Aristippe ou de la cour. Par monsieur de Balzac

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donna aussi te moren de te considere de plus prccs. Commeri estot Prince qui moit les Letires, Lemploroit las heures de bialoisis,

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ό ARISTIPPE

ces ii ii auoit puisees dans rAntiquite , acquisic par a Meditation. Ieius si curetax que de seire d abor I annitie aueque uv. I me presenta a MOnsleu te Laiadgraue, dit dii bien de Doy

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selon quem mattere te destroit, o que Monsieu te Lai graue rexigeoit de tur il auor platii a uir via Philas pli parier de la Cour ce Sophiste qui se rendit ridicule deuant Annibal iacuit a plus

peii quoia es ouches Mais a speculationen est plus honneste que e maniment alle se ait uec innocence, purete. 3Pein ture de Dragon dc Crocodiles,n arant potia de ventia qui nuise acla vetae, peut uoi des couleurs qui resiouissent esyeux Et te votis auoue que te monile qui me desipiat tant en tu in me , me sem-hloit agreable diuertissant, dans la conuersation d Aris ippe. En cette conuersation , habile T auante, comm dans ne Tourioisine u Ciel, basti fur e riuage , nous regardion enscuret , agitationis es tempestes duMonde. Nous estion Spectateur de Pie-

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ces qui se inuolent par oute 'Europe: Aristippe nous falsiit las Argumens de celales qui se deuolent iover Prudelicetant acquis que naturene , siachant out te Passe, out te resent, Ous appre' noli encore quelques nouuelles de 'Aue nis restois attache a a bouche , depuis lacommencement de a Conuersation ius que a latan res coutois auec ne attention site diuerties, qui ne escha- pol pas vi seu mot de ce quil disiit. Mais poti seire place a ce si deuot dire e landemain estant retire en a chambre, escriuoisti sol le Discour que i a- uois ouis apres dinde, .m dechargeois

Hamans, commetis appelloit labon Moimsseu Coeffeteat , a qui erus communi- quoistous las mattias.

En e temps-la, i uois utant de sui et de me lolier de la fidelite de ma memoire, que a raison de me plaindre de supercheries, quella me ait autourdlaiy. Senoque latere conte des miracla de alieniae,

dans

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dans a resece de se Controuerses Iesiaeva pasta auant que u ne euoriena lance de mor , qui sent te Chariatan. Mais il est tres-vra que rannee mesime des Conuersation d Aristippe, yant esse a vii Sermon qui dura deu heures, e rescri

les aueque scrupule , mais ulli sans per ire quo que e sol de la substanc des

I vra encore des es molns de ce que edi rei puis nomine d eminente qualit , qui soni plein de vies Et personiae nedo it rotaueristrang quapres nessiori de memoire , quoia rut ncstre pas petit, eme sol souuenu de scpt Discour de mediocre grandcur, qu Aristippe fit, septio ars de uite Viae ligne de Histoire de esse pasten tu seruit de ex te poli commen-cer, Iesirieres de Monseu te Laiadgraue robligerent a ne pasini si tot De parte dii merite des Discour , te ne pense pas qui sol necessat re Ie ne cux

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io ARISTIPPE

polia allegiter approbation quil on eue, des dela les Monis. I me suffra dedire quilcon este leus par ceux qui corrigent les Edit S les Ordonnatices, 'ue Monsicu te Cardinal de Richelieu , Iesayant porte meque luy en Itali , nae esrendit a Paris, a retour u fata vorage de Lyon. Ce ut non seulement aue desparoles tres-ciuiles, mais aulli ave de Notes tres obligeantes, doni illor lites mar-

ter, C. Mes sortes de marques, qui avia accoustume de false fur es Compositions 'au- tria sint coninues de ceu qui te o) olent dans a vie secrette, qui estolent receus en son Cabinet, aux heures de se diuertis semens. an que sonamineiace ut abolite de ne rien prendre pota soy de ovice qu elle leui dans es sepimis cours: Elle distingua les temps 'es licui; me sitia grace de considere , que quan Aris-

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tippe partoi a Met , elle estot encore Monsieu de Luson, d que Mons cur de

MAis lis est a tenaps de raconter

res parties hi Septentrion. cur Eloge, non plus, ne dottia est re ire duoetaoi-gnage u on a rendura dux , en France decia Itali faut attendi e u iugement lucia ferata Ei NE, a laquelle te lesentiorecia Suede. stant clatre: au potia quklle rest , elle e connoistra micti par eurmonstre que par te appori autruy , presuppos eriti cile es desiire, it aut micux contente d abordia curiosi te, , que de lasse seria patience dans viae longue Preface. N apporton potia tant de ason a nosse tre Present, falson paroistre Aristippe deuant elles, e plustos que nous potarronS. Ne notis amusons poliat a Inutile de Dialogues plus ouuent i cmbara se le

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Necessatre Ii se per tro de temps auiciuiliter lata complimen ; auxions oursd auebon sotrs say cru qu i seroi bonde retrancher totites e superfluite , das porter cycles hos e pures limples, comme te les conserua aue s in dans mes papiers, prestes auoi recueillies auecplaisi , de la boucheta Aristippe. Mais auant que de passer utre , i ny aura poliat de mal de seire e que feroit Aristippe , s il estot au Nonde quilfus tu mes me sola Historien Arant commence par Via N O M , qui portera bonheura nostre Volumes sans differe dauantage,

fage de Acclamations , qui estolent des Triumphe de totis es our 3 Is ne de-

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mandent potia de pomperi comm les au- tres , cla despenses en peti faire par a

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Si cela est si elle approuue mori Liure oucit sera asseure de rapprobation publique ob ilis en aura a bes in Maisi ne aut pas faire e tori a Publi , de croire qui puisse estre dii autre auis queC HAE E. e Monde ne uoudroitpa desplaire a viae Personiae qui tu fatitant honneur,d qui re inbelli si fori, en contredissent a mesine Personiae , qui iuge si sal nement, desqui opine si bien.