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n'eiait pas reven de rivresse de sonestime, et qu'il continuati a a regarderave des eiincelles que latuit avati e letempsi'Meindre. I mit dans son salutune onction cute particuliere ii lui prities main e lui ouhaiiani te boniour, avec ne energi qui ui et brutale, si ellei'eut trahi reniliousiasme. Depuis e iner, M. Despret parullent beataeou molns a so merite domat re de larges, et se appeter Omplaisammeni sesteriles unie negliges de dandy. Bien qu il ut e mari d'une excellente musicienne illae s'aperqui dubonheuri'avoi untiano a tu campagneque orsque Pauline consentit a jouer oua chanter. I se basarda lui-meme dans
une asse joli voix de baryton. I presenta Hector a ne societ de chasseu ire, et organis des parites irre-
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heure dans son cabinet puis aurite derrioindredes chasseurs il restati aveo tesdames il leur tenait compagnie, irograit de les dirige dans queiques promenadeS. Empresse enVers sa lamme, qui te pr clamat te plus obligeant de maris, ilprostiati de ces certistcais legitime potire meriter d'auires de sa cousine, et necessat de rassieger de supplicationsiourqu'elle consentit aussi a te trouverisa lant, complaisant, charmant.
Pauline, qui emara ou cette diplo- malle, oului bien se prsiter 'abora, ave galete, a cecie innocent elle en
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dignite suuriani te volt et les tollettes decla mariue elle entra ave une pudeursans emphas et salis aiblesse datis lamaison nuptiale ei si elle eui comme lassile de Iephle, ne heure de lamentation, ce cri de so ame monia versitendans te secret de la priere Son mari ne reniendi pas, et n'en ut amat ni lesoupeomni te regret. La maternite paruis madame Despreis
une recompense et umencοuragement. Aparii de so premier ensant, elle seirouva heureus sans effor et sans, rite Lelercea garni de dentelles qu'on installa dans sa chambre apres un eumolns 'un an de mariage lui sem blarayonne de lueur de a rhehe de Bethleem. Elle crut avol untiem allaiter, et elle se senili initiee auiseules cies secondes et veritabies, a celles que in-gra illud msime ne defenchante pas.
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D'ailleurs, M. Despreis elait u marisor convenable Riche, a la tete rune industrie puissante, voyaut luire a rhorigo les honneum partementatres, Pr parant te revera de so habit our lasseu des champs ministerielle, ne sentant pace'orniere dans ravenue siste qui lemenait acla fortune, M. Despreis, instinetivemen bon, 'avait aucun retextepou n'eire pacalmable. Marieraimati done, sinon descet amour qui ne recommenc pas, d molns de cello bonne et chaud amitte qui compleu peu molns our e ciet, mala qui donne plus de prosit surda ferre. Les Murneaux de M. Despreis elatent
elabiis auior de la petite riviere de lamaise, dans te mille d'un vallo iovi Verdoyant, Oupe de grand peupliers et de belles pratries. Vae habitation d'une simplicite elegante, qui asseciali de ne pas
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atteindre a Pallure aristocratique dichateau mais qui depassait de beauco u lamaiso bourgeoise, vati ei construite to ut recemment. . Despreis e peros'eiai contente adis de batimenis restaures d'un ancien movit n. ais son is avali vovi eleve so monument mon- seille parsa semine, doni rinfluence heureus salsati conire-poid auxinssuences academiques de architecte, M. Despreis avali su se satre ait une belle maison, commode sans disgrace, et harmonieusesans regularite.
Co sui Iariu'un mali de rei de ran-ne 1845, a letire de Pauline Foucauit vin s'abattre, comme unislsea Dappequi ades alles sanglantes Marte salsalides premiersias hors de sichambre ellebrentra pour lire ces ages, et elle ne puts'empecher de remi en recevant cesconsidenees, qu'elle aliendati, qu'elle
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presseniat depuis longiemps Mais rarrive prochainerit Hector et de sariemmene laissati pas ecloisi de mediter surdes conseiis et les consolations a donner Ilsallait out preparer our es receVoir, et demander a 'amitte des inspirations