Pauline Foucault

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une rivale infatilible, et surprise de ne pas

elle mi une ardeur, une furi sublime dans rinterpretation decla musique Ellelui pendant quelque minutes a niveaudes plus grandiariisies. Sa voicunteuaigre devint sorinidabieri'energie, et tonstes auditoura, salsis par une sorte de edilige, reuerent immobiles et eants re- eoutant des yeux auiani que des oreilles, stupesails de iani de puissane ei de cetessori qu'ilsi'attributient qu)acla science. Aux dernieres notes, Pauline laissa tombera voix εpuisee, et vini en chancelant reprendressa place a table. Personne ne songeait si applaudir, tant

prit qui ne se dementat pas, 'approcha

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sine qu'il adressa es complimenis. I laselicita, avec ne certaine volubilite qui jetait de la confusion dans ses paroles, dela hardiesse ei de la surei de so jeu. uuant a Pauline, it lui dii un seul mot, ei seborna ala saluerri'un grave ei froid saluti Lad Antonia, qui semblati avoi unepoigne de charbons ardent dans es

deo mains, iat surexcite et provo-quee par ses deiiij eunes rivales Elle eui consenti sans tro de prieres a chanter Die sali ave que accent te ac de Lamartine, eis'accompagnant decla guttare; mais personne ne songe a lui demander cellaisir. II instant, elle sui tente de rosmir. lle pensa sori a prο- Ροs, que cesserat manque auctois desbienseances an glatses, qu'elle serat maljugeri'elle; et elle se resigna, en soupirant, ait Silence.

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generat.

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signat, et se levato ur salue Μ. de Satnt-Paares, n oupi unanime 'echappa ave preeaulion des potirines, et on ut bienio expedie les formules et les revere es de radieu. La baronne etai la seule qui ut lemurire surdes hvres; si repreuvem'avait pas eumn resultat eclatant, elle elail tou- letois asse concluante. Marte, mon ensant, divelle e met- tantisne caresse dans rinflexion de savoix donnemo tonaras et prendiu nebougie tu seras de sol ma cameriste. Puis, commeelle passait devant Hector, occupe a metire en ordreles carions qu'ilallaiiem porter: Begardeg, moniis tui dii-elle avecun petit ton provoquani, e suis commeles vleilles sees de contes; 'at mur me Servir, des nymphe plus belles que lej0ur Mais, par matheur,ae4'ai des laes

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I a baronne de Villem oran serat recon-duire dans sa chambre pars petite-nthce, ei ne vovi ut pas queri'autres main quo celles de Maries'employassenta sciuileite de nuit. Si iu savais, ignonne, tui disai Nelle e se laissant enleve se mitalites, que reve e laici I m'imagine queri es majeu nesse, qui vientis'endormi et me bercer o plutot iu es une enchanteresse de Iouvence i me Meunis ei iu

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pariaten quand e baillais imp sor et

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leum a lataicet a silenee et out lemonde est si bienusillant pou moi, queis ferais bien ingrate de me plaindre. Ainsi, tu accommoderais de nos petite soldies, de ad Fit Petera, du

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Parionia coeuriuveri, mon enlani, tui libello ave la voicemus, tu ne de-