Pauline Foucault

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106 PAULINE FOUCAULTces en allant a tui: mais jecies constate pour te prouis que a vie a encoremn petide logique et que la ligne droite D'esipas oujour la plus longue I serat lalammei Hector, cela est incontestabie: et pourtant ela est si inuraisemblabie, que je suis pris par momenis de solles terreurs qui me rendent injuste et tyrannique La baronne consenti ra-Nelle a ce

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seu qui me consume se mon coryS;

me mire obstacle. J'at euilite de ma vie- time, et j jure devant Die de la conscier pariun amille deuoue des larmes

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des eceurs laches qui ne faventias meriter restime. Si te monde est tolerant mur les Dipons de tous te sexes, i salteneore tabli une dissereno entre lavori patiente qui 'attendisten que desecessoris, ei te vice qui specule fur rinfami publique uuant auchommes quivous presereni aux honnetes lammes, iisse vengent parrae mepris doni illucus abreuveni et que tu velix nier. Non en-coremne mis, tu ne me tenteras pas. J'aipeutinire rop 'Orgueti mais je me iue rais pluto que de me foumetire a la vie terribi que tu me laisses enirevoir. Adieu maiauvre Adhle geris-m iiioujours Garde poli tota volture. Si je

rendre visite. En out cas, si nous nous rencontron jamais, i verras comment

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j supporie la missire, et je te promeis de

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de Villemoran qui latenissati en rappe-lani saralle. Aux premieres lueursisnjour elle se leva, calme, rasserenee, presque bellet Hereor, en quitiant leuardiniour re- monte che tui, avait eniendurae murmure des queique paroles echangees surie patier entre Marte ei Pauline et sanSprevoir, Sala s0upconne la gravi te de- eisive de reniretie qui avait eu lieu, il

Λussi onis evelliani, o lendem ain, s'interrogea 4-i avec anxiete 'un Omme grave qui ne risque pas son secret dans des demarches equivoques, et se demanda-t-il e que rhonne tete, te devotr, e queson respectiour a mere ei son amour poli Pauline lui preseri ratent. L peril elati grand eui-etre Forcerregoisme ingenu de libaronne a accepter

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ILavati rhabitude de rester asse tard, te malin dans sa chambre La baronne se levati vers midi jusqueda, Hectoretati libre de se livrer a ses ravaux, a seS lectures a ses meditations Ilie4'apparienati reellement que pendant cella por-

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tion de lauournee Pariage enire te destro'alle acla decouverio, d'interrogeria line et arte a besoin, et la eratnte de se donne les allures d'n amoureux de romanee, ilis approcha des sensitre romvrit, et demanda consei au premiures Brises duirintemps. Pauline et Marte se promenaient dans

deur juvenile, eis habillant ara bale, lemeilleur,oyen de avolsce qui se dit, 'est encore de te demander.

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Cin minutes pres celte resolutionenergique Hector descendati rescallerave la rapidite 'un collegien uuand illa a reg-de-chaussee, resprit de sonrole habituet te reprii commenn remordS, ei cessui aure la placidite d'unorsitre quisor de la sacristi que notre amoureo parui surrae sevit de la maison. Pauline et Marte allaieni renirer elles montaientensemble les queique marches qui exhaussalen rhoiel audessus des euisines. Hector mugit brusquemeni mais elles tui fourirent rune et rautre avec gravii passhrent l'une a s droite, auire a sagauche en tui serrant chacune une main, ei, silencieuses comme de statues, elles renirerent, te laissant embarraSSe Sur-pris, inquiet, penaud. Ceci se complique pensa ramalaurde papillons, qui n'etati pas verse dansl'etudo de la diplomati seminine.