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histoire, une de plus sombres aussi par te soliveni desddsorores de tota genre et de matheur qu'elle veille. Iliaut 3 distinguer outeimis detix poques Iairemthresignalde par es incursion de Normand S puis partes troubles anarchique qui accompagnhrent laidca-
dono de la race cario vingienne; la seconde comprenant, a parti demugiae Capet lexi si hole oucentier, et qui prέsent dria uiae physionomi tout auire Lacivilisation reprenis a pas encore mal assurd Samarche interromptae. 'est te temps oti fleurissent esldgendes et ou selon 'expressioni' unitate ur Contemporalia, te campagnes lanchissent solis es pieuses constructions qui,'dlhvent de totites paris Dans 'ordrepoliiique lesii ginae dod alta' organis et s'impos unsysthme de tot savantes et compli ludes Etat socialmauuais an do ut Si on te compare avx temps modernes, ais qui n'en est pas molias uia progr. rdel
Non avon dit en second lieu que lesbddacteurs dei Mistoire des Miresoles talent oujour pris dans lemonasthre de Fleury, armi celix que e suffrage deleursirhresidsignati comine es plus dolaird et les plus capabies lirius it potir justi siler notre assertion, de citer imoin et IIugues de Satiate-Marie, doni lectioinsson familier . totas ceu qui iudient notre histoire
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viri INTRODUCTION. a se soliroes Cette Circonstanc est Our notas ne
Appelsis a passer ei revue des ait qui,' accomplis sent solis de rhgnes di s renis, nos chroniqueursi 'ont puri' abstenti de parier de princes qui se soni sucodddsur te trone et de principaux vέnement qui on signat leui passage autou oir. Ains Ad revald te premier auteur de la collection, et an uia colapi 'oeilrdtrospecti fur es temps droviragiens, a tractauiat leau si complet et siliquant de 'existenc de roisfain danis, que les Bollandistes ont cru devoi te taxerit'absurdit et les doddictitas out aia molns 'exagd-
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ration Ilias cependant conforme I'opinionidndra- lenient admise aiiourd'hui fur 'diat de dέgradationdans loquel talent tonitid te tristes descendant de Clovis Plus lolii, te hine crivalia doniae uel sues renseignement fur es conites prWposds par Charie- magne a 'administration des provinces Centrales, et critique les choi fait par te gran em pereur il traverse ensuit des poque en prole' 'an archie, auxguerre civiles, et affligdes par tant de matheur qu'ildiait diffficile qu'on 'en trouxat pa te retentissementilans sonis.cit. I 'dolatante protectior que satiat Benoit accorde a dissdrentes reprises anx habitant de Fleurycontre les ennemis qui te menacent continuellenient, et particulihi ement contre les Normands, 'ampne, aussilieri u imoin, Son successeuro tracer te ta-hleau de incursion debes arouches pillariis. I 'diatmisdrable de a France solis te successeur de Charies le Chalave 3 est peliat a granis traiis et leucenCoreddmonti si par de satis particulier de natur 1 aire u ne plus vive impression sur 'esprit di lecteur. Ceu de nos agiographi es qui correspondent auxi stocle, de monte que totis te historiens contemPO-rains, 'imposent une grande dserve de jugementS, une grande sobridi deradiatis fur abdvolution qui porta a race capdtienne surrae trone mais iis sonibeaucoup plus explicite su les premiers princes decet te dynastie. IV est solivent question dithoi Robertet de se en sanis, et les dissentiment qui Lia mort de ce prince, clathrent entre a velive et se silS, ysoni raconid plus longuenient petit-htre que an tout
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autre annaliste Les guerres entre lectoi de France et
En ce qui oucheri' histoire locale nombre de satis, de circonstances, 'indicationsidographiques et momede curioux pisodes doni elle pelit satre son prosiit, Setrouvent dans nos litigio graphes, concernant 'Orida nais et les parties limi trophe du Nivernais, dia Berr , de la Boua gogiae de ou lesia censin oti 'abbayede Fleuryta ait de proprii lds Ici e sont les conitesd'Oridans de laidriode cario ingleiane, qui pota earum Oirtent dei' empare des biens du monasthre, soni jugdsa eo une dudrit qui trahit labancune Plus lolia ce
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pretentions solis leur autorii temporelle. Plus fou-vent enCore, es montes auteur Dous stant connailre
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anthi leni si a mort dei prino ne lui talent connusque par tradition utar te sicit de anciens dis convent, maistula parti de cette poque, ii va raconteries miracles doni iti eumne connaissarice personDelles On pense aveo raison qu 'illae Survdcutias beaucolaph Charies le Chalive cc' est, di motus, ver 8 8iuriisqu'il cessa d 'dorire, et qu'uia moliae dii hine Couvent, nomin Adelaire, reprenant a sui te des udnemenis, fout deux hapitres en uises'appendice hion Ou-
Avant resistoire des uiresoles, Adrevald avait critte dei de la translation des restes de satiat Benoitd'Itali en France et de leur arri v. a Fleury.Nou D'aurion rien . amouter sur Ad revald si nous ne tenion a releve J'erreii des auteur de sisto ellit Psire de ira Frrance, qui ont volatu attribueri detixdorix aliis dissiarent ceti histoire de la Pnnslation et labelation des uti soles, donnant a premi pre tannioine di noni 'Adalberi', et qui cette id de uiae imis admise, ut potassyla prdvention jus tu'. reconnailredeia styles, deuenianthres disi rentes dans es deux OuVrages, qui Sont bien certainemen d mome au-
I 'unique fondement surdequel iis appulent euripinion est uia distique de Raoul Tortatre, 'uia desiddao
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xiv INTRODUCTION.d'une pi hce quem Rivet ne connaissaltias dans sonentier Patris ' Adalbertus translatos edocet artUS, Quaedam gesta stilo subjiciens nitido.
