Inscriptions françaises et latines proposées pour divers monumens de Paris et de l'empire français

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nali asseZ l 'insuetice morale qu'exercent Sur les peuples civilissis ces osphces de livres toujours Ouveris h l 'admiration publique; rien Π'agit plus pilissamment Sur ceuxqui portent en eux-momes le germe des grandeS Vertus, des graniis talens, des grandes actions , que les rύCOmpenses publiquemunt dύcern sies aux biens aiteurs de la patrie et de l'humanit6. Mais il est une a uire e phce de monumens fur tesqueison a peti dire longiemps Πύgligύ, furtout en France, de placer des inscriptions caracigri Stiques qui rappetassent

SanS CeSse au peia ple et leur but et leur destination; joveux parier de ces 6tablissemens consaci sis k des objetsd 'utilit6 publique et g6nsirale. Les amis des aris destrent depuis longiemps que les 6difices de cette nature portentilans leur forme ext6rietare, prύsentent dans l'ensemble et les dύtatis de leur architecture, des signes distinctisse, une physion omie particuliore qui les fasse reconnaitre au premmier colap-d'init. Des artistes philanthropes orat plusleurs

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Diversis pandunt natalem gentibus hortum.

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damngs, presqu'en naissant, k l'abandon te plus eruet, hia missire la plus d6sespsirante. Μon ame indignύe se solvi Iove en songeant 1 ces Otres d6gradsis, qui semblentn'avoir re u te caracthre te plus satiat, te plus augusteque la nature ait imprim6 1 I'homme, que pour te mέ- connstre et te fouier aux pieds; mais mon init se portesur cette inscription :Hic puer, infelix ignoto patre, labores Ediscit varios, olim ne tangat egestas. . Ou bion on franqais r

Quid iuvat aula frequens 3 fractis hic marmora sceptris Rebus in humanis quam sit testantur inane l

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Que de reflexions l uue d idees t que de sensations se pr6sentent en 1 ule a la suile de cette courte inscriptioni En psinsitrant dans l'enceinte de ce vaste et lugubre 6difice, te vulgaire n'est si appύ que de la masse des statues, des mastres, des tombeaux qui S'osfrent a sa vue; il applaudit 1 la pers6vύrance des artistes insatigabies qui, a sorce de sacrifices et de solus, ont rectaeilli cette immense collection ;il rend justice au gosit qui a prύsid si h sa division par ordrechronologique. Mais l'observateur philosophe y volt bienplus encoret que d histoires, que de volumes it saudrait

tombeaux de Frsi. gondo, de Charies LX, dii Cardinat

cian celier de PH ital, de Louis XII et do Henri IV.

Hic, mirum i arte nova Naturae damna rependens , Alloquitur Mulus Surdum, Surdusque reponit.

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IN SCRIPTION S

FRANs AIS ES ET LATINES