Œuvres de J. Delille

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Gabriel contemploit eur colestes phalanges ;Et jusques h latuit ab eunesse des cieuXSans armes flexerςoit hvi 'horoiques elix.

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PARADIS PERDU LIV. IV. 59 Leur riches Oucllers, leui stasque et leur dariis, D'or et de diamant hi illotent de toti tes pardi. Sur unaayon du soli Ilissanti in vol rapide,

I h descend Uriel 'olians 'automne humide,

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60 PARADIS E LOST, B. IV. v. 578. Amid the suti s circlo here thou sit'st, Se farrandi idec in alathi I ate notae PaSS

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PARADIS PERDU LIV. IV. GlQu'habitant dii soleti, talon sitrante uel o 'espaco des ait Membrasse' 'silendue . Potarie liou, que te ciet a dominis mina sol, Nut ne petita passer ausitre Vu do moi

Et, eluis 'assurer, depuis 'heure brutante 'u' midi ropand a lumiore Clatante,

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tiis orient beanis, o heri, tree, fruit, and flo ver,

Glistering With de fragrant the fertile carth

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PARADIS PERDU LIV. V. 65Boprimer eurissor trancher sans indulgenCe Des j eis luxurianis a storile aboli lance Cos dos ouilles des fleur qui tombent de leur bras, Et leur pleur rosineux embarrassent nos PassΙl faut os carier. Cependant sonabre obscure Nous invite ait somnieit AEddons Lia nature. De son Sexe Charmant e modi te enchanteur, Eve Mors tui rhpond charme de monimur urce de ma vi l liuoi e 'abando ne El, leut-oti balancer quandis ternet ordonne Tu te solam etsi Dieia, e me solam et a tot Voir Dieii dans Dion polix est a suprome tot Une femine doli-olle en saxo ii da vantage C'est sa premiore gloire et sonitus dou partasse. Oui cher polix, dans tot introiive totis es dotis Je ne distingueto in tes heures, es salsonS; Avoc tot tout mellait dans a nature enitore. J'aimo''aube diibour et sa dolice lumiore, Dii roveil desiiseaux e conceri malinat J'aimo si voti dii soleti 'siciat oriental Colorant par degros de ses Clarisis naisSantes, Et nos prosit nos fleurs, et nos fruits et nos plantes Lorsque a fratche ondo allu du haut des Clelix, a 'aime de ces bos lucis 'ambrevisiliciolix J'aim a voir, surde sein de a terre arrossie, I herbo ou rombioni oncorde gouites de roso .

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66 PARADI SE OST, B. IV. v. 649 And these the senis of heaven her turm train But notther breati, o moria, heu he ascendS With charin of earliest birils nor rising Sun