De la cure des maladies produites par l'abus des minéraux

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prise inigrieu rement, elle cause des cordial-gies, des sue urs , & provoque fortem ent lovomissement & te flux de ventre ; il n'esst pasrare, quand on l'attire par les narines , qu'ello cause de violens e ternu emens : elle exige lumῆme traiiement que Je verd-de-gris.

o a totis les Gauriens quisoni expoyses amanter des fossiles nuisbles.

quittant te travail de se laver te corps &de changer d'hab iis , de peur que te pol sonfossile attache a leurs volemens ne continue a agi r

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trem p εe dans l'eau pure ou dans quel quali queur , propre a servir de Contre pol n. Da

y est in dispensabie.

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1'assurer s il y a des motates dangereu sesen y descendant lente ment uiae chandelle allu-

ne ite & pure iis enirent hardiment ; si ello languit, ou ce qui est pis, si elle vient s'ε-

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APPROBATIO N.

LE BEGUE DE PRESI L.

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to ut ait long sur te Registre de la Communa uisi des Imprime urs ScLibraires de Paris dans trois mois de la date d'icelles ; quel 'ini pression dudit Ouvrage, sera falle dans notre Royau me & non ait leuis , en beau papier S beaux caracteres , que l'Impetrant se conformera en to ut aux REglemens de la Libratrie , dc notam ment a celui du Io Aurit 17rs , dc a l 'Arrξt de notre Conseil du 3o Aout 1777 , a pei ne de dEchsiatice de la prEiente Permission ; qu 'avant de l' ex poser en vente , te manu scrip qui aura servi de copi e 1 l'impression dudit Ouvi age sera remis dans te mξ me Etat ou l 'approbation y aura Et ε donia Fe ἡs maiias denotre trὰs-cher & nal Chev alter, Garde des Sceaux de France, te Si eur HUE DE MIROMEs NIL , Commandeur de nos Ordres, qu 'it en sera ensui te remis de ux Exemplaires dans notre Biblioth Eque publique, un dans celle de notre Chate au du Lotivre,un dans celle de notre trὰs cher & nal Chev alter . Chancellerde France , te Si eur DE MAUPEOU , & un dans celle dudit Si eur HUE DE MIRO MEs Ni L : le to ut a pei ne de nulli tό des

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A N a L O I S. 69sune votae se sit en tendre, R dEclara que la future sitoit deja mari Ee. Ensia, relative ment au quatribme, une des filles de la noce supplia te ministre de se hater te plus qu'il lui seroit postibio, attenduque celle qu'il allo it marier Eloit sur te po int