De la cure des maladies produites par l'abus des minéraux

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piques , des preservatilis qui ont les plus fu

en Croyant parvenir a te neutraliser par es azides, Toti te perso an e qui a des con nolit ance

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faut en revenir aux antidotes generatiX, parmilesque is On emplo te avec succbs l'eati pure

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Ie salis austi grand cas des sub stances grasses di en vel oppantes pris es ab ondam ment par haut & par bas, qui egi endent te tistu de t ese tomac & des intestitas contre l'action des cor

garnie de La barbe.

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Le c6lὸbre Hossim ann rapporte que totas Ies convives d'un repas oh il avoit et6 seruiune soupe assai nn Ue par megarde avec det arsenic au lieu de sucre, furent gueris par del 'huile d'amandes do uces prisse en grande quantitsi avec du lait, qui les fit vomi r sortem erat

bien. I 'illustre Morgagni dit quelque part

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sees par l'aspiration d'une preparation chymique dangereus C. Dans te cas oh ce seroit les pou mons qui aurolent te plus soliffert des vapeurs arsenicales il n'y a rien de mieux que de inire respirer aumalade, par te raea & paria bolache la va-peur de l'eau bovillante. Elle delate 3: emousieles particules vgneneus es ; elle a de plus lebon esset de rei acher & d'amollir les vaisseauxqui se tro uvent alors dans un Etat spasmodi

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surprenante.

conviennent.

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tnoyen de laquelle ii emotis se la force de cet

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montrant te Verre a eau forte, qu'il en avo it

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de Ful ter , les oeu se molle is mang6s avec lacoquille mῆ me , la crate blanche & les terres absorbantes donnes en tres- grande quantitE. Le melli eur antidote de Ces acides regus dans les pou mons est la vapeur du mercurusublina E corrosis.

Les mines de sel gemme, I'eau de mer, tesdifflarentes eaux thermales nous donnent pardes operations chymiques les se is en question. Quoique les seis allialis fixes minεraux solent ordinat rement molns acres que les lixivieis , un seu violent pe ut cependant augmenter beau coup leur ac ret6 A mξ me la rendre caustique , ain sit que l'a dEmontr6, par diverseseXperiences , un hom me doni te nom Litautorit6 en Chymie , te cel bre Meyer. Les antidotes de ces seis sont les d5layans,les enu eloppans , les huiluux doux & les

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Emousse & cntraine par disserentes parties ducorps tous les seis, de quelque nature qu'il spuissent ὀtre. On a donc raison de la regardet comme i antidote te plus universet de ces

Cependant je Voudrois la plus grande pruden ce datas i 'administration des acides, solimineraux, soli vegetaux ; car l'cesophage , te ventriculo & les intestins depouilles pari aciet6 des seis allialis du mucus qui les re- COUVre , & mεme exulceres, ont bien de lapei ne a supporter les pico temens des acides

en re vetant les tuniques corrod ges de l'cus

Phage, dii ventricule & des intestins , de ca