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'Es viae opinion singuliere decertainsiliilosophes allirmatiss.cue leuagena esin depersonine,, que out e qui si se-pa e de tu , ne tu,sert de rien Parcia iis ostent Amiti dii nombrescies choses necessa tres a luydoniaciat an simplement, parmi celles qui sint agrcabies. Et cant- molns de plus honneste gens iacti , cucu dire les Philosophe de a Famille de Platonin de celle d Aristote , on cri quesan Q Amities, a Felicite stoli impari alte descetucus , .la Vertu solbie δ: m-
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puis ante Ilsint dit orae te Amis estotenties plus utiles, les plus destrabies des
I n, a que Diei sevi, qui soli pleinement content de s y mes me, de qui ilfaille parte en termes si haut & si magnifi-ques Ili y a que luy, qui, stant riche de sapropre essetace, ouisse dine Solitude bien- heureus , cibondante en outes sortes de biens tu qui puisse opere sans instrumens, commeri agit an trauail; Ely qui iretout d dedans de s a nature, parce que les cho'ses en soni sorties de telle fa on . quelles ne laissent a d y demetirer Les Hommesau contraire ne euvent, ni iure, ni bienviures ni stre homines, ni estre heurcuX,.les vias sans es autres It son attache ensemble, par ne commune necessite de com
merce Chaque Particulier, est pascisse den stre invia , 'it 'essare de se multiplier
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en uelque sorte, par te secour de plu-1ieurs Et a notis conlidere totis en generat, i senable que nous ne soyon pas tantiles Corps eniter , que des Parties Oup-pue que a Societe retinit. De Offense demandent iustice les Foibles nites in de suppor , les affligcet de consolation mai totis Ont niuersei lement bes in de conscii. Gest e grandElement de a te ciuile cilis est guer imoin necessatre que reau tau les deu morens agis, quela Nature notis fournis , se apportent a cette in ' A
bite impetuosite de leur naturet, par a presence du premier obiel. Les Hommes se condulsent, paria deliberation, dc par edis cohars Ayant edon de hercher,ac de choi si , iis petiuent passer dabor Idu Present as Aueni , S du Premic ait econii, ours'ν arrester sil s y troiluent bicia. Les vrates se cruent de Conscii ae
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Conseil est en sage armi es auuages A plus forte aison armi es Peuples ciuilis eg. Mais par out ii aut que es Sages remprunten d au tru , parce que leur Sa- gesse leur doli stre suspecte , au choses qui te regardent L Homme est si procliedesoy mes me, qui ne cui trotiue d cntre-deux, ita es pace libre , our e debit di consei qu i se cui donner ne si au- roit empescher que les eu Laisons, qui deliberent en uy , ne se consondent dans la communication , celle qui propos estant tros messee, auec celle qui conclut
Iliaut don que eluy qui conseille soliviae personiae a part distinc e descetur qui est conseille Ii aut u i y ait ne
distanc proportioniaee, entre les Obieis, les faculte qui en iugent comm lesyeu te plus algus ne se euvent voi eux-mesines , aussi es iugemens es plus vis smanquent de clarte, en leur propres interesis Queique connoissanc naturelle quenous yons, 'uelque lumiere qui notisvienne de plus haut notas ne deuon potnt
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reiciter es movens humains, ni cspris erce surcroiit de ratibn plus irrand claircissemen de verite , qui se ire de la
Recon notisons rina perfection de Hom- me , separe de Homine, auantage tu' la Societe, fur a Solitude Puis que Ἀ- murae Dieti ac te Conducti cur dia Peu ple de
chast lesiour euantity bien que a uit, ne Coloniae de cessit a me me chose, δί luelles se pol allent au heu u i falloit
t ii quel luvia, pres cla . qui ne demandedes uides, e qui ne herche des aides Oui se fera de cile sorte aucauanta ges des a natis ance qui cendor mira si negligem ment fur es aucursinu i attendta a Ciel, que de s imagine que assistance lautruylu sol inutile, que de croire u sa seule fortune dc a cule sagcsse uy sustilent, potirbicia ouuerner, despourbicia coni uire Θ
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Ceux qui se sontis leue au delade a commune condition des homines, y on monteZ par uel lues degrea me est pas Hagari qui es a lette , ii dessus desautres n est pas ausi leur Vertuqui a totiti ait Les Seruices de queiquvni rencontrent Ordinati ement , armi es Merueilles de leu vie in il est visibi paria suit de totas es temps, que les Princesqui on te plus gaigne , soni ceu qui onteste te leux seconder. De tant exemples, don il ut dans es Histoires, te ne veta que eluy, si teque nou -nous arres a me hier qui obligea soli Altesse se a me aire parte aut our 1 huy. Espasten uolt vesciis us a Tyrannie, sestoit auue par miracle desmain de Neron. Mais illae se contenta pasde son propre salui, pres a mort de ce Monstres Iliri dii codur dycntrepri da-uantage , our te Bien Public Voyantque Sautres Neron mena*olent e Monde que de nouueau Monstres se esse
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I est, rania premicrement res pri de esse pasten, qui se tenoit u choses presentes, bien qui ne les approuuas pas , d n O soli stre autheu du changemen qu i de- si soli. Et pres auoi icite dans irresolution il le pressa de tant de aisons, te conabati de tant cloquence , qu i futa a sin contraint de faire e res e u chen in , de de s cngager , dans a Caus Pi
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blique, par ne otiuerte. declaration. O il est bes in de cauoir, que e Mucien estot pas homine at apporter dans
uoi est te Conseilier. Les Princes a Dire ne petauent se passer de ces gens la , .les Princes ait en nigrand es in Ilis 3 en a amat ei de si fori, qui de a sevi force ait pii porterle falx de out te Gouuernement clamatSeu de si aloti de son authorite, qui ait puregiae toti seul stre veritablement Monarque, a prendre te mot , dans a rigueu de a signification Auis est ce nieu ne inuention de Platoniciens, our flate la Royaut , .la metire a dessus dela condition humatiae, de dire que Dieudonnoit eu es rit avx Eois, our bien