Pauline Foucault

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sa rivale dans es siennes, elle lui dita voi basse, en ta brutant de ses deux

eolie, iouehhreni mademoiselle de Sou-laignos Εlle vii tant de serte risi suri froni de Pauline Foucauli, qu'elle se repenti de so dedain Ceis'etait pasune me vulvaire, celle qui 'exprimati

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uu'ilo eu encorenne petile epigrammodans cetis invitation, 'est cerius Paulinone put savolsau juste mais elle s'inclinaei suiuit salivale. Quand elle ut dans a chambre de mademoiselle de Soulaignes, Pauline, aulie de s'asseolr se tint droile, appuyeeau velours de la cheminee comme si elleeu craint, en prenantis Siege, de ρο-railre emue ou chaneelante Marte s'assit devant elle.

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par colare, par depit; 'est parce que evous venis commeria plus belle, commela plus sainterieune'lle, si qu'avanid'obtentrison mari des projuges qui me sontobstacte, o eo robioni d'abor de

De moi Metor est libre. 1 est libre malivousrates s cou- sine malivous etes plus belle que moi, malion uous adest veniriour te tenter,mais j'a peur, enlin, et je suis alouse. Ces derniers molisurent diis avec une energi singulthre Marte regare en saee cella rivale eourageuse, et ut rappe dela passion invincibie, de la resolutionqu'elle lut dans ses eu brillanis fousses fourciis eontractes, dans templis im-

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perieux de son front Εlle compri que lalutie devest eire sans merci Mais rinstinctde s pudeur tui conseillait deis'avouervaineue pluto que 'enlameris duelliorribie Alore, ne retenant plus Ses san-glois, elle abandonna a tete a dos de so sauieuit, se ouurit te visage de sesdeux mains et sondit en tarmes. Pauline elati tro grande pou iriomphersans pitie. Cette Iaiblesse la desarma, et par u reviremeni donicies naturessovgueuses soni seules capabies, elle ut priseri'une lareur de sympathie, et tom-bant aux genoux de mademoiselle deSoulaignes, elle lui demanda pardon enlui prenant les maius enues couvrant de

Mari ne savait comment se preserverde ceti humilite exageree, a son de laquelle on sentat encore rorguet de lavieinire; elle repoussait doueement Pau-

T. I. s

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nati la vanite maisci suis digne de . de Villemorati j mus le jure parvoire amour meme Mon enlance a te

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de mon pere, que e suis digne restime, ei queue ne serat jamais ougi la famille

qui ni adoptera. Mais mariante consentira-Nelle a cemariage demanda Marte sans colere et sans depit. Peubeire repliqua Pauline La baronnei'aime u peu Ie ais bie sescommissions Il est yra qu'elle ne m'ajamai regardemque commemne sorte delamme de chambre...L'amerium remoniait u lan ducaeur Pauline reprenati son Ourire