Pauline Foucault

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Iadorerat Dieu, san me lasser amais des preuves. Je ne suis pas si dedaigneus de vulgarilas decla vi que 'as- lacte parmis de retre. Ous me verre arceuvre j vous aidera dans ious vos petiis oins, et ous comprendre quei'aida vocation decla bouillie. I ris, our ne pas pleurer ei parceque ceti lettre uous donuerat du cha-grin.

T. III. τ

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de reprendre tous vos droiis su lui, si Vous apprente jamai que ei'etais plus digne des miens, et de te ueri de mon

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moire justineatis Ilis a quatre anneesd'epreuves dans es pages Vollacia prem iere consessio que e lais depuis celle

il'humillie, que jus tu' preseuiue me suis

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matelle, de votis relabi ir poti que nouSpuissionisaire quelques belles et longues promenades. Dites a M. Despreis que en'eulandirien aux larges, que e ne salspas duriout commenti coul la lanie que 'en suis encore avx souveniride Iamythologie stu cavernes de Vulcain, eique je eompie fur tui ou de teqons. Quanto uous, saltes-mo latre des ia-bliers pou que monilleui ne me ruine pas en robes ei pendant que momeOmpere Hectoris acheter de dragees, 'aibien envisi'alter acheterine de ces pre- cautions en tolle cire que es bonnes metieni devant elles. Si ous ave besoin 'une institu- trice pense a moi I satiranglais, j en- seigne te piano rhisioire et la couture; mais ne me demande pas 'enseigner

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de la eune sam ille de madam Despreis, i navait dans e tableaura'un interieurpaistble, o te gente industrie rayonnalia cotera gente maternet u consei de

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volla te pendant de lauelire de ce malin. G silai la arte de Philippe Loignon, qui venati prendre conge de monsteur et madam de Villemoran avant de quilier

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Paris uuelques reneonires dans te monde et a theatre, quelque enlrevue biem velliantes et sans infimite suriun terrain neutre, expliquatent, sans a justister, loviemis, a demarche de poli tesse de Philippe Ilis'avait pas encore et requi uerae Courcelles Pauline, an faume pruderie, mais discrete, n'osait pas inviter, et Hectori'avai vovi ni paraitrele svir, ni metirerin empressemen gen reux acie recevoir o elati don resteave tui dans de termes couriois, maissans rapporis didicis. Cependant, absent e realitera m

preseni par te fouvenisque chacu conservat de tui. Pauline gardait allandierame, comme ne lie de so bonheur, quelques-unes des paroles dudournaliste.

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qui avait ousseri, vant elle, de domleur don elle se seniali menacee. Et puis enssn il lui avali brusquemeni declare qu'illaimait et, si absorbeeriu'elle sui par Son amour, si loyale et si honnsite qu'elle se senili dans son menage ellene ouvait 'empreher de avoir gre acet ami si promptis si respectueux des teneresse. Elle esseniat done a lamis, a peu secrete de ratiirer, et ledesi de te revoir; et nous Savon quepou empecber e nom et e fouvenird'avoir amat de gravit ei d'importunii enim ux Hector et Pauline revo- qualent plaisammeni et se te rejetaient

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110 PAULINE FOUCAULT

Je 'alias eur de presages' dii Hector, eicie regreti que M. Loignonne sottia entre, nous tui aurions ait nos adleux ous condition. Je me sens de la sympathielour tui, e lis se articles illa d talent: ce que tu,'as dit