Supersitioia. I ne ista potnt conetur de cet exposique te seis Die impulssant: le ouuoi de rordonnareu de mondes est tres-grandrians dout , uis Uil 'est circonscrit que par a.