Mais imoin premier continuateur 'Ad revald et heauco up plus rapproch de tui que Raoul Tortatre, quin' derivati qu' a la in diarii sthcle, tui attribue aucontrairem'instoire de la translation et celle des Miresoles en de termes qui ne laissent aucun doute u Translationis vero ejus S. Benedicti sacri corporis ad hunc venerabilem locum, nec non signa, hic vel per Gallias, ipsius meritis gesta, vir disertissimus Adre-valdus istius coenobii monachus, scriptis inseruit'. nAndr qui vient ensuite 'est guhre molias expliciteri u Post recensibiles Ad revaldi labores', n dit-il, et ille ait aucune mentioni' Adalberi. D'tanta utre cothin manuscrit provenant de 'abba ede Press et que les Bollandistesint etsi leur disposition portat tri u Adrevaldus qui et Adalbertus dicitur nCette mention aurai du metire les Bdnddictitas fur lavole et leur satre comprendre que a se tale mani hi ede tota concilier tait 'admeitre u 'Adrevald et Adalheri talent e monae personnage qui alias qu'il
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lui et ne ait que confirme note opinion En esset NOUS avons ei solas es 3 euel pthce enithrei' oti sontextralis te detix vers que nou venon de citer . 'estura opuscule dans tequelmaoul Tortatre a mis en qua-train s ldgiaque totis te miracles de aliut enoit,aussilien de relations due a se prsi id cessetur que lasienne. En tot de a parti qui revient a chaque auteuri placein distique una ouange, et si avarit de verSister uis mire de labrianslation, it dit Patris Adalhertus translatos edocet artus, i it fout aussitot u Qupedam gesta stilo subjiciens nitido ce qui Se rap-
Porte san alicui dolite acta narration des, soles Cequi te prouue, 'est urit et en vers es detix ouVrages
Sala interruption, an annoti Cer que a seconde est
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ouithrenienti sons Ilair L'abba e de Fleur hi ait situdosia te hord de la Loire , ne de grande voles ou-
ie qui-vive, talent solivent forch de uir pr(cipitam ment et de chei cherin refuge Sol Solis te reinparisd 'Oridans, sol dans te bois et solitudes de la Sologiae, en emportant ceruia 'il avalent de plus lardoieux Aumiliet de cette vi uniet aventureus , de d(sordi esse glisshrent dans lebouvent, te catine et laridourii diadcessatres auxitude dispartirent,de rela chenient desinoeur et de a discipline totas sa letout des leti res,
interrompitales ravata commenods. 'est 'ailleursi'histoire de resque totis te monastere pendant lex sthole. et hiat de choses se prolonge a Fleur jus tu' ce que satiat Odon et requis' administration, et illiine main sage et ferme qui ouvernat dri I'abba ede lun3, 3 introduisit lacidforme Mais ce ut furtout dans te derni pres antides duri' si hole, solis te diphre Abbon, que 'abbaye de Fleury deveniae uia udritablefo er 'dludes religienses, historique et littdraires,s'dlevat son plus haut degr de prosphritd, de splen- deur,in petit te dire Abhon, politique habile conseille influentiu roi Robert, esprit universet, ravaIlleurinfatigabie a laiss de nombi elix uvrages qui 'ontplu pour nota ui grand intdrot. Son principat drite, nos yeux, scd 'avoi sonis hone posities'ignorance uia ecole qui devini hientot rhs-srdquenlde, et 'avoir