Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

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ruare et te poliis labrile a derniis sol que e vous

reneontra surcia montagiae, oue barbe Mait nolae,mon phre, et vos che euctoussus.

niqui colore te visage et qui braterae erane dit le

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352 LELIA. La foum ance qaeon a subie, dit Tremnor dyiin ton vhre et triste devmit endre compatissant et hon. Cestrae est des es saliae de se corrumpre clami adversitelles ames sortes s'nepurent. Et ne te salari pas bland dit Sinnio, que in ren- contre inattendue de agnus ramentit a fouvenis me de son amour repousse; ne Salarietas queae suis une e sans grandeur et sanctaemis une nature i firme et missirable an serias e u 'en suis sici 'etias Trenmor Oumagnus Mais hvis, πιοut Nil enis'

bord de rabime, po quoi tenter in mes de vians essoris io quoi me donne des conselis donide ne suis presue et des exemplas qui soni audemus de mes so ces Que Hestir uouveg-vous ais elater vos richeme a me monuer de quelle puissa e vous etes Muta, dequeis efforis,ous sites capsiles Hommes oris, hom-mes hiscique. vase d'hlectioi minis qui sites sortisd'u galerien et d'un prine uous, Orsat, qui avea assumi fur uoue teterio de chaliment de la vie sociale votis, moine, qui ave r&umsi dans quesque --nsies de votre vie inlisieure toutes lectortures de riune; Vous dein, qui ave Mineri tout e que les hommes uvento mir la satisitsi et la privation; uniri par les coups, rauue parrae eune; vous voles murtant debout et te in leu vers te cies, tandis quemo te ampe comme Pensant prodigue a milie des animaux immondes, c'es, dire des appetit grossierae des vices impursiali bieni laisseχ-moLmo is dansma lange, et ne venea pas tourmenter mon agoniis parte spectacle de uoue ascention glorie e veredes cie .sses aius que les amis de Iob venalent ante laurprosperit ad victune silendue surcle sumter LaisseI-

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siere.

Μagnus, qui pendant les paroles de Signi syettit troubisi plusie s sola et mali levsicles yeux ercle cietave me expression d'estro et de dεtresse pri en ceti tantine altitude plus eatae et plus assursie.

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tortures semibelle perdue Noni 'ε- Nil eneorenVec enthousiasme en silevant ses longsbras reles hors de se manches de bure, e ne te croiresias, e ne metuisseratias kourage par te paroles impies de retensantra sidcle. J'irai usqu'a boui, 'accompliraimon sacrifice et, si rΕglise a menti, sicles propheteson sit inspires par resprit de ten res, si la parole divine a te detoumsi de son res sens, si mon hie aete plus totique ton exige e dimotiis tu me tiendras compte si desis opiniatre, de la volonisi roce qui m'assiparsi de la terrefour me salae conqusiri te ciet; tu liras

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ges Mincelantes. Tu accompliras dεformai de notiles trauaux; tu conduiras te char de la tune dans lesilaines deasither; tu muleras la laudre dans lesiuees; tu emchalneras te murs des deuves tu monteras la tem te, tu la seras bondi mus tot comme ne cavale hennissante tu commanderas aux Molles Substanc divine, tu seras dans les clementa; tu auras commerce aveo Iesames des hommes; tu accompliras, entre moi et res ametens res des mission sublimes; tu remplisas la terre et les eleux; tu erras mariace et tu conversera in moi s Cela est beau, agnus, et la poesi trisve soneompte a ces sublimes aberrations Mais, quan il enseres alati, ei'en Oudinis pas Ie ne suis pas assea

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de pelae a deveni inersidule qu'ti arder te rhsor de lalai. Ne l'ecoute porit in il se ment Diui sim et emini te choses qu'il mirme bien lori de Iecdsitirer. Et lai, Sisinio, tu travailles vainement a teindre in tolle sambeau inersi de rintelligenee Saraamme ser nime plus vive et plus belle a cham de incessoris Masilausser. Tu aspires a ciet malgia ini, et tonam de poete ne peut chassercle fouveni doulo eux de in patrie Quand Dieu lai petant de rexit, raura purissee de ses fouillares et gusirie de se main elle se

que suis e devenue dans e to billon rapide qui m'a