Oeuvres / Delille, Jacques, Volume 3

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poete enere en mattere, et Present Satan et aes anses an mo

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s PARADIS PERDU.

Et tot tot qui planant surde fombre chaos

Et que mon vers brutant, anime de ton seu, Venge auxare ux des mortes la iustice de Diovimis dlabor apprenda-mia, uisque ton esi nil earie Et les oleux, et Penter, et Ie temps, et respace, Pourquoi quan tous is biens, hormis te fruit mortet, Appartenaient sans horno a favori du ciet.

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a milie de in notro et hide e phalango

Besta, inuet d'estres, Paudauieu archange.

Nalbevreux, si roulait dans oe oustreratemel, Foudrve in is vivant, fouffrant mais immortet i Conserve poti subires celeste iustico, Le relas de la mort est sonitus gran supplice.

Sans esse alimentέ sans cesse se rassume.

Srioue hien disserent des delices descieti

Apris luiae plus grand commeae plus coupable;

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8 PARADIS PERDU.

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L IURE L

. 'un reversi a se notae audaca est punie et

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1 PARADIS PERDU.

Naaremblent dispersis quo aestues Dyon ,

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coit Pancre mordante enisa masse ecaillwe,

versatiorum sedulosa boute proiectrice,

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Son reii fixe de Ioincla rive qui Pappelle;

Iliari vole, et syahat surde terrain brutant, Si Pon petit nomme terre unci liincelant, Qui surdes hordiadu laeso roule, seu liquido, Dans se champs ealcinet presente, seu solide. Se lable enis couleue . ces monis dέebi res Donida flamme et les venis ense te coniures traxerclestastris de leurs vovies croulantes Dispersent en eclatcles entrailles fumantes, Et ne laissent a fondines uti sol bitumine uxNoirci par is suineo et brui par les Dux: Ainsitalau rouge obscur tristemen se colore Un debris du Esuve u ecla du Pessore.

Aux not tumuli usu de ces vagues bovillantes, Pense a voir reconquis ses sorces Maillantes Triomphe sans victo ire, et ne Aoupconne pasque Die dans son courroux permet leurs attentats. En uvant cerae seri, ceti terroῬέtrie

u otia done dit Satan, a Douvelle patriet, uel climata uel 4jout C stlour ces tristes lieux sue nous avon perduria lumiore des cie